Bruissement d’étoffes, dans le calme de cette boutique qui ne présente que ce qu’il y a de plus raffiné, îlot d'élégance dans une londres qui se laisse aller. Le style régalien, elle donne une dernière approbation à la retouche de la couturière qui, d’un coup habile de baguette magique, termine d’ajuster le drapé de cette blouse en flanelle. Quelques mots échangés, un sourire pour celle qui connaît bien maintenant ses habitudes et ses préférences et dont les suggestions font toujours mouche. Régalienne, divine presque, elle quitte la boutique après avoir réduit ses achats discrètement pour les glisser dans la poche de sa veste en tweed.
Le soleil offre, magnanime, ses trop rares rayons sur Londres qui bourdonne. Elle aurait pu prendre un portoloin, se rendre dans le coeur du Paris magique, mais le temps manque -- le rendez-vous ce soir est inscrit depuis longtemps dans l’agenda, rien ne pourrait le lui faire omettre. Le sourire se glisse sur les lèvres de la matriarche, un peu de roses aux joues, de se laisser bercer ainsi par une émotion trop longtemps oubliée.

La rue, soudainement, se teinte d’horreur, et la foule s’est muée en horde. Elle perçoit au loin des bruits d’explosion, le pavé battu par ceux qui cherchent à s’échapper. Bousculée, elle manque de perdre l’équilibre, par une autre femme dont le visage est déformé de panique, et qui, lorsqu’elle reprend ses esprits, est déjà loin. Les débris d’une vitrine, soufflée par l’onde de choc, sont projetés avec force. Elle n’a pas le temps de sentir l’éraflure sur la joue de porcelaine, un autre corps, recourbé, tenant difficilement debout, l’air hagard. La voix est presque un râle, un filet à peine audible - help… tandis qu’il manque de perdre l’équilibre, se raccrochant à elle, geste désespéré pour se raccrocher au monde des vivants. la porte de ce café, si près et si loin, abris qui pourrait bien être leur salut.

Citation :

allez, j'ouvre la danse mama malfoy sort de chez la modiste, et se retrouve nez à nez avec un scénario d'apocalypse. une marée humaine qui s'échappe en pagaille. une victime, un homme d'un âge indéterminé - il semble jeune, salement amoché s'accroche à elle. elle ne sait pas si c'est un sorcier ou un moldu...

Les lumières chaudes contrastant avec une brume qui se veut pleine, englobante. Les gens déambulent, heureux, heureux de vivre, ivres de leur bonheur grandissant, de ce qui les attendent en rentrant de cette journée de travail, sachant qu'un baiser sera au rendez-vous, une étreinte, un souffle de paix, un cocon apaisant. Tu es là, spectatrice d'un monde que tu ne connais que trop peu. Ce côté de Londres qui te semble si différent et pourtant les coeurs se comblent à l'unisson, les pensées sont les mêmes dans les instants de solitude. Tu as ce même air que cette jeune fille qui passe à côté de toi, peut-être qu'elle aussi est sur le point de retrouver l'homme qu'elle aime, accrochée à ce myocarde ne battant que pour elle, que pour ses cheveux d'or. Tu avais cette envie d'ailleurs alors tu as été chercher quelques plantes, quelques fleurs ailleurs, dans ce quartier ou les connaissances sont autres, ou les fleurs sont aimées pour leur beauté et non pas pour leurs vertus thérapeutiques.

Le bruit se fait assourdissant. La force te fait reculer alors que les flammes se font fortes, que les cris grondent, alors que des corps inondent les dalles mouillées de la rue. Tu ne sais pas bouger, la mort encore si proche de toi, alors qu'elle t'a déjà embrassé, te laissant vivre, te délaissant, cette fois encore. Tu vois ses cheveux d'or sur le sol, elle dont tu as inventé la vie quelques secondes avant, gisant, le sang coulant dans les flaques. "Je vous en prie venez m'aider !" Les gens qui courent, qui ne t'écoutent pas, qui se réfugient, craignant pour leur vie, et toi donnant tout, pour que cette inconnue ait, elle aussi une seconde chance. Tu compresses la plaie, comme tu peux, en essayant de ne pas vriller.

