the wand choose the wizard | |
maîtrise de la magie (75%) | |
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Que pensez-vous du Ministre de la Magie ? Est-ce que vous pensez qu'il gère bien la situation ?Une évidence qui se soulignait dans un non qui en était la réponse. Si le ministère avait un quelconque pouvoir sur la situation, le monde serait différent, plus calme. Ils ont montré bien trop souvent que ce n'était pas eux qui devait faire changer les choses, mais les mentalités qui devaient évoluer. Tant que cela n'aura pas été fait, il sera éternellement impossible de voir un vrai progrès. L'ordre est là pour cela, d'une certaine manière. Grandir. Changer. Lutter contre ce qui refuse d'évoluer.
I solemnly swear I am up to no good.001. C'était dans les détails qu'on pouvait voir l'homme. Car finalement, si beaucoup de ne s'arrêtaient qu'au loup. Oubliant que tu n'étais pas que ça. Oubliant que tu pouvais être plus. Craignant la maladie comme si tu n'étais qu'un monstre, captant des regards que tu n'oublierais jamais tant il avait pu te blesser. Et dont tu avais tellement vécu que ton coeur s'en était brisé en deux. Tu étais plus que ça. Sorcier au coeur triste, de la farce de son existence. Sorcier tirant derrière lui un poids qu'il prétendait pouvoir supporter. Tu manquais parfois trop souvent des sourires, car tu étais incapable de toujours mentir. La fatigue c'était ce qui se faisait ressentir continuellement.
L'esprit marqué par la maladie, car ta condition n'était en rien une bénédiction. Elle rongeait, ton esprit et ton corps plus tu approchais de la lune pleine. Et ne laissait qu'un gouffre de fatigue par la suite. Les yeux continuellement marqués de cernes.
Tu dormais beaucoup, et tu avais pourtant cette étrange impression que ce ne serait jamais assez. 002. à l'instar de ce que tu étais, si tu maitrisais avec merveille l'art du
patronus, tu n'en restais pas moins marqué par le vagabondant de ton esprit. C'était
un loup. Ce serait toujours un loup de toute manière. Car c'était ce que tu étais, et rien ne changerait jamais. Et il faisait écho à la peur qui s'affichait lorsque tu pouvais croiser un
épouvantard était des plus singulières pour quelqu'un qui ne te connaissait pas.
La pleine lune était ce que tu redoutais le plus. C'était ce qui te faisait le plus de mal, comme une brûlure dans ton esprit que tu connaissais tant mais que tu ne pouvais jamais accepter. Un éternel recommencement que tu ne pouvais ignorer et dont tu devais te méfiait. Cette lune qui dictait d'une certaine manière ta vie, et t'empêchait de vivre dans l'insouciance.
003. Tu avais baissé les bras.
Tu te négligeais bien trop souvent. L'argent difficile à avoir, ne faisait qu'accentué ce trait. Tu ne pouvais te permettre des dépenses que tu jugés inutiles, car tu avais besoin de vivre. Et c'était déjà bien compliqué, d'avoir une vie, quand la majorité des gens te persevait comme un nuisible. Donc l'argent se faisait difficile à avoir, et cela se voyait dans les détails. Tes vêtements usés que tu raccommodais comme tu pouvais mais qui semblais perdre de leurs éclats un peu plus chaque lavage.
Tu usais de tout, jusqu'à ce que ce soit impossible de le faire d'avantage. Mais tu ne te plaignais pas. Car parfois tu en jouais, ça te permettait aussi de te négliger, car
tu te laissais sombrer, oubliant de te coiffer, de te raser, voire même de t'alimenter. Car parfois ton esprit sombrait dans un vide, celui qui te prenait de temps à autre, celui qui te rappelait que tu n'étais qu'un indésirable. C'était dans ses moments où rien ne t'affectait, rien ne t'intéressait. Tu avais comme la sensation de te noyer, d'être en train de souffrir sans raison, sans qu'on puisse le voir.
004. Tu te brides,
tu te refuses à l'amour autre qu'amical. Tu te heurtes à tes craintes. Tu te heurtes au peux d'affection que tu te portes. Car tu te vois comme un fardeau. Comme un boulet que tu forcerais à quiconque s'enticherait de toi, de trainer derrière elle. Car
l'amour c'était avoir une liberté que tu ne pouvais pas t'offrir. Car tu n'étais pas libre, non tu étais un animal en cage. Ce serait mentir que dire que tu n'as jamais cédé à l'amour. Mais tu avais toujours fini par le repousser, malgré tout. En parlant d'amour,
ton amortentia était lui-même très singulier, doux et brusque.
