nom Bullstrode, les quelques syllabes dans tes lippes sucrées, seul lien qui te noue à eux, aux démons qui t'entourent, dont tu ne ressens aucune ressemblance, toi l'étrangère dans le monde de noirceur, la lumière qui aveugle de trop, qui essaie de se nicher dans les recoins pour ne pas être remarquée. Bullstrode, nom de cette prison de verre, de cette loyauté dont tu es dôtée qui t'empêche de les trahir, d'avancer à contre-sens, comme un serment inviolable, comme une douleur dans le myocarde, déchirement à chaque fois que tu penses à un ailleurs, à une vie dénuée de leur odeur suave.
prénom Hecate, douce déesse des faces lunaires, double personnalité, gémeau qui ne sait jamais se poser, se stabiliser, volant de port en port, de fleur en fleur, jamais satisfaite, Hecate, pour te rappeler ta surpuissance, qu'un jour, lointain, une de tes ancêtres était une déesse, pour te rappeler ta place au dessus du monde.
date et lieu de naissance 3 juin, enfant du printemps, les fleurs qui éclosent, dans une limite entre les saisons, dans ce manoir beaucoup trop grand où tes cris n'englobent qu'une partie de la pièce, où les regards d'amours se perdent, ne se posant jamais sur toi.
âge Les vingt-sept ans enfin acquis, la vie qui continue à défiler tandis que toi tu joues avec, douce funambule, riant avec la vie, la jouant aux dés encore et encore, pour les sauver eux, un de plus, deux de plus, une vie pour une vie, vivant la tienne en sauvant la leur.
orientation sexuelle la dominance des mains fortes, la voix rocailleuse qui se perd dans la naissance de ta gorge, dominée à jamais, aimant être le sexe faible entre leurs mains expertes, folle de l'adonis, folle des
hommes.
statut civil fiancée sans que tu n'ai pu décider de l'homme qui partagerait l'anneau, pour continuer la lignée, pour la fierté, parce que tu ne te lieras jamais à un moldu, si seulement ils savaient, à quel point ton coeur est ailleurs, à quel point tu pourrais donner ta vie pour un homme dont la pureté ne vient pas de son sang mais de son esprit aguéri, qui t'a envouté.
statut de sang la pureté jamais incontestée, la folie du sang-pur ayant amené la folie, pas important pour toi, au final, en coulant sur le sol des guerriers, le sang est pourpre, peut-importe le camp.
scolarité choixpeau flou, le choix de l'esprit, le choix du coeur, de tout ce qui est en toi, Bullstrode qui dénature le choix et pourtant, Poufsouffle scande,
Poufsouffle hurle pour toi, la loyauté qui transcende, les couleurs qui emplissent ton coeur, toi, seule lumière dans cette famille de Serpentard, devenant la honte à jamais, l'élève pas assez brillante, réussissant à peine, celle qui ne tyranise pas, n'excellant qu'en activités extra-scolaires, n'étant bonne que de voix, de coeur, dans la chorale de l'école et en tant que batteuse de l'équipe des jaunes et noirs.
emploi tu essuies les verres, tu écoutes les drames,
serveuse au chaudron baveur, rien de bien glorieux pour les autres, tout ce que tu aimes pourtant Hecate, .
finances la richesse qui enivre les autres, dont tu me moques et pourtant l'opulence a été ton quotidien, à toi, venant d'une des grandes familles, prête à tout laisser, à laisser les fioritures pour pouvoir simplement t'envoler, ne plus être une marionnette, ne plus agir que pour ressentir un peu d'amour d'eux, qui ne le ressentiront jamais.
caractère douce - loyale - très attachée à sa famille - à l'écoute - ne suit pas ses propres conseils - maternelle - envahissante - obstinée - maligne - flemmarde - peu débrouillarde - sincère - fonceuse - nevrosée - colérique - lunatique - susceptible - jalouse - possessive - bornée - change tout le temps d'avis - Désordonnée - Souriante - Solaire - Attachante - Drôle.
