the wand choose the wizard | |
maîtrise de la magie (10%) | |
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Que pensez-vous de la Ministre de la Magie ? Est-ce que vous pensez qu'il gère bien la situation ?à l'idée de la ministre ne lui vient qu'une certaine naïveté ; la pensée simple que la fonction se voit méritée, que probablement nul ne pourrait gérer mieux dans des conditions similaires, qu'
elle-même, certainement, ne saurait faire mieux. une certaine satisfaction, à songer que c'est là femme qui dirige, trop incapable, pourtant, d'en juger réellement les actes ; ne demeure que la simple évidence que le chaos bruit dans l'ombre, de ces forces troublées qui se déchaînent, et le doute qu'une seule femme puisse y faire grand-chose, finalement.
I solemnly swear I am up to no good.001. aura de tromperie, charme surnaturel, elle est veuve d'argent qui capture l'autre dans ses filets ; vélane, héritage maudit, cadeau venimeux de la mère, elle est seulement condamnée à l'éternité de
fausseté — ses relations, jamais plus que des mascarades, poignardées par l'attrait poison qu'elle exerce sur son prochain. l'ichor est honni, au-delà des mots ; méprisé, par la fausseté qu'il implique, méprisé, parce qu'il biaise la perception de l'autre, efface les défauts pour subjuguer sans merci.
002. la légère dichromie, défaut ténu dans la façade de perfection garantie par le sang ; les iris diffèrent à peine, vairon guère perceptible, une dissymétrie qui se pare d'unicité dans les lacs clairs de ses yeux, pâle erreur génétique comme une défiance à la nature de vélane, comme une opposition même à tout ce qu'elle aurait dû être.
003. la rancœur, dévouée au sang ; cadette de l'étoile, à jamais dans l'ombre, elle n'est que pâle copie d'
apolline. là où la sœur éblouit, elle n'est que désastre ; la maladresse en opposition brutale à la grâce légère de l'aînée, honte assénée aux parents qui n'ont jamais su que se désoler des constants échecs de la seconde, lorsque la première n'était que radiance. elles sont violent contraste ; et à l'idée d'apolline, elle n'a qu'une sourde amertume, poison de jalousie instillé dans les veines , trop consciente qu'elle ne sera jamais à la hauteur.
004. l'exil, choisi dans l'enfance ; des siens, elle n'a plus que le patronyme, ne sait plus réellement les revendiquer comme
famille. poudlard, plutôt que de se voir couvrir de la présence d'apolline dans le moindre recoin de l'académie française — l'angleterre, comme une seconde patrie, l'école, comme une seconde famille. les liens rompus à la majorité, elle n'est plus que la cadette vaguement oubliée dans la distance, le seul appui d'un compte bancaire presque intouché dans les coffres de gringotts pour prétendre qu'elle est encore du nombre.
005. piètre sorcière, elle n'a jamais été de ces astres talentueux dont les trophées dorent les murs de l'école séculaire ; la scolarité marquée au rythme des diamants égrenés dans les sabliers, alors qu'elle écoulait inlassablement les succès de ses compagnons dans les abysses de sa distraction. trop maladroite, trop inattentive, pour réussir ; elle se contente pourtant de sa médiocrité, s'en satisfait de tous les jours.
006. la faiblesse du cœur, à la vue du minois enfantin ; c'est d'amour qu'elle a cédé pour le poupon, la nièce fleur comme réceptacle de toute son affection. d'apolline, l'enfant est tout ce qu'elle aime ; sa rancoeur pour la soeur, concédée à l'affection éprouvée pour la petite fille, gamine chérie, noyée sous les cadeaux, comme un premier signe de l'amour qu'elle dévoue à tous les bambins.
007. le foyer, trouvé dans les ruelles de londres ; c'est à merlin's castle que s'est tissé le cocon, pénates comme un havre de paix avec les êtres aimés. la colocation a eu quelque chose d'une libération ; des bras chaleureux, vers lesquels tomber, une autre famille dans les rangs de laquelle se glisser. ils sont
tout, désormais ; adresse qu'elle ne céderait pour rien au monde, plus familière que nul endroit n'avait jamais su l'être.
008. agent du chaos, elle est force d'entropie dans l'environnement ; créature désordonnée qui s'épanche en anarchie, un fouillis répandu dans son sillage, partout dans l'appartement, la baguette trop souvent égarée dans la masse confuse de ses cheveux.
009. une fascination pour les moldus, passion pour leur culture ; elle ne se lasse de les étudier, ne se lasse des conversations éperdues en quête de leur compréhension. leur pop culture est l'égarement de ses journées ; jamais sans les bulles de comics sous le bras, jamais plus semblable à eux qu'elle n'aurait imaginé l'être, sans pouvoir jamais se compter de leur nombre, pourtant, sans jamais pouvoir se compter d'aucun nombre.
010. un talent certain pour la pâtisserie, elle est chef derrière les fourneaux, une harmonie des arômes qu'elle dessine d'un geste du fouet ; une maladresse qui s'étire jusque dans la mélomanie, voix qui manque de justesse, jamais d'enthousiasme ; une terreur à l'idée du vol, depuis un accident dans sa prime jeunesse ; le renoncement à l'idée de toute plante, qui s'est scellé à l'hécatombe de cactus sous sa garde.
mischief managed.
pseudo, prénom sarah.
âge vingt-quatre très bientôt ahem gtbhgbjhbtj
lieu de résidence ô mon pais, ô
toul dijooooon
personnage prélien de
@constance bell &
@niven mckinnon (
marie, aristochats)
avis sur le forum tgbjtgbhtgbjt toujours une petite perle mamma
dernier mot le monde mérite pas sam gamgee