the wand choose the wizard | |
maîtrise de la magie (85%) | |
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Que pensez-vous de la Ministre de la Magie ? Est-ce que vous pensez qu'il gère bien la situation ?fière entité aujourd'hui devenue nid à vipères; voilà comment il voit l'endroit où il se rend tous les jours. Des œillades presque paranoïaques, une prudence dans chaque mot lâché avec dextérité. Son talent, faire comme si de rien n'était, comme s'il naviguait encore avec insouciance dans un monde qui avait bien changé, depuis Poudlard. Ses soucis, il ne les exprime qu'à de rares privilégiés, une confiance durement acquise mais faite d'airain: les autres ont droit à une indifférence polie, voire à un caractère ouvertement récalcitrant et provocateur: les rixes d'une vie quotidienne,
qui vont avec qui il est, diraient beaucoup. Mais sa famille est en danger, son épouse plus que n'importe qui d'autre- il le sait, et ne s'laisse jamais à oublier ça.
I solemnly swear I am up to no good.[ 1960 ] BLOOD TIES l'enfant espéré et attendu, murmure de sanglots sur les lippes de ses parents: le vide, pendant si longtemps dans la grande maison des potter. james est l'enfant miraculé qu'ils n'attendaient plus. fleamont et euphemia potter, riches et confortablement installés dans un monde qui était le leur,
sorciers héritiers de lignées entrelacées. politique, entreprenariat, les potter ont été architectes dans la création du monde magique qui a accueilli leur fils: deux personnes à l'orée de la retraite, déjà, quand ils sont devenus des parents mielleux et conciliants. si leur fils s'est longtemps fièrement pavané dans les couloirs de poudlard, la baguette trop facile pour emmerder les autres et les provoquer, arguant les autres d'une indifférence moqueuse, il n'en est pour autant pas devenu un monstre. plutôt le digne héritier de leur nom, le fils qui a fait perdurer un sourire affectueux sur leurs visages quand, en 1979, ils se sont éteints, tous deux partis à quelques mois d'écart suite à la dragoncelle.
[ 1970 ] DARK SHADOWS des murmures d'intolérance et de haine qui ont toujours fait frissonner la mère-- spectateurs confortablement installés dans leur grande maison, qui ont vu le monde s'effriter. du haut d'ses dix ans et quelques, il n'a que rarement compris, les gros-titres sur les journaux, les faces qui s'exposaient sous l'étendard "mangemort".
lord voldemort et le silence qui suivait ce nom. pour la plus grande partie d'sa vie, james a grandi dans cette guerre: d'abord insidieuse et lointaine, aujourd'hui nichée dans londres même. un ministère de la magie dans lequel il navigue avec prudence, les pupilles à la recherche d'un mensonge, d'une trahison quelconque. à savoir qui ment, qui dit la vérité. et aux yeux de beaucoup trop, sirius le traître, sirius un parjure sur lequel pleuvent des insultes crachées par leurs amis. le poids du silence, des choix d'albus dumbledore- de son spectre y abandonnant un grand vide quand, jusqu'alors, il s'était hissé en symbole d'espoir. james n'se souvient plus des temps
plus simples et la paranoïa froide glaçant les chairs, la méfiance figeant les mots, la mort maîtresse flottant dans l'air: tant de choses qu'il voudrait éradiquer pour de bon, pour offrir un meilleur avenir à son fils.