Citation :

Salma est venue faire des emplettes pour sa boutique. Elle se retrouve en plein dans l'attentat. Elle n'a rien mais essaie d'aider une fille qui a été gravement blessée par une des bombes. Elle demande de l'aide en vain.

Deux cafés à la main, Tiberius se presse, se faufile, esquive la foule et avance comme il peut au milieu de ces gens qui prennent leur temps. Sa pause sera bientôt terminée, et il voudrait ramener son café à sa collègue avant qu’il ne soit complètement froid. Peut-être qu’ils pourront le boire ensemble dans l’arrière-boutique avant qu’un autre groupe d’ados ne déboule au magasin, peut-être qu’ils le laisseront tous deux refroidir sur un coin de comptoir pour le  retrouver ce soir et en rire ensemble. Les clients affluent aujourd’hui, mais  il aimerait juste pouvoir souffler juste cinq minutes. Au moins l’ambiance est bonne, il aime ce job, il apprécie ses collègues, il ne va pas se plaindre. Et puis il y a la nouvelle employée, celle pour qui il s’est proposé d’aller chercher un café à deux rues d’ici …

C’est la tête pleine des yeux de sa collègue qu’il traverse la rue bondée, slalomant entre les voitures. Les pensées pleines d’elle, et des plans pour ce soir, l’envie de l’inviter boire un verre, et de voir où ça peut les mener. Et puis tout explose, et lui avec. Les cafés volent, et il ne comprend pas comment mais il vole aussi, il est éjecté de la rue, projeté violemment contre une voiture toute proche. Ca siffle dans ses oreilles, d’abord il n’entend que ça. Il est hébété, prostré au sol, et temps semble s’être arrêté. Et puis le son revient, les odeurs avec, et toute la panoplie de sensations qui l’écrasent. La douleur. La stupeur. La peur. Mais il est vivant. Il ne sait même pas ce qui s’est passé, il voit juste les flammes, la fumée et le chaos et il comprend que par une chance inouïe, il a échappé au pire.

Il se relève, trébuche, grimace. Une vive douleur au niveau des côtes le plie en deux et lui coupe le souffle, mais l’alarme dans sa tête le pousse à s’éloigner, et continuer. Il est vivant et il doit le rester. Il s’écarte de la voiture, prend appui sur la tôle froissée et déjà couverte de poussière. Il s’écarte et la vision apocalyptique qui s’offre à lui le frappe de plein fouet. Des corps partout, des cris et des pleurs, des gens qui courent et qui fuient. Et il avance, il ne sait pas ce qu’il fait là mais il avance, il fuit lui aussi, jusqu’à tomber sur une autre âme debout au milieu des volutes de fumée. La vie qui se débat parmi la mort. Elle appelle à l’aide, elle essaye de sauver quelqu’un, mais il ne voit plus les visages. « Il faut s’en aller. » Sa voix est rauque, cassée par la fumée. Il tousse et ça lui déchire les flancs. « Elle est vivante ? » Il veut bien aider, au moins essayer, mais ils doivent se concentrer sur ceux qui peuvent encore s’en sortir.

Citation :

Tiberius marchait dans la rue pour retourner à son boulot, il a été pris dans le souffle d'une explosion. Il est blessé, sans trop de gravité, et en essayant de fuir il tombe sur @salma shafiq qu'il va essayer d'aider.

Elle se tient là au milieu du chaos, un peu en retrait, les yeux plein d'admiration quand elle devrait éprouver de la peur. De la colère aussi, peut-être. Elle ne sait pas bien Adelita. Gamine qui a toujours vécue au milieu de la haine. Violence qui coule dans ses veines. La satisfaction de la chose bien faite. Les détonations se succèdent et elle sait que parmi elles se trouvent son art à elle. Sa petite participation à l'édifice. Mission accomplie. Elle se régale de la panique. Ils apprennent enfin. L'Anglais tout puissant n'est en sécurité nul part.

