the wand choose the wizard

détermination (65%)	loyauté (70%)
maîtrise de la magie (50%)	altruisme (90%)
courage (60%)	dynamisme (50%)
espièglerie (50%)	prudence (40%)
sagesse (60%)	extraverti(e) (60%)

Que pensez-vous de la Ministre de la Magie ? Est-ce que vous pensez qu'il gère bien la situation ?
Est-ce que le ministère de la magie gère bien la situation ? Attendez, je vais demander l'avis de Clyde, mon chat. Alors, il a dit : miaou. Je pense que c'est assez juste... Nan mais, même Clyde serait plus à même de gérer ce bordel ! Des terroristes s'en prennent au moldus et tout ce qu'on trouve à faire c'est instauré un couvre-feu ? Sans compter la gestion du gouvernement moldu qui affirme que l'incident au festival new âge est... un coup du sort. Je comprends les raisons qui poussent les sorciers à garder secret leur existence vis-à-vis des moldus... mais là on prend les gens pour des cons. Et puis cette histoire de couvre-feu... nan mais tant que vous y être mettez des affiches "c'est pas gentil d'être méchants" sur les murs de la ville, ce sera tout aussi efficace !

I solemnly swear I am up to no good.

001.Lorsque je suis entrée à Poudlard, le choixpeau a hésité avant de m'envoyer à Serdaigle et il est vrai qu'avec mon caractère, j'aurais pu aller chez les Gryffondors. J'ai eu le droit à ce genre de remarque de la part de mon Nemesis, qui me traitait de Gryffondor manqué... Ce à quoi j'avais l'habitude de dire qu'au moins, j'étais une Saidaigle réussie. Je me suis souvent battu avec lui, verbalement ou physiquement... mais bizarrement, c'était pas si méchant.

002. Des remarques méchantes, j'en reçus surtout cause de mon sang. De la part des Serputards. Attention, tous les Serpentards ne sont pas des Serputards. Ça, c'est le nom que je réservais à ceux qui insultaient ma famille car mon père est un "sang de bourbe" et que ma mère n'avait aucune dignité pour avoir osé se marier avec lui. Sérieusement, j'ai toujours fait mine de ne pas entendre parce que je savais que je pourrais pas avoir de discussion raisonnée avec ce genre de bouffon mais j'aurais aimé qu'ils s'étouffent avec leur bêtise.

003. À poudlard, en quatrième année, j'ai rejoint l'équipe de quidditch en tant que poursuiveuse. Je dois reconnaître que c'était plus par intérêt personnel que pour le bien de l'équipe. Enfin, si j'avais été nulle, je n'aurais pas été recruté. Mais disons, que j'avais quelque chose à prouver. Plein de choses à prouver pour être honnête. Déjà, c'était pour tenir tête à mon "Nemesis". Ensuite, j'avais besoin de prouver que je n'étais pas juste une gentille fille toute douce, je crois que personne ne pensait de moi, mais c'était moi que je devais convaincre. Je voulais aussi pouvoir me défouler "légalement" sur les serputards qui faisaient partie de l'équipe verte.

004. En magie, je n'ai jamais été la plus douée. J'étais loin de l'image de la parfaite petite sorcière de serdaigle. J'étais (et suis toujours) très assidue, mais il y a des choses qui dépassent le travail et la persévérance. J'ai toujours eu plus de facilité dans les domaines où la technique du "par coeur" était efficace. Par exemple, en histoire de la magie, en botanique ou en potion. J'étais capable de mémoriser facilement les noms de plantes et d'imprimer leur image dans ma tête, idem pour les recettes en potion. Ce n'était pas inné, mais tout ce travail était payant. Alors qu'en sortilège, apprendre par coeur ne suffisait pas. J'avais donc un niveau moyen pour tous les cours où je ne pouvais pas déballer mes connaissances sur un parchemin.

005. J'ai toujours été proche du monde des moldus. Mon père et ses vinyles, ses guitares, ses comics, sa culture du cinéma... j'ai grandi avec ça. Le premier film que j'ai vu au cinéma c'était Jaws lorsque j'avais seize ans. Puis il y a eu The Rocky Horror Pictures Show, Carrie, Alien... J'ai grandi avec le cinéma d'épouvante moldu... Il faut dire que les années soixante dix étaient les années folles des films d'horreur. Je continue d'aller au cinéma lorsqu'un film me tente... ceci dit, ces derniers temps, c'est compliqué.