[ 1971 ] RUBY RED poudlard est devenu ère de tranquillité; une bulle préservée, l'aura d'albus dumbledore, calme et puissante, verrouillant le château dans un cocon où le temps s'arrêtait.
gryffondor était là où l’œil du potter s'était porté: la maison de son père, de son grand-père, une ligne rouge, presque comme le putain de prénom
fleamont. élève nonchalant et dissipé, l'injustice voulait qu'il ait tous les talents possibles: une aisance à pratiquer la métamorphose et les sortilèges, à s'faire remarquer en cour de potions pendant que snivellus devenait vert de rage, trop
silencieux pour briller. sa trace laissée au sein du château, est celle qui le rattache au quidditch, les coupes remportées pour la maison, fièrement monté sur son balai; toute une liberté extension de son être. le sport était devenu poumon de sa popularité, l'exutoire qui canalisait toute sa dévotion - s'il y avait quelques nuits par an où il ne faisait pas les quatre cents coups, c'était avant un
important match. l'indifférence de l'immaturité, entrecoupée de cris dans la grande salle, d'enfants qui quittaient poudlard en pleurs après une funeste annonce, d'un
bullying sur fond de ténèbres--
des drames qui arrivaient à traverser les épais murs du château. une rancœur qui grandissait peu à peu, envers tous ceux qui participaient à diviser c'monde avec leur haine.
[ 1972 ] BAND OF BROTHERS la rencontre hasardeuse dans le poudlard express, d'un potter et d'un
black; là est apparu le noyau des maraudeurs. c'groupe d'amis écumant les couloirs du château, se faisant toujours remarquer. loyal sans défaut, james a toujours été celui prêt à aider ceux à qui il tenait: une qualité si facilement ignorée par d'autres, ceux
de l'extérieur, qui observaient le groupe, avec jalousie ou désintérêt. ils se sont toujours faits remarquer, à frôler avec l'interdit, à défier c'qu'il y avait à défier. une attitude débonnaire qui n'a jamais déteint sur le respect pour l'autorité, l'exigence de professeur mcgonagall, la prestance d'albus dumbledore. avec les autres, james a longtemps tout un d'un
bully, provocateur et mesquin, surtout vis à vis des serpentard: un sale caractère qu'il justifierait volontiers en pointant du doigt tout ce qui se passait à l'extérieur, à l'époque. le mage noir, hantant trop souvent les esprits et les labres des verts et argents: l'intolérance, au fond, savamment récompensée par un james leader de son groupe, et toujours prêt à en découdre. et si dans le lot, peter a toujours tout eu du suiveur, pot-de-colle presque non désiré, il a toujours, mine de rien, fait partie d'la bande et les réserves du brun vis à vis de celui-ci, sont dues principalement à la lâcheté évidente de peter, sa loyauté tâtonnante, quelque-chose d'un besoin d'être
important.
[ 1976 ] PRONGS une vérité exposée dès leur deuxième année;
remus était un loup-garou. la bête vicieuse que craignait tant de sorciers. dans le lot, james a été le premier à s'en fiche complètement; à vouloir aller à contre-courant. si facilement taquin et provocateur, plutôt que d'haïr ce que son ami s'est révélé être. ensemble, ils ont eu l'idée de devenir des animagus, d'coller remus partout où il allait. un soutien sous-latent aux moqueries, la fidélité indéfectible du groupe, déjà devenu inchangeable dans leur deuxième année à poudlard.
ils n'l'ont jamais laissé tomber, quand bien même moony était facilement le plus sage du groupe, le sérieux qui roulait les yeux à leurs déboires. de par ses facilités en métamorphose, james
l'eut facile, l'apprentissage presque instinctif. du groupe, il devint un cerf-
prongs, synonyme d'une liberté insatiable dont il a toujours été profondément amoureux.
