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Clyde Carrow


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MessageSujet: Clyde Carrow Clyde Carrow EmptySam 4 Juil - 21:04


Clyde Carrow

nom Carrow prénom Clyde date et lieu de naissance 22 avril 1960  - Sainte-Mangousteâge 27 ans orientation sexuelle Hétéro statut civil Célibataire. statut de sang Pur. scolarité Gryffondor. emploi Je cherche, je cherche. finances Les finances de Clyde semblent assez précaires en ce moment. caractère Clyde a définitivement un caractère fort. Bien que certains de ses choix semblent être fait comme ceux d'un suiveur, la vérité est que ceux-ci sont guidés par l'instinct de survie et uniquement celui-ci.  Au fil des années, il a appris quoi dire, quoi faire, quelle image donner pour s'en sortir face à de nombreuses situations, et c'est ce qui lui a permis de se renforcer. Clyde, c'est quelqu'un qui n'a pas forcément peur de l'inconnu, mais qui peu avoir peur des conséquences. C'est aussi quelqu'un qui cache un jardin secret, quelques parcelles de bon en lui. particularité magique Occlumens  groupe Mangemort  avatar Timothy Granaderos crédits moi

the wand chooses the wizard

détermination
(60%)
loyauté
(55%)
maîtrise de la magie
(70%)
altruisme
(30%)
courage
(75%)
dynamisme
(60%)
espièglerie
(70%)
prudence
(55%)
sagesse
(45%)
extraverti(e)
(55%)


I solemnly swear I am up to no good.

22 Avril 1960 - Naissance. Je suis né ce jour là, vers les quatorze heure et quelques, au sein du service maternité de Sainte-Mangouste. J'allais faire la joie de mes parents, car j'étais la promesse d'un nom perpétué, de la continuité de leurs traditions, d'un avenir. J'allais être le premier de ma fratrie, un rôle important que j'aurais aimé ne pas choisir. La raison était simple : cela s'accompagnait de pression diverses et variées. Quand mes frères et soeurs allaient parfois passer dans l'ombre, moi, je serais toujours sous le feu des projecteurs, devant me conformer à tout et à tous, dans l'unique but de faire du nom Carrow l'un des noms les plus connus, honorable ou craint de notre société.

18 octobre 1968 - Découverte L'apparition de mes pouvoirs, phénomène attendue dans la famille, fut une date pivot dans mon existence. Si à ma naissance, j'étais désigné comme héritier de mes parents, ce n'était en réalité qu'à cette seule condition. Aujourd'hui, je le sais, si j'étais devenu un cracmol, je n'aurais pas survécu si longtemps. J'étais heureux à l'époque, grandissant dans ce foyer pourtant dépourvu du véritable amour qui pouvait unir une famille. J'étais heureux parce que je faisais la joie de mes parents, et j'étais loin de me douter de ce qui suivrait. Car il était hors de question que leur fils, moi, aille à Poudlard et les ridiculise. Mon père, cet homme qui aimait les échecs, avait prévu plusieurs choses, et la première serait de m'apprendre ce qu'il jugeait nécessaire. Aussi étudiais-je avant l'heure tout ce qu'il jugea bon. Et il ne s'arrêtait pas à des considérations comme l'absence de baguettes. "Les sauvages d'Afrique apprennent sans baguettes" disait-il, "Alors pourquoi pas toi ?"

C'était dur. Très dur. Parce que parfois, j'avais juste envie de jouer, comme n'importe quel enfant. Parfois, je voulais être avec mes frères et soeurs. Mais je pouvais juste être là, dans cette pièce, cette immense bibliothèque à lire, étudier, m'exercer à un art que je ne comprenais ni ne maîtriser encore.

