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(russell), we all have a hunger.


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MessageSujet: (russell), we all have a hunger. (russell), we all have a hunger. EmptySam 15 Aoû - 16:29


russell starrick

nom Starrick; nom de famille d'un père trop distant. prénom Russell. C'est sans fioriture qu'on l'a nommé, prénom de son grand-père maternel décédé un peu avant sa naissance - hommage rendu à celui qui l'aurait aimé si fort s'il en avait eu l'occasion. date et lieu de naissance accent perché du centre de Londres, né un 12 avril. Avec le travail de sa mère, historienne, ils ont déménagé à Killiney, en Irlande, lorsqu'il avait quatre ans. Il y est resté jusqu'à sa majorité avant de retourner à Londres, pour suivre ses études supérieures. Ses parents l'ont également suivi, et ils ont habité ensemble pendant quelques années, non loin de Camden, avant qu'ils ne partent en Ecosse en 1978. âge fraîchement âgé de trente-cinq ans. orientation sexuelle hétérosexuel; il n'en a cependant jamais aimé qu'une seule. Idéaliste et profondément rêveur, Russell ne s'est jamais laissé tenter par d'autres âmes. statut civil célibataire, et c'est mieux comme ça. emploi journaliste pour le Daily Mail, rubrique des faits divers.  Il a la curiosité en étendard, et le besoin civique de rendre certaines histoires publiques. Il a toujours été de ceux à chasser la vérité, à mettre sur papier les témoignages   qu'il reçoit. Russell a le coeur tendre, et des idéaux qui jalonnent son esprit révolutionnaire. A choisir, il prendra toujours place aux côtés de la vérité et ce, peu importe les conséquences. Le prix que ça peut lui coûter, bon sang, il a l'impression de l'avoir déjà payé. Avant ça, il travaillait sous le sceau de la rubrique internationale du papier - pour laquelle il dépeignait les actualités étrangère, avant d'exposer certaines de ses recherches, commentaires, lors de ses voyages une fois l'été venu. finances sa situation financière est stable, l'a toujours été.  caractère INTJ-T; individualiste, réservé, peu loquace (exception faite lorsqu'entouré de gens avec qui il se sent à l'aise), réfléchi, observateur, idéaliste, rêveur, solitaire depuis sa morsure, arrogant, égoïste, imaginatif, indépendant, travailleur acharné. particularité loup-garou, depuis janvier 1987. malédiction qui grignote ses chairs, sa patience et sa vitalité; il se sent constamment à bout, et étrangement irritable. depuis sa morsure, Russell limite ses interactions avec ses collègues, et sa vie est devenue misérable. il a la sécurité de ses contemporains à coeur; alors, il s'agit certainement d'un mal pour un bien. avatar Michiel Huisman. crédits unknown @tumblr.

don't look back

détermination
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loyauté
(80%)
connaissance du monde magique
(65%)
altruisme
(60%)
courage
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dynamisme
(20%)
espièglerie
(20%)
prudence
(90%)
sagesse
(40%)
extraverti(e)
(30%)


Que pensez-vous de la multiplicité croissante des meurtres ?
Russell en connait les raisons – il les apprises par le biais de Maeve, lorsque les mangemorts ont commencé à pénétrer la société sorcière de mille façons. Il ne comprend qu'à peine les raisons pour lesquelles le statut de sang est important pour certains ; mais il ne croit que ce qu'il voit. Et ce qu'il voit, c'est le mensonge qui essouffle le gouvernement britannique. Le mensonge qui jalonne ses bureaux, les papiers qu'ils impriment. Consterné face au manque d'honnêteté, même s'il conçoit que la vérité serait dure à encaisser – et que personne, probablement, ne croira en l'existence de la magie et en ces mages noirs. Cette situation, Russell la déplore mais l'anticipe par sa prudence au quotidien, en évitant les grands rassemblements ou les endroits bondés.

I solemnly swear I am up to no good.

001. wizarding world. Sa meilleure amie d'enfance, Maeve, est une sorcière, née au sein d'une famille de moldus. Elle l'a initié à un certain vocabulaire, lui a montré les étoiles et lui a inculqué une autre manière de penser. Un monde qui lui était presque interdit à demi-mot, mais que Russell a toujours eu l'impression de frôler du bout des doigts. Son intérêt pour le monde des sorciers a été grandissant, depuis le plus jeune âge, et n'a fait que s'amplifier au fur et à mesure des années écoulées. 