Un mélange de chocolat et de verveine. Une pointe de sel marin, et une note de fer rongé par le temps. 005. Tu t'occupes des autres, pour ne pas le faire avec toi-même. C'est plus facile ainsi, ami fidèle et attentif, qui portait bien souvent un faux sourire aux lèvres et répondait faussement que tout allait bien lorsqu'on te questionnait sur sa vie. C'était faux, rien n'allait. Mais tu ne voulais pas t'occuper de cela. C'était plus facile d'aider les autres. Au moins tu avais ce sentiment d'être utile, car
tu savais que tes problèmes n'avaient aucune solution et t'en occuper n'aurait de sens que de te faire perdre ton temps et le peu d'énergie que tu pouvais parfois avoir. 006. Tu es quelqu'un de très doué avec la magie, elle a fait son apparition dans tes veines alors que tu étais bien jeune. Malgré le fait que tu étais un fils d'une mordue. Malgré le fait que tu étais maudit. Tu restais quelqu'un qui avait des facilités dans la magie que tu gâchais simplement car tu ne pouvais te fixer trop longtemps dans un même poste. Tu changeais trop souvent, poussé bien souvent à partir.
Tu semblais destiné à tout sauf la stabilité. Mais tu pouvais garder une seule chose pour toi, immuable. Tes idéau ux. Tes convictions. Sur la manière dont le monde devrait être. Quitte à prendre part à des batailles où tu ne serais qu'un pion. Tant que cela avait du sens, tu n'hésiterais pas à défendre ce que tu trouvais juste.
007.Tu affectionnais la lecture. Plus que de raison. C'était plus simple de lire des histoires pour oublier la sienne. C'était plus facile d'envier une vie imaginaire. Au moins, tu pouvais vivre à travers les mots, entre les lignes. Imaginer une autre vie, une autre destiné. Quelques choses de plus simple. Tu avais tellement lu sous la lueur d'une bougie chancelante que tu avais abîmé tes yeux avant l'heure. Portant des lunettes pour cela désormais pour cette activité, bien que tu les gardais bien souvent caché. C'était une certaine routine que tu affectionnais, dans le fond, ça t'apaisant, te faisait oublier le reste. Allongé un livre dans la main, en mangeant un morceau de chocolat, comme le gamin que tu n'avais pas pu réellement être. Ou bien l'homme que tu refusais de devenir.
008. Tu avais été bien des choses dans ta courte vie. Bien des métiers que tu avais su démarrer mais que tu avais dû quitter bien vite. Mais c'était car tu étais capable de t'adapter, tu avais fini par te faire une raison, c'était comme pour les gens, tu te forçais à ne pas trop t'habituer à tout. Car en un claquement de doigts et tout pouvait te glisser entre les doigts. C'était ainsi. Mais tu avais été bien des choses. Anciennement soigneur animalier au parc naturel.
Tu enchainais simplement, sans être difficile avec tes choix, tu prenais simplement les portes qu'on t'ouvrait, car tu savais qu'un jour tu serais poussé dehors. Tu avais donc compris qu'il n'y avait pas de métier important, pas de sous métier. Il y avait juste les endroits où on pouvait gagner de l'argent. Pour pouvoir vivre, tout simplement.
009. Tu aimais les orages et la pluie. La rencontre du ciel et de la terre. Quand le vent, le monde reprenait ses marques pour faire de vous ce qu'il voulait. Les éclairs illuminés quelques instants l'obscurité du ciel, tu aimais le spectacle. Car c'était magnifique, et surtout personne ne pouvait le contrôler.
010. Tu détestais croiser ton regard dans un miroir. L'amour que tu pouvais te porter n'était que trop peu existant. L'image que tu renvoyais était bien trop déformé par les méandres de tes pensées. Car tu pouvais t'égarer bien des heures à détailler du regard le monstre qu'il voyait, si bien que tu n'avais fini par voir que ça. Lorsque tu croisais ton reflet, tu ne voyais rien de bon. Donc tu détestais les miroirs, comme tu détestais ce que tu étais. Mais c'était un aveu que tu ne ferais jamais ouvertement.
Tu détournais simplement la tête lorsque tu apercevais ton reflet quelque part.
Tu détournais le regard lorsque tu sentais des regards se poser trop longtemps sur toi.
mischief managed.
pseudo, prénom M
âge 28
lieu de résidence FR
personnage personnage des livres
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