Prise dans une bousculade inattendue, elle jure entre ses dents, mélange d'anglais et d'espagnol incompréhensible. Sa main qui cherche son arme dissimulée à l'arrière de son jean. Ses doigts qui serrent la crosse, prêts à dégainer. Les enfers qui se déchaînent tout autour. Elle devrait cacher son visage. Comme ces autres, ces frères et sœurs d'armes qui se déversent dans les rues de la capitale. Quelque chose l'en empêche. Cette stupide conscience qui se réveille. Les sirènes qui lui vrillent les tympans, tous ces cris, ces visages à la recherche d'un peu d'aide. Elle ne peut rien pour eux Adelita. Elle le ne veut même pas. An eye for an eye. Chacun doit payer. Son dû à elle a été encaissé il y a longtemps.

Elle marche au milieu de cette scène macabre comme si rien ne pouvait l'atteindre. Et elle ignore les mains qui se tendent, les appels au secours. Enfin décidée à accomplir son devoir. La cagoule noire vient recouvrir son visage et elle sort son arme pour la pointer entre les côtés de cette belle et grande blonde qui tente d'aider un homme bientôt mort. « Et si on allait boire un café blondie ? »

Citation :

Adelita est en partie responsable de tout ça et le chaos ne l'atteint pas. Elle prend pour cible @Rosamund Malfoy juste parce que les riches elle aime pas ça et bien sûr elle a sa cagoule sur la tronche donc voilà. (si t'avais d'autres plans dis moi, je changerai mon post ofc)

Elle voit le chaos, qui se répand dans les rues de la capitale, panique qui guide les mouvements d'une foule désordonnée. L'homme à côté d'elle continue de saigner abondamment, et la panique, ne tarde pas à la saisir elle aussi -- bien loin le calme et le sang froid de la matriarche malfoy, tombée de son trône, bousculée dans la cohue. Elle cherche de quoi faire un bandage de fortune, quelque chose qui puisse au moins temporairement, arrêter l'hémorragie, mais elle n'est pas aussi dégourdie sans baguette.  Mue par une initiative dont elle n' a pas totalement conscience et qui la surprendrait peut-être si elle avait un peu de recul sur la scène, elle dénoue la cravate de ce pauvre bougre pour la nouer autour du bras sanguinolent, garrot maladroit. Si seulement elle maîtrisait la magie sans baguette....

Le front perlé de gouttes de sueur, elle regarde autour d'elle, encore une fois, espérant repérer les secours qui annoncent leur arrivée, mais il y a trop à faire, ils sont trop nombreux, ces blessés qui jonchent le pavé dans ce décor soudainement devenu apocalyptique. Elle fait un geste du bras, voyant une silhouette se déplacer dans le sens inverse à tout le monde. Mais personne ne la voit, la cacophonie masque les appels à l'aide, la voix tremblante sous l'effet du choc.

Et puis, il y a cette présence. Féminine, à en juger par le timbre. Aller boire un café? Elle ne réalise pas tout de suite ce qui est en train de se jouer. Elle ne se rend pas compte du canon de l'arme qui vient titiller les côtes. - Ce n'est pas vraiment le moment.. aidez moi plutôt ... mais les mots ne sortent pas.

Citation :

ros est complètement impuissante, sans savoir comment réagir -- impossible d'utiliser la magie, trop de témoins potentiels. elle ne réalise pas tout de suite qu' @adelita hernandez a une arme pointée sur elle

L'aide vient. Elle entend distinctement les sirènes. Les premiers secours. Pas assez pour prendre en charge tous ces blessés. Sans parler des morts. Elle le sait Adelita. Elle l'a déjà vu. Déjà vécue. Tout ça n'est qu'une répétition. Ça ne l'atteint pas. Comme endormie, presque aveugle. L'odeur du sang lui chatouille les narines. Presque un plaisir. Et la poignée de son arme à feu ne pèse rien entre ses mains. Elle en connaît chaque rayure, la moindre petite encoche. Elle sourit derrière son masque. Comme la mort qui frappe tout autour. "Il est déjà mort." Ils le sont tous. Ce n'est qu'une question de temps. Et elle est là pour accélérer le processus, s'assurer que tout est fait dans l'ordre. Rien ne doit leur échapper.

