the wand choose the wizard

détermination (100%)	loyauté (100%)
maîtrise de la magie (85%)	altruisme (90%)
courage (75%)	dynamisme (60%)
espièglerie (50%)	prudence (40%)
sagesse (70%)	extraverti(e) (50%)

Que pensez-vous du Ministre de la Magie ? Est-ce que vous pensez qu'il gère bien la situation ?
Cali est mitigée en ce qui concerne le Ministère mais elle doit bien avouer qu'il ne fait pas preuve de la plus flagrante compétence qui soit. Ils se délestent volontiers de leurs responsabilités sur l'Ordre du Phénix de son propre avis et c'est bien regrettable que la classe politique britannique soit si... impuissante et inactive.

I solemnly swear I am up to no good.

001. tu étais le dernier essai, la dernière chance d’avoir une fille pour ta mère. Après deux garçons, elle voulait vraiment une petite fille mais ne se sentait pas d’affronter une quatrième grossesse. Et voilà que tu pointais le bout de ton nez rose, enfin. La plus belle fleur de leur serre 002. le début de ta vie a été particulièrement doux. Les Flamel étaient une famille normale, en dépit de leur nom mondialement connu. Nicolas Flamel était ton illustre ancêtre, un être que tu n’avais croisé qu’une poignée de fois avant qu’il ne disparaisse purement et simplement. De la pierre, tu ne savais rien d’autres que les histoires que tu adorais que l’on te raconte 003. tu n’avais pas plus de huit ans lorsque vous aviez quitté la France en catastrophe. Vous n’étiez plus les bienvenues, traqués par ceux qui voulaient faire payer ses erreurs – et ses dettes – à votre père. La fortune familiale était dilapidée. Il ne restait rien si ce n’est ce que vous aviez sur le dos, tes parents, tes frères et toi. Vous avez donc rallié la Grande-Bretagne où tes grands-parents maternels vous ont accueilli à bras ouverts 004. ton enfance a été bercée par les plantes. Ta mère était botaniste et ta grand-mère également. Tu as passé ton temps les pieds dans les bottes et les mains dans la terre. Le temps que tu ne passais pas dans les serres, tu les passais à jouer avec tes frères. Vous étiez proches, soudés bien plus par les épreuves que par le sang. Ensemble, vous oubliiez volontiers les erreurs paternels et les errances auxquelles il vous avait conduit 005. petite, tu passais énormément de temps à jouer avec des enfants moldus. Ton nom ne leur évoquait rien à eux. Tu étais libre, pas besoin de faire profil bas de peur qu’on ne retrouve votre trace depuis la France. Tu te pensais en sécurité. Mais les enfants peuvent s’avérer particulièrement cruels. Des jeux d’enfant qui dégénèrent, ta panique, ta magie qui explose pour la première fois et tes frères qui interviennent. Tu ne gardes que des souvenirs flous de ces événements volontairement occultés mais après cela tu n’as plus adressé un seul regard à cette petite bande de moldus 006. les journées étaient particulièrement mornes sans la présence rassurante de tes frères alors tu as été plus que ravie de les rejoindre à Poudlard lorsque ton tour est venu. C’était une aubaine pour la petite fille curieuse que tu étais. Sur ses bancs de bois, tu t’es fait les meilleurs amis qui soient, tu as appris plus de choses que tu n’en aurais cru capable. Tu avais ri, pleuré, vibré. Si ta famille te manquait immanquablement, tu étais toujours heureuse de retrouver Poudlard et ta maison, la maison Poufsouffle 007. les plantes n’étaient pas ta seule passion. Voler en était une autre. Tu adorais te sentir libre, le vent foutait ton visage, l’apesanteur n’ayant plus raison d’être. C’est au poste d’attrapeur que tu as intégré l’équipe de Poufsouffle. Certains faisaient cela pour la gloire. Toi tu le faisais pour ce sentiment d’abandon et le grisement qu’on ressent lorsque l’on vole à pleine vitesse 008. la guerre a eu tôt fait de planter ses griffes dans votre famille. Tu croyais que rien ne pouvait aggraver davantage les choses, tu avais tort. Il y avait pire que les démons de ton père, il y avait ces gens qui murmuraient aux oreilles de tes frères. L’un tendant vers le bien, l’autre vers le mal. Toi écartée, tentant vainement de maintenir un semblant de cohésion. Puis la famille avait implosé avec la mort de ta mère, aussi soudaine qu’inattendue. Rupture d’anévrisme, un truc de moldu, un truc contre lequel la magie ne peut rien. Alors, sous tes yeux horrifiés, ta famille s’était déchirée. L’un de tes frères avait rejoint l’Ordre comme votre oncle, l’autre avait répondu à l’appel des Mangemorts. Toi, tu faisais de ton mieux pour garder tout simplement la tête hors de l’eau 009. il s’était présenté à ta porte comme le destin personnifié. Beau, imposant, froid. Sa présence t’avait heurté avec la force d’un accident. Cassian était le diable personnifié, tu le sentais jusque dans tes os. Cassian était l’archange infernal qui allait mettre le feu à ton existence. Tu l’avais su dès que tu avais posé les yeux sur lui et ça n’avait pas manqué. Il t’avait arraché de force à ta vie et au nom de quoi ? De son ambition, d’une pierre dont tu ne savais rien, de son besoin apparent de te dominer. Tu avais lutté, tu l’as repoussé mais quand il avait menacé de réduire à néant le peu qu’il restait à ta famille, tu avais cédé, vaincue. Il avait trouvé ta faille : tu ferais n’importe quoi pour ta famille 010. de petite botaniste sans histoire, tu étais passée au statut de femme trophée, fiancée qu’on exhibe à ces réunions que tu exècres, cette allégeance noire et funeste qui t’avait dérobé ton frère. Tu t’accroches à ce bras qui te donnait chaud et froid à la fois, qui t’inspirait des émotions contradictoires mais ô combien violentes. Tu étais en plein naufrage et ce naufrage portait le nom de Cassian