particularité magique écrire ici (à demander ici
https://gigglewater.forumactif.com/t48-les-particularites-magiques avant de faire votre fiche).
groupe Mangemorts.
avatar J'hésite entre Christina Nadin et Josefine Pettersen, hésitez pas à me dire ce que vous en pensez
.
crédits muralliann (pinterest).
the wand chooses the wizard | |
maîtrise de la magie (60%) | |
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Que pensez-vous de la Ministre de la Magie ? Est-ce que vous pensez qu'il gère bien la situation ?Les apparences trompeuse, les ficelles si bien tirées par les grands noms, ceux de ton côté, prônant les idéaux, tu aimerais que les choses changent Hecate que tout redevienne comme avant, avant qu'il n'apparaisse, quand le monde était en paix, quand les gens pouvaient se mélanger et être heureux. Tu essaies de ramener cette paix à ta manière, en sauvant le plus de gens possibles, pour que la noirceur ne domine pas le monde.
I solemnly swear I am up to no good.BULLTRODE. les papillons qui s'écrasent sur la droiture de son échine, elle,
Circée et ses doigts qui se courbent et ses lippes qui se posent sur toi, douceur en apparence, se donnant en spectacle devant la foule, pas autant aimée que les deux autres, une fille de plus, encore à jamais, sans réelle valeur, toi et ton teint hâlé, toi et cette beauté à peine reconnaissable. L'amour n'a jamais réellement touché ta peau Hecate, n'étant qu'une de plus, devant faire tes preuves dans la cour des miracles, la cour te regardant, un sourire mauvais qui dégomme et toi, qui te démène dans l'arène, pour un regard, un geste, moment volé d'une douceur jamais acquise, l'amour n'est pas chose fortuite chez les Bullstrode, eux et leur haine, eux et leurs enfants nés dans un amour inexistant, pour perpétuer le
sang bleu des hauts du monde, superficialité qui vogue sur les bancs des retranchements, née dans la mauvaise famille, toi, Hecate et ta pureté, et tes rires qui s'envolent , la bonté qui t'emplit, lumière aveuglant dans une famille d'ombre.
HOGWARTS. l'émerveillement dans le myocarde, palpitat la chamade, à ne plus savoir respirer, à essayer de garder dans ton esprit chaque once, chaque petite seconde de cette première rencontre, avec cet endroit qui deviendra ton pied-à-terre , ton recueillement pendant de nombreuses années. Tu n'arrives pourtant qu'à garder qu'un seul mot dans ta tête
serpentard la maison des Bullstrode, fierté des verts et argents, tes ainés qui s'y trouvent déjà, comme une évidence que tu suives le chemin et pourtant rien qui te caractérise, toi qui n'a pas spécialement d'ambition, de vanité, de fourberie dans le cœur, l'émeraude qui ne te gagne pas et la peur, imperceptible que le choixpeau arrive à te cerner. Le frôlement attendu, les minutes qui s'allongent alors qu'il n'arrive pas à se décider,
choixpeauflou entre le coeur et la raison, entre le nom et les idéaux qui manipulent les jugements et la bonté de ce coeur qui n'y aurait pas sa place.
Pouffsoufle qui se scande alors que les regards changent à la table des serpents, chuchotant entre eux, honte, Bullstrode qui se ternit, fille Bullstrode emmenée dans la maison des loyaux, des gentils, des fidèles de tout ce que ne sont pas tes ascendants. Les lettres qui se font ignorantes, les regards qui se fuient, les discussions qui ne se tournent jamais vers toi lors des repas de Noel,
invisible à jamais, Bullstrode ternie, n'apportant jamais la fierté tant attendue, eux, ne pouvant plus pavaner devant tes pseudos exploits inexistants.
SHAME. Les notes qui ne s'envolent pas, l'ambition qui ne prend pas place dans ta coeur, tu veux simplement vivre tranquille, l'amusement pronant, l'adolescence vