don't look back

détermination (90%)	loyauté (100%)
connaissance du monde magique (80%)	altruisme (75%)
courage (70%)	dynamisme (90%)
espièglerie (87%)	prudence (55%)
sagesse (40%)	extraverti(e) (85%)

Que pensez-vous de la multiplicité croissante des meurtres ?
elle sait. elle connaît la vérité derrière les horreurs et elle ferme les yeux. elle détourne le regard parce qu'elle ne peut rien faire, parce qu'elle a peur, parce que les ténèbres grandissantes appartiennent à un monde qui n'a pas voulu d'elle. alors elle joue l'indifférence, c'est plus facile que d'affronter la réalité.

I solemnly swear I am up to no good.

( p l a y l i s t )

We are made of all those who have built and broken us. le bord de mer, tous les petits pas dans le sable mouillé, traces mêlées entre les vagues qui viennent et s'en vont, que les gamins évitent en riant. souvenir qui se construit au rythme de la houle, moment sacré pourtant presque oublié, elle rêve parfois de ces instants de paix, alors qu'elle court trop loin, jusqu'aux rochers qui longent le littoral, qu'elle regarde son petit frère crapahuter difficilement derrière elle et qu'elle lui tend la main, qu'ils observent le monde à leurs pieds comme s'ils étaient rois et au loin leurs parents font de grands dignes, si grands, si fiers, de la complicité de leurs héritiers. derniers moments d'innocence avant que la famille aimante n'explose, parce qu'elle n'est pas tout à fait comme eux, adrestia, l'sang qui roule dans ses veines est trop banal, il ne lui permet pas de rattraper son cadet alors qu'il trébuche vers les flots, que sa magie à lui s'éveille pour arrêter la chute. My dark between the stars. ils s'en vont. et elle, elle reste là. les bottes couvertes de boue, un seul bagage pour contenir toute sa vie. derrière elle la bâtisse est faite de briques et de larmes. il n'y là que des enfants dont on ne veut pas. elle garde ses larmes, la gamine, elle ne veut pas qu'on pense qu'elle est faible, elle refuse que ses parents la voient pleurer. elle a les yeux souillés de sel mais elle ne baisse pas le regard, au fond elle espère qu'ils vont se retourner, changer d'avis, qu'ils vont revenir vers elle et la prendre dans leurs bras, lui dire que ce n'est rien, ce n'est pas grave si elle n'est pas comme eux, parce qu'elle est leur petite fille et que c'est tout ce qui compte. ils ne font rien de ça. elle reste là, même lorsqu'ils disparaissent, elle attend, elle repense à la plage et au bonheur et elle garde le visage fier, elle est une zabini après tout, même si la dame derrière elle l'appelle slattery, ça sonne faux. elle reste là et à mesure que les étoiles s'esquissent à l'horizon elle comprend avant même de se l'admettre. ils ne reviendront pas. if this is hell, it looks a lot like margate. un mois. un mois par an pour retrouver les rivages de son enfance, cachée dans la demeure familiale de margate, un mois donné à la petite fratrie pour se retrouver, parents qui ont cédé aux caprices du fils alors qu'ils continuent de dissimuler l'échec qu'est leur fille aînée aux yeux du monde sorcier, qu'ils mentent, qu'ils la prétendent à l'autre bout du globe. ils ne peuvent pas se permettre d'avoir une cracmol dans la famille, alors ils tissent les mensonges d'une autre vie, ils esquivent les questions, ils laissent les autres l'oublier, l'angleterre n'est pas pour adrestia, elle est promise à d'autres terres, qu'ils disent. les années passent et elle apprend à endurer l'indifférence de ses ascendants, se régale de chaque instant avec son cadet, ses seuls moments de bonheur. I just need you and some sunsets. lita, qu'elle murmure, et elle s'en fout si elle déteste ça. la bouille renfrognée la fait sourire et elle insiste et elle rit alors que ses doigts dansent sur sa peau dorée, lita susurre-t-elle à son oreille, encore et encore, jusqu'à ce qu'un rictus amusé se dessine à la commissure de ses lèvres, qu'elle s'avoue vaincue d'une oeillade. complicité partagée dans les rues d'une belfast bouillonnante, adolescentes qui se tiennent la main au détour d'une allée déserte, qui découvrent les premiers élans de passion, le frisson des premiers baisers, du premier amour. adelita qui devient son lien le plus fort, son espoir d'être aimée comme elle est, si humaine, si moldue, qui lui apprend malgré elle qu'elle vaut la peine, qu'elle n'est pas qu'une aberration aux yeux des siens. adelita qui lui redonne l'envie d'y croire, qui lui donne des ailes, du courage. peut-être un peu trop, qui lui donne la force de partir, de se forger en dehors de sa cachette, de devenir quelqu'un. Love her but leave her wild. la liberté. son sac sur l'épaule, gamine et sans un sou pour elle, mais libre, au coeur de la capitale. gamine mais débrouillarde, ingénieuse, l'âme d'un serpentard qu'elle ne sera jamais. adrestia se forge une nouvelle identité en reprenant le nom qu'on lui avait volé, ce nom dont on ne l'estime pas à la hauteur. elle s'est défaite des chaînes de son enfance, de cette adolescence jusqu'alors gâchée entre les murs d'une école (sa prison) qui ne lui a rien appris de la vie. elle a la tête dure et la détermination de devenir ce qu'elle mérite d'être. londres pour une nouvelle vie, pour une existence enfin qui n'appartient qu'à elle. I hope to arrive to my death, late, in love, and a little drunk. heaven, sous les lumières des projecteurs. corps qui dansent et dansent et dansent, jusqu'au matin, jusqu'à l'oubli, jusqu'à ce que les lumières de l'aube écartent celles des néons, qu'enfin libérés des briques du club ils s'égarent sur les bords de la tamise. elle rit, ada, alors que le soleil se détachent de derrière les buildings, dans une main la bouteille dans l'autre une cigarette, assise sur les rebords d'un mur, elle et ces autres devenus famille d'adoption regardent le matin. elle est heureuse, sans magie sans parents, et son petit frère apparaît à ses côtés, venu découvrir sa vie, venu comme presque tous les jours partager un bout d'existence avec elle. elle pose la tête sur son épaule, un sourire sur ses lèvres rougies d'avoir aimer une inconnue le temps de quelques chansons. we're running with the shadows of the night. la nuit. la nuit lui appartient. la scène musicale est son royaume. l'enfant venue de nulle part s'est construit sa propre destinée, s'est découverte douée pour quelque chose, s'est prouvée qu'elle valait plus que d'être cachée aux yeux du monde. elle est reine de son domaine, passionnée par les accords et les guitares et ces voix qui se déchirent pour rassembler autour d'elle. elle sourit, depuis les coulisses, un verre à la main, tape la mesure au rythme de cette autre sorte de magie. pour elle, il n'y a rien de plus beau, et de margate il ne reste que de lointains souvenirs, des siens elle ne porte plus que le nom. ada zabini est devenue quelqu'un et elle n'a eu besoin de personne pour y arriver. but somewhere there, where truth meets courage we are waiting to be found j'ai besoin de ton aide. les mots de percy comme une prière, ces quelques petits mots qui la propulsent vers cet univers dont elle a nié l'existence pendant trop longtemps. les mots de percy qui la font trébucher sur le passé, racines de son enfance qui s'enroulent autour de ses chevilles, parce que c'est son petit frère qui a besoin d'elle, parce qu'il s'égare dans les ténèbres et que son meilleur ami n'a pas la force de le tirer de là. sa guerre, c'est son combat pour l'humanité de son cadet. une guerre où elle ne fait pas le poids, qui l'effraie, qui n'a pas d'sens.