[ 1977 ] CHOSEN FAMILY l'été 1977, une tape amicale ancrée sur l'épaule d'un sirius qui avait fui sa famille. le recueil du frère de cœur au sein de la maison des potter: ce qui avait été tissé si facilement entre eux, n'a fait que se renforcer. les siens ont accueilli le black à bras grands ouverts, la légendaire
tolérance des potter s'étendant à tous, même ceux maudits d'un nom synonyme de mauvais augure. ça a été l'été de tous les excès, les risques pris à l'orée de leur majorité, principalement pour faire oublier à sirius le désarroi qui avait fini d'annihiler ses espoirs de relations avec les siens. ils ont tenté le diable, devenant plus frères que jamais; des serments qui n'ont jamais eu besoin d'être formulés à haute voix. c'est tout naturellement qu'ainsi, quelques années plus tard à la naissance d'harry, c'est vers sirius que s'est tourné le choix du parrain; la confiance absolue scellée pour de bon. distillée en leur amour sans faille pour le bébé qui est si brusquement entré dans leurs vies à tous. aujourd'hui, un choix que lily regrette, le poids d'un silence que lui, porte secrètement.
[ 1978 ] EVANS lily evans, la rousse explosive et revêche qui a capté son attention dans le poudlard express déjà. de ces rares filles qui ne sont pas
si facilement tomber dans ses filets. il aurait pu passer son chemin; mais elle est devenue ancre à ses pensées, d'plus en plus au fil des années. seule ombre au tableau,
snivellus sur ses talons: la bête accrochée à la belle. l'idiot qui en a subi les conséquences, des années durant; aujourd'hui adulte, un comportement qu'il n'arrive pas à regretter, à entendre encore l'insulte '
sang de bourbe' exploser au visage de la rousse, à voir la haine dans les pupilles de snape. un minable, pour sûr. il en a fallu du temps à lily pour le voir, les blessures insidieuses d'une guerre où, de plus en plus, le monde magique a hurlé à la gueule de la jeune fille qu'il ne voulait pas d'elle. il a contrebalancé tout ça, james, mine de rien. d'ces rares héritiers d'un sang pur qui ne s'est jamais prétendu quoique ce soit de plus que les autres. c'est quand il est devenu préfet-en-chef à ses côtés, lors de leur septième année, qu'il a véritablement réussi à l'apprivoiser: quelque-chose d'une sagesse durement inculquée dans le crâne par les événements partout autour. par l'âge. les conneries diluées dans plus d'efforts. peu à peu, il l'a faite sourire de plus en plus honnêtement, lily. elle a arrêté de rouler des yeux et s'est mise à rigoler à ses petites rixes. un son qui a fait pulser son cœur à toute vitesse; peut-être que c'n'est que quand il a réalisé qu'elle n'était pas
juste un autre caprice, que les choses se sont vraiment passées entre eux; qu'elle s'est laissée aller à vraiment y croire, et qu'il a laissé tomber les masques.
[ 1979 ] THE ORDER choix naturel, presque le fardeau d'cette génération: james résistant provocateur qui a dit
non aux approches de lord voldemort. c'est albus dumbledore qu'il a choisi de suivre, le combat contre l'intolérance en laquelle il n'a jamais cru. l'indifférence de l'école abandonnée sur le parvis du château, il a décidé de s'battre. d'oublier ces rêves fantasques qui lui feraient fermer les yeux, l'illusion d'sécurité offerte par le sang coulant dans ses veines. l'ombre du danger qui n'se nomme pas, omniprésente sur chaque coin de paysage sur lequel ses prunelles se posaient: l'ordre, au fond, c'n'était qu'une question de temps.
[ 1980 ] HARRY l'idée d'une toute nouvelle réalité d'homme
responsable explosant à sa gueule; si l'annonce de la grossesse de lily avait été un choc, la naissance de harry fut séisme. l'univers réécrit pour ne graviter qu'autour de leur fils; des aspirations et des craintes qu'ils avaient pour lui. james a eu la chance d'avoir un père aimant - mais enfant d'un couple vieillissant, il a souvent été solitaire, l'indépendant qui cherchait l'aventure ailleurs. il est alors le père à l'apparence insouciante, celui qui participe aux blagues et se nourrit des rires de son fils. l'idéalisme d'une jeunesse encore candide, qui dégage l'ombre omnisciente qui gangrène peu à peu l'monde magique. harry est espoir, lumière --
l'attente d'un avenir où il n'aura pas à vivre avec certains mots gravés dans son crâne en des obsessions oppressantes. une dévotion toute entière qu'il partage avec son épouse, à faire un monde meilleur; mais lily, elle frôle les excès, danse avec
le trop et ça aussi, ça a quelque-chose de terrifiant.