Bientôt la pollution se dissous. Ne reste que la fumée épaisse des explosions. L'odeur du sang et de la mort. Les crises de détresse et les pleurs. Ca pourrait presque lui briser le cœur. Si on ne lui avait pas déjà piétiné des années plus tôt. Elle ne fait qu'exercer son devoir Adelita. Pour l'Irlande. "Tu viens avec moi. Fin de la discussion." Elle appuie sur le dos de la blonde, on arme s'enfonçant avec délices.

Citation :

Adelita essaie de faire de @Rosamund Malfoy son otage. Vous êtes libre de l'arrêter ou d'aider ou whatever venez comme vous êtes !

Les hurlements qui ne cessent de percer l'air lourd, froid, sombre des rues qui étaient éclatantes encore, quelques minutes avant. Pensées heureuses, ne pense qu'à ça Salma. Pense à lui, à sa main chaude sur la tienne, à ce que vous allez construire ensemble, lui, toi, un jour, proche, ou l'anneau se posera à ton doigt. Tu ne peux pas mourir maintenant, tu n'as pas le droit, tu n'as pas encore vécu, tu commences à peine à voir la beauté du monde, comme elle la voyait, elle qui rentrait dans un monde heureux, elle, qu'on attend surement à la maison, s'impatientant à la porte, regardant par la fenêtre, attendant son retour, qui ne viendra jamais. Tu la secoues, plus pour toi, que pour elle, elle qui était si belle, elle dont le souffle de vie s'en est déjà allé. Il arrive près de toi, sa voix comme un électrochoc, alors que ton coeur commençait à s'endormir doucement, alors que tout n'était plus que mirage et illusions. "Elle ne respire plus. Elle est trop jeune pour mourir, c'est injuste." Tes sanglots qui ne peuvent se calmer, alors que tu prends conscience que d'autres personnes peuvent encore être sauvées, que d'autres amants, amis peuvent encore avoir une chance de voir l'être aimé rentrer à la maison, illuminé par les lampadaires de Londres. "Il faut qu'on aille aider les autres, tu vas y arriver ?" Tu vois le sang qui coule, tachant son haut. Les gens se réfugient dans les maisons, dans les bars et la rue ne laisse plus place qu'aux lamentations lancinantes des personnes qui n'ont pas eu la chance d'esquiver l'attaque. "On ne peut pas les laisser là, il faut mettre le plus de personnes à l'abri, on ne sait jamais qu'ils lancent une autre attaque." Tu te lèves, laissant la jeune femme là, ses rêves déjà envolés. Tu auras le courage de tout affronter, au moins une fois Salma, une fois où tout a de l'importance. Tu te rapproches d'un homme, respirant encore. "Regarde dans ma sacoche, j'ai de l'huile de millepertuis, tu vas pouvoir nettoyer cette plaie pendant que je compresse l'autre." Tu venais d'aller en acheter, l'hasard fait bien les choses, alors tu essaies d'utiliser tes plantes, ton unique savoir pour aider, sans baguette, sans la sortir par réflexe, pensant à votre sécurité avant tout.

Citation :

Salma essaie encore d'aider la jeune femme décédée quand tiberius vient l'aider et arrive à la calmer. Ensemble, ils essaient d'apporter leur aide à des gens qui ont encore la chance d'être soignés. Elle utilise les quelques plantes utiles qu'elle vient d'acheter et essaie de gérer la situation comme elle peut en croisant les doigts pour qu'il n'y ait pas une autre attaque.

C’est injuste, qu’elle dit alors que la vie s’écoule entre ses doigts et qu’il ne peut rien faire pour l’en empêcher. Oui c’est injuste, c’est incompréhensible, mais cette pensée n’atteint pas encore la conscience de Tiberius. Il est toujours sous le choc, il ne sait pas ce qui s’est passé. Il veut juste sauver sa peau, se barrer d’ici … Et peut-être aider une ou deux personnes au passage, ou au moins soutenir cette fille dont il ne voit toujours pas le visage mais dont la voix lui évoque quelque chose. Elle est choquée, elle aussi. Il lui pose la main sur le bras alors qu’elle sanglote, le seul geste dont il est capable à cet instant pour l’aider. J’suis là, je m’en irais pas. Ils ne peuvent plus sauver celle qui git là, mais il y en a d’autres. « Ouais, ça va. » Il tient debout, il est vivant. Il ne veut pas se poser plus de questions que ça. L’adrénaline anesthésie encore un moment la douleur et la peur, autant en profiter. « Je te suis. » Il lui emboîte le pas, la laisse prendre les devants. Ils laissent derrière eux le corps sans vie d’une femme anonyme, pour trouver une autre âme qui peut peut-être encore être sauvée. Et il obéit quand sa partenaire d’infortune lui donne ses instructions, il lui fait une confiance aveugle. Dans cet enfer, la moindre directive est une bénédiction pour lui qui ne sait pas comment sauver des vies. Il n’a aucune formation médicale, à peine de vagues notions de premiers secours, mais il fait de son mieux. Les mains couvertes de sang, l’esprit saturé par les sons et les odeurs de mort, il ne garde plus en tête que cet objectif qu’ils se sont fixé, tous les deux. Sauver cet homme, le garder en vie jusqu’à ce que les secours arrivent. « Tu es médecin ? » Qu’il demande finalement, pour combler le silence qui commence à envahir son crâne. Il la voit mieux, maintenant. Mais si son visage lui dit effectivement quelque chose, il n’arrive toujours pas à se souvenir d’où il l’a déjà vue.

Citation :

Tib se laisse guider par @salma shafiq et l'aide à apporter les premiers secours à un homme. Il se demande où il l'a déjà vue, en passant.

Le constat froid et déshumanisé. - il est déjà mort. Pas que la vie du pauvre malheureux ait eu une quelconque importance à ses yeux, mais le destin l'avait placé sur sa route, et elle avait dû s'en accommoder le plus gracieusement possible. Enfin, s'il était mort, le devoir imposé par la conscience prenait fin lui aussi. - Tu viens avec moi, fin de la discussion. L'arme, elle suppose que c'en est une, dans son dos, lui rappelle la situation dramatique qui s'est jouée sous ses yeux, et qui continue encore d'agiter la ville d'un soubresaut morbide. Elle ne dit rien, la matriarche, elle coopère, parce qu'elle sait que c'est la seule chose à faire dans une telle situation -- d'habitude, elle n'y est pas mêlée, mais l'instinct lui dicte sa conduite. - où allons nous? Lance-t-elle à la jeune femme dont la poigne est plus ferme que la moyenne, et plus imposante que ne le voudrait la bienséance, mais l'heure n'est pas à ces considérations. - Qu'est-ce que vous voulez? De l'argent? Sa voix n'est qu'un murmure, pour que seule la ravisseuse puisse entendre. Pas que quiconque puisse trouver un intérêt à leur échange, le drame qui secoue la ville fait d'elles des personnages bien secondaires.

Elle regarde droit devant elle, Rosamund, espérant secrètement pouvoir se retrouver dans un endroit suffisamment isolé pour dégainer sa baguette magique, mais elle sait aussi que le moindre geste mal placé pourrait la desservir. Alors elle contrôle sa respiration, tentant de ne pas se laisser piéger par l'angoisse, cette sensation désagréable de ne pas avoir le contrôle de la situation.

Citation :

ros est toujours aux prises avec @adelita hernandez et tente de ne pas l'agacer d'avantage. elle espère quand même pouvoir se retrouver dans une zone suffisamment isolée pour tenter de reprendre le contrôle de la situation.