Songs live longer than kingdoms. la national gallery est son refuge favori pendant le jour · elle a le corps couvert de tatouages, la plupart sont le résultat d'une nuit d'ivresse · elle a de bonnes bases de gaélique irlandais · queen est son groupe favori, le live aid concert un de ses plus précieux souvenirs · c'est une fervente défenseur de la cause lgbtq · elle a un certain talent pour la reproduction d'oeuvres d'art · régime alcool, café noir et cigarette · elle se serait complètement coupée du monde sorcier si ce n'était pas pour son petit frère · elle appelle rarement les gens par leurs prénoms, donnent des surnoms à tout le monde. · elle joue de la guitare · elle vit principalement la nuit · un mur entier de sa chambre est consacré à sa collection de vinyles · elle ne supporte pas les armes à feu.

Elle est tellement cool cette ada (et puis ce prénom   ) et puis margate, on n'peut qu'approuver    hâte de la voir en action, le drama et les embrouilles avec lita, bb tibby, et puis tout. je suis méga fan, mais ça tu l'sais déjà.

Félicitations, tu as fini ta fiche et maintenant elle est validée ! A présent, tu vas pouvoir rentrer dans le jeu, pour venir faire évoluer ton personnage en notre compagnie  Pour commencer, nous t'invitons à vérifier les listings, pour voir que nous n'avons rien oublié.  


Une fois que c'est fait, tu peux aller t'occuper de la gestion de ton personnage, à savoir ses liens et ses pré-liens, si besoin. Nous t'invitons également à aller faire un saut dans le flood de la maison qui t'a été attribuée et le flood général. Garde en tête que si tu as le moindre souci, tu peux toujours venir vers nous pour qu'on te file un coup de main.  


Innocent moldu(e), te voilà en proie à un conflit qui te dépasse, mais auquel tu ne peux pas échapper. Pour te tenir informé de l'avancer de l'enquête sur ces meurtres qui se multiplient, pense à jeter un coup d'oeil au daily mail. Il s'agit d'un journal moldu connu à travers le royaume-uni. Il permet aux moldus de se tenir informés sur ce qu'il se passe dans le monde. Ces derniers temps, les ventes du journal ont explosés à cause des meurtres qui font parler d'eux à travers le Royaume-Uni. Le daily mail est le journal le mieux informé sur l'affaire, celui qui à les news en premier, si bien qu'on se demande s'il ne collabore pas avec les forces de l'ordre.