le couple a adopté un chat, parfois, james s'demande si ce n'est pas mcgonagall qui les espionne ● c'est avec sirius que james a acquis une moto volante - presque une réplique de celle de son meilleur ami: dessus tous les deux, ils ont fait les quatre cents coups, quitte à emmerder les moldus avec leurs rixes ● s'il n'a que des difficultés à s'entendre avec
sa belle-famille - notamment petunia et son tout juste mari, vernon - james a pris sur lui d'apprendre tout ce qu'il y avait à apprendre sur le monde moldu; pour lily principalement: il y a découvert des aspects fascinants contre lesquels il n'a jamais été récalciltrant, appréciant particulièrement la musique de l'angleterre de leur temps ● s'il avait pu choisir, il se serait tourné vers une carrière dans le quidditch, sa vraie passion: le balai devenu extension de son être depuis l'âge où il a pu monter dessus, un gosse jugé trop énergique et imprudent par ses parents ● plaies laissées par le décès de ses parents, james est particulièrement effrayé à l'idée que lily et lui puissent soudainement disparaître et laisser harry seul. s'il sait qu'il peut compter sur sirius pour assurer un avenir à leur fils, le deuil de ses parents reste une douleur lancinante qui a marqué le jeune homme de dix-neuf ans qu'il avait été, à l'époque ● il est curieux, gourmand et impétueux de nature, des traits de caractère qui le poussent facilement à tout essayer, sans une once de limite: principalement ce qui le rend "trop original" aux yeux de sa belle-sœur ● noyau parmi l'ordre, le groupe des maraudeurs demeure là où existe sa plus pure loyauté: quand certains expriment des crachats de haine à l'égard de "
sirius black le traître", il est le premier à réagir au quart de tour. on le juge trop susceptible pour reconnaître la trahison de son ami. la vérité est toute autre et james ne peut que s'impatienter en silence, croire que dumbledore a un meilleur plan. difficile de s'y accrocher, quand dumbledore lui-même a disparu ● autre signe de loyauté, celui-ci va à l'égard de remus; le
loup-garou toujours victime des peurs des autres: une partie de son héritage, james l'injecte à aider son ami, toutes les fois où celui-ci ne crèche pas sur le canapé de la maison familiale ● à poudlard, il a eu une réputation de coureur: mais les plus observatrices ont toujours su qu'il n'y a toujours eu que lily- une dévotion sans faille qui existe toujours aujourd'hui, malgré les hauts et les bas, l'inquiétude latente et les secrets ● il est le parent qui encourage le côté casse-cou et imprudent de son fils; celui qui se plait à le voir naviguer dans la maison sur un balai qu'il ne contrôle qu'à peine. lily le juge trop laxiste et permissif, et elle a probablement raison; il concède au moins ça ● une grande partie de son temps de travail, il le passe dans le département des sports magiques, à parler quidditch avec ses collègues; une imprudence qui lui a valu quelques remontrances, et fait que certains le sous-estiment grandement.
mischief managed.
pseudo, prénom marie, une vraie sainte (a). âge l'âge de la lady de lothlorien, couplé avec l'âge de mythrandir grandalf the grey, vOILA. lieu de résidence la comté, in a hole in the ground. not a nasty, dirty, wet hole, filled with the ends of worms and an oozy smell, nor yet a dry, bare, sandy hole with nothing in it to sit down on or to eat: it was a hobbit-hole, and that means comfort. personnage inventé et sauvagement assassiné par jkr. avis sur le forum ajoutez des soirées crêpes. dernier mot j'me suis perdue sur tumblr, again.