Le monde des sorciers est pourtant quelque chose qui le touche de près, mais dont il n'a aucune idée. Enfant d'un père cracmol et d'une moldue, père renié par sa famille, Russell ne se doute pas que la distance imposée entre lui et son paternel depuis l'enfance n'est que le résultat d'une anxiété latente, d'une crainte sur laquelle aucun mot n'a jamais été posé. Elevé dans l'ignorance la plus totale, il ne sait à ce jour encore pas ce qu'il est, et de quelle branche sa famille paternelle émerge. De sang-mêlé, il est. Cracmol à son tour, certainement, sans le savoir - sans en avoir conscience.

002. parenthood. De son père, Russell n'a connu que l'absence et la même anxiété qui semblait jalonner ses traits. Il a grandi, sous le joug d'une relation entre père et fils douloureusement bancale. Rien de très excitant, rien à se mettre sous la dent. Sa mère est celle qui l'a élevé, lui inculquant très jeune le respect des femmes et le besoin de s'insurger devant les discriminations. Besoin qui se fait aujourd'hui pressant; et les révoltes, Russell les couche sur papier. Au fur et à mesure, il a semblé trouver également une certaine affection à l'égard de son père. Si ses parents sont aujourd'hui partis habiter en Ecosse, dans les Highlands, comme ils l'ont toujours voulu, leur relation n'est toujours que plus fusionnelle. Du temps où Russell voyageait fréquemment, il leur envoyait toujours quelques artefacts trouvés en chemin, ou des cartes postales. Maintenant qu'il est de retour à Londres (pour de bon, pense-t-il), il leur téléphone chaque semaine. L'envie de les rejoindre en Ecosse se fait cependant pressante - cri aigu dans ses chairs, veines qui palpitent sous le besoin de s'égarer loin du tumulte londonien. Besoin de temps pour se ressourcer, et récupérer de cette morsure dont la malédiction le fatigue.

003. maeve. Il serait mentir que de dire que Maeve ne lui a pas montré un tout nouveau monde; comme il serait mentir que de penser qu'il n'a jamais été un gamin amoureux. A s'en brûler les rétines à trop la regarder, à n'être jamais plus heureux que lorsqu'elle revenait de Poudlard accompagnée par la chaleur de l'été. Gamine devenue femme, et l'ayant embarqué dans ses folles aventures - et pendant qu'elle recherchait ses créatures, Russell écrivait. Tant d'entrain dans son écriture qu'il a commencé à considérer Maeve comme sa muse. Si l'idée était grotesque, force est cependant de constater que la sorcière l'a toujours profondément inspiré. Marquée au fer rouge entre ses poumons, relation amicale qui a pris un nouveau tournant. Amour qu'il a pu lui clamer, jour et nuit. Amour qui a été ébranlé par les dents de la créature qui a meurtri ses chairs; et l'affolement, la peur. La colère. Si Maeve n'est en rien responsable de sa situation, et jamais il ne blâmera sa malédiction sur elle, Russell a toutefois eu la surprise de se sentir incompris - de ne pas être pris au sérieux. Il souffre, et elle semble n'en avoir cure. Rupture dès que les pieds touchent le sol de la mère patrie. Depuis, le soleil est parti.

004. cursed. La malédiction à laquelle il n'a jamais songé, et qu'il doit aujourd'hui appréhender. Morsure qui marque sa peau de sa cicatrice blanchâtre; coeur qui se fend tous les jours un peu plus, alors que la fatigue l'accable. Devenu irritable, Russell peine à contrôler la situation dans laquelle l'attaque d'un loup l'a poussé - s'il s'enferme dans la cave du cottage de sa mère, perdu dans la campagne anglaise, les soirs de pleine lune, il sait toutefois qu'il s'agit là d'une solution temporaire. La portée commence à montrer des signes de fatigue, après quelques mois mois d'acharnement animal sur ses gongs. Il perd espoir, Russell, parce qu'il ne sait pas ce qui se cache en son sein. Cet animal, ce monstre, qui guette; et qui le bouffe, au quotidien.

005. hunger inside. Russell a toujours été motivé par le désir de reconnaissance. Son royaume pour des attentions, son univers pour des compliments. Petit à petit, à force d'expérience (du moins le suppose-t-il), son travail s'est lentement redirigé vers lui, moins vers l'opinion publique qu'il recherchait pourtant activement. La désir de la cause juste a souvent fardé ses mots - sans doute moins à l'époque où il travaillait sous la bannière de la rubrique Internationale du Daily Mail, où il dépeignait activement l'actualité étrangère durant l'année; et contait également le récit de ses quelques aventures une fois l'été venue. Depuis qu'il a demandé à être assigné à la rubrique des faits divers, Russell a l'impression de découvrir un autre monde - de plein fouet. Un univers où l'injustice prime souvent sur le reste; même les bons sentiments.