01 Septembre 1971 - Poudlard.

On aurait pu croire que lorsque le choipeau se poserait sur ma tête, il m'enverrait à Serpentard directement. Ou chez les Serdaigles, vu le nombre de livres que j'avais du lire ces presque trois dernières années. Mais non, c'est chez les Lions que je me retrouvais. Une décision à laquelle je ne m'attendais pas, et qui n'allait pas passer inaperçue au sein de ma famille.

Pour autant, je n'allais pas vouloir décevoir les miens. Et j'étais toujours jeune. C'était ma fougue, et elle seule qui m'avait value cette répartition, et elle resta avec moi comme une seconde peau, une nature profonde.

Il y avait des choses que je savais, d'autre qu'il me faudrait encore comprendre. L'une d'entre elles, que je compris finalement très vite, fut de ne pas appeler Sang-de-bourbe les premiers nés-moldus que je croisais. Non pas que j'avais peur, mais cela attirait toujours certains mauvais oeil. Bien sur, pour moi, je n'y voyais pas de mal. Je pensais réellement, fut une époque, qu'on les appelait souvent ainsi, qu'il n'y avait pas là d'insultes. Jusqu'à ce qu'Eira me gifle.

Je l'avais employé pour la qualifier. Ca l'avait choquée. En tout cas, c'est ce que la paume de sa main me laissa comme impression. Eira était une personne loyale, à l'image même des Poufsouffle et une fille que j'appréciais, malgré l'imperfection de son sang, parce qu'elle faisait pas chier. Elle venait pas toutes les quinze minutes se plaindre comme d'autres, elle venait pas chouiner parce qu'elle avait raté tel ou tel cours. Non, elle, elle me suivait facilement dans mes conneries, et nous, on était du coup souvent collés ensemble. Alors forcément, ça crée des liens. Et ces liens durèrent tout le long de notre scolarité, tant nous avions finalement formé un groupe de quatre fondateurs, et de quatre membres.

EN parallèle à Poudlard, je devais continuer chaque été de m'entrainer selon le programme de mon père, et il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que si je voulais garder une part de jardin secret, il m'était impératif de m'investir dans une branche de ses caprices : l'Occlumencie. Etre capable de cacher une partie de ses connaissances, refermer son esprit à toute intrusion extérieur, je devais maitriser cet art rapidement. Mais c'était compliqué de résister à des assauts répétés. Jusqu'au jour où je compris que résister, ce n'était pas la bonne technique. Bien au contraire. Et ce jour-là, mon père ne vit que ce que j'acceptais qu'il voit : des cartes. Je mélangeais simplement des cartes, ayant appris à les réciter par coeur dans ma tête, dans un ordre aléatoire et les comptant en même temps. Et alors que votre esprit, une part tout du moins, et ainsi occupée, le pénétrer devient réellement plus dur. Et je ne m'arrêta pas aux cartes, mais je venais y ajouter les échecs.

Poudlard, ce fut aussi la période de la puberté. Et comme chaque garçon, chaque adolescent, j'avais des besoins. J'allais découvrir qu'aimer c'était bien, et que le sexe c'était cool. Quand vous avez un nom, une réputation, c'est facile d'être entouré. Autant que de se vanter. Et si vous jouez bien, si vous vous vantez des bonnes choses, en sachant à qui et dans quelle mesure, votre réputation grandie. Bien sur, je savais qu'il ne fallait pas se vanter sans être capable de franchir le pas, parce qu'il y aurait toujours des gens capable de vous lancer un défi. Alors j'étais prêt. J'étais prêt pour mon premier baiser, pour mes premières caresses ou pour ma première fois. Mais je n'étais pas prêt pour ce défi : Constance Bell.

Parce que c'est un défi qui me fut lancé : draguer Constance. Et vous pensez bien que je n'ai pas reculer. Je l'ai approché la Lionne, je lui ai montré de l'intérêt. On était pas fait pour s'entendre, mais on s'est tout de même entendu. Et pourtant, je n'arrivais pas tout de suite à faire avec elle les mêmes choses qu'avec les autres. Se méfiait-elle ? Ou était-ce parce que je ne l'avais pas choisi au départ ? Elle était un défi, un objectif et fini presque comme une drogue. J'aimais être avec elle, comme j'aimais m'en séparer un temps. J'étais dépendant d'elle, et je m'amusais à tenter de m'en sevrer.

Mais il a fallu qu'elle gâché tout. Il a fallu qu'elle tombe enceinte et décide de garder cette progéniture. Jamais ma famille ne l'aurait accepté, et jamais je n'aurais trouvé le courage de m'opposer à eux. Parce que ma famille était mon pilier le plus ancien. Alors je l'ai laissé. J'ai disparu de sa vie, et de celle de notre fille. Traitez moi de lâche si vous le souhaitez, vous pouvez. J'étais là le jour de son accouchement. J'aurais pu franchir la porte. J'aurais pu lui dire que je la choisissais elle et pas ma famille. J'aurais pu voir ma fille grandir. Mais je me suis contenter de lire un rapport de médecin, indiquant que la femme et le bébé allait bien. Le doudou que j'avais acheté ce jour-là, il alla dans une autre chambre, dans une caisse de jouets abandonné et moi, je quittais l'hopital en enfouissant ce souvenir très profondément dans mon jardin secret. Personne ne saurait que j'étais venu. Personne ne saurait qu'au fond, j'avais peut-être un coeur.

02 Avril 1984 - Tout bascule.

Il y a des choix que l'on fait, d'autres qu'on subit. Ce soir là, j'ai subi le choix de mes parents, et j'ai fait celui de survivre. Parce que je serais mort si je ne m'étais pas incliné. Il m'aurait tué si je n'avais pas tendu mon bras. Mon existence aurait pris fin si je n'avais pas accepté ce signe d'appartenance.

La marque des ténèbres ornait mon bras, et j'appartenais désormais aux Mangemorts. Je n'étais pas sot. Je savais ce que cela signifiait. Je savais ce qu'ils prônait. Sans être totalement pour, je n'étais pas contre non plus. Je n'avais jamais aimé me cacher, et il était vrai que nous nous cachions des Moldus. Mais de là à franchir une limite. Mais je l'ai franchie. Pour prouver ma loyauté, j'ai torturé, mutilé, séquestré des victimes que l'on me donnait. Nous devions être prudents, mais Poudlard m'avait formé. J'étais suffisamment prudent que pour accomplir mes missions, suffisamment téméraire que pour échapper à mes poursuivants quand la prudence ne suffisait plus. Je n'avais pas prévu cependant qu'il faille en faire plus, que l'on me demanderait encore autre chose.

20 mai 1987 - La Mission

L'Ordre du Phénix. Voila ma mission. Il fallait que je les trouve, que je les infiltre, que j'informe les miens de qui ils étaient, de comment les atteindre,... toutes informations utiles. Alors qu'on me confiait cette mission, je vis pour la première fois mes parents être heureux que je fusses un Gryffondor à l'école. Car ce passé serait un atout de plus. Ils ne doutaient pas, les Carrow, que je trouverais là un avantage. Bien sur, il fallait donner de la vie à tout ça, à ce role que j'allais devoir jouer. Et ma famille n'était pas la plus crédible. Alors je fus chassé du manoir, abandonné à la rue et laissé avec peu d'argent. Et pour seuls mots d'encouragements ceci de la part de mon père : "Réussis, ou sinon meurs. Ca vaut mieux. Jusqu'à ce que tu réussisses, tu n'es plus digne d'être mon fils."

A croire que finalement, Merlin lui-même m'avait maudit.

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MessageSujet: Re: Clyde Carrow Clyde Carrow EmptySam 4 Juil - 21:06


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MessageSujet: Re: Clyde Carrow Clyde Carrow EmptySam 11 Juil - 22:04

Oh je n'ai pas vu que tu avais été validé ! On avait défini notre lien ?
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