006. En ce qui concerne les "funs fact" à mon sujet... ou juste les "fact", je peux dire que j'ai un chat de trois ans qui s'appelle Clyde, que j'ai nommé d'après un bon ami poufsouffle pour le faire chier. Faire chier mon ami, pas le chat... lui il s'en fout que je l'appelle Jean-Yves ou Ptitemerde tant que je lui fais à manger... Ceci, ça pourrait marcher pour mon ami. Peut-être. Mon patronus est un poulet... alors me demandez pas pourquoi. Je pense que ma propre magie me troll. En fait, j'ai peur qu'elle essaie de me dire quelque chose, ma magie. Genre "t'es pas allumée à tous les étages donc on va dire que ton patronus c'est un poulet, okay?". Enfin, passons, ma vie est assez triste comme ça. À Poudlard, mon épouvantard prenait la forme d'un crabe géant parce que j'avais été traumatisé de cette bestiole lorsque j'avais été en vacances à la mer quand j'étais petite... un con de crabe m'avais pincé la main alors que je voulais jouer avec lui. Maintenant, je suppose que ce n'est plus la même chose. J'aime autant faire l'autruche et ne pas me retrouver face à mes peurs d'adultes.  

007. Je n'ai pas de chance en amour. Je pourrais me contenter de ne pas y penser. Mais je suis convaincu que l'amour comme les amourettes sont des facteurs importants du développement personnel. Ils le sont tout autant que l'amitié. Mais en amour, on s'enflamme plus vite et plus fort. Mon premier "amour", c'était pour un mec plus vieux que moi, genre un beau gosse qui ne m'a jamais calculé mais ça ne m'empêchait pas de m'inventer des histoires improbables. Après, je suis sortie avec un garçon en dernière année mais avec la fin de notre scolarité, ça n'a pas duré. Ma première petite copine, c'était quand j'avais vingt-deux ans, j'étais encore stagiaire à l'époque et elle aussi, mais on n'était pas dans le même service. Mon histoire qui a duré le plus longtemps, c'est-à-dire un an et quatre mois, c'était avec une musicienne... il y a maintenant trois ans que c'est fini et qu'on ne s'est plus jamais reparlé. En gros, j'ai eu beaucoup de petites histoires d'amour et ce serait mentir de dire que je n'attends pas la grande histoire. Mais actuellement, c'est pas vraiment ma priorité numéro une.

008. J'aime mon travail. Je suis pas dans un service très prestigieux. Je veux dire, lorsque les gens pensent à Ste mangouste, ils pensent souvent aux blessures mortelles et à des soigneurs badass qui voient des choses horribles défilés tous les jours... moi je vois juste des victimes de poisons parfois des gens qui se sont eux même empoisonné comme des cons. Je parle pas de tentative de suicide ! Je déconne pas avec ce genre de choses. Je parle de gens qui pensaient que consommer telle potion ou telle plante leur permettrait de triper et qui se retrouvent avec des furoncles dégueulasses qui les démangent... ouais dans mon service faut aussi avoir le coeur bien accroché parce que du crade, on en vois aussi ! C'est pas glamour, mais j'aime l'idée de soigner le mal causé par une plante ou une potion par une plante ou potion. C'est satisfaisant je trouve. Mais je suis peut-être la seule à penser ça.

009. Je déteste faire les courses ou les boutiques. C'est une perte de temps. Le problème c'est que pour manger, faut acheter la bouffe et pour sortir faut avoir des vêtements. Je ne sais jamais quoi acheter, que ce soit en bouffe ou en fringue. Les seules boutiques où j'aime perdre mon temps, ce sont les librairies, les disquaires ou les apothicaireries. Je suis très organisée et maniaque, mais j'avoue que mon appartement commence à être saturé de livres et vinyles... sans compter mes placards pleins d'huiles, potions et herbes en tous genres. C'est très bien rangé, mais je songe à faire du vide... même si ça me brise le coeur...

010. Je suis engagée dans l'Ordre du phénix. C'est dangereux, même si j'ai conscience de ne pas être la plus exposée au danger. Je ne peux pas laisser les autres se battre et juste approuver leur combat. Je ne suis pas une sorcière puissante, j'en ai conscience. Je fais donc de mon mieux pour soutenir la cause à ma façon. Offrant mon savoir-faire de guérisseuse. Je ne suis pas spécialisée en blessures de guerre mais ma formation m'a obligé à maîtriser les premiers soins. Je continue d'apprendre, soit via les livres, soit grâce à mes expériences personnelles ou encore grâce à des formations. Cette guerre me concerne, j'ai incité mes parents à fuir le pays mais moi, j'en suis incapable.