006. all work and no play. A peine sorti de son master d'English Literature, ayant brillé dans les rangs de la City University London, Russell a été embauché par le Daily Mail. Pas une seule seconde de répit dans son ascension qu'il voulait fulgurante; même si elle ne l'a pas vraiment été (et c'est peu dire), son travail lui apporte aujourd'hui une sorte d'apaisement. Travailler pour mieux s'oublier, nez plongé dans ses papiers, yeux tombants et coeur qui lâche, affable, à chaque entretien qui brûle sa gorge. Si dépeindre l'actualité étrangère lui manque (car ce rôle lui donnait l'impression d'avoir un pied dans chaque pays qu'il étudiait), il se sent cependant plus à son aise parmi les siens - et son propre pays l’écœure. Sachant pertinemment ce qui se trame dans l'ombre de ce gouvernement noirci par la corruption, cet autre monde qui doucement s'immisce dans le sien et détruit des âmes pour le simple plaisir de pouvoir le faire.

007. a muggle life. Russell n'a jamais été bien spécial ; et c'est l'envie qui a souvent fardé son cœur à l'écoute des récits de Maeve. De ce qu'elle faisait. Autre monde qui s'ouvre à lui, grâce à elle, nouveau monde dans lequel il plonge sans se retourner. L'idéalisme à ce propos est franc, et la chute est brutale – dès que les dent du loup marquent sa peau, l'homme part sans se retourner. Il voit le gouvernement sorcier, le monde sorcier, pour ce qu'il est véritablement ; il voit aujourd'hui les sorciers comme des gens qui font des erreurs, des meurtriers et des gens infiniment bons également. Un tourbillon de personnalités, d'individus. Alors qu'avant, Russell avait des rêves plein la tête ; mais il a perdu une partie de sa liberté à cause de cette magie, à cause d'une créature qu'il n'aurait jamais rencontrée dans un monde prétendument normal. Existence paisible, marquée par la terreur d'être devenu un monstre.

008. the architect. L'ignorance est ce que Russell redoute le plus – un poil arrogant, il peut le paraître lorsqu'il défend les causes qui lui sont chères. Jamais il ne s'exprime autant que lorsqu'il se sent touché par un fait, sur lequel il a basé ses opinions et ses recherches. Le journaliste ne pense pas détenir la connaissance absolue, et tout ce qu'il dit n'est pas non plus parole d'évangile, mais il base toujours ce qu'il dit sur ce qu'il lit, sur ce qu'il apprend, plutôt que sur sa propre expérience. Ainsi, les bigots n'ont aucune place dans son cœur, et sa verve n'en est toujours que plus étrangement acérée.

009. the river. Russell a une imagination sans limite; mais jamais il n'aurait pu songé qu'une autre monde, parallèle au sien, existait. Il s'inspire des voyages de Maeve (ou s'inspirait, lorsqu'ils étaient encore ensemble) pour écrire quelques livres romancés - qu'il n'a jamais songé à publier. Le travail d'écriture, à ses yeux, est intime - lettre de promesse de sa patte à son coeur.

010. en vrac. ses sourires sont devenus rares depuis sa morsure; et des cernes bleutées soulignent ses yeux en permanence. / plutôt réservé, Russell est cependant incorrigiblement loquace en compagnie de ceux dont il aime la présence. / il va au pub tous les jeudis soirs, et il n'apprécie que les pintes de bière brune. / à l'approche des soirs de pleine lune, Russell se rend dans le cottage de vacances de ses parents, non loin de Bristol - perdu dans la campagne anglaise, et s'enferme dans la cave. / même s'il n'en a aucune utilité à Londres, Russell possède le permis de conduire et une voiture : une Ford Cortina bleue métallique, payée avec ses premières économies. / il n'a jamais vraiment le mot pour rire, et ses plaisanteries tombent souvent à plat.


mischief managed.


pseudo, prénom penthésilée, ophélia. âge 27 ans.  (russell), we all have a hunger. 1872952748  lieu de résidence landan m8 personnage personnage inventé. avis sur le forum bof. on mange quoi ce soir ? dernier mot où sont mes serdy et mes serpy ???  (russell), we all have a hunger. 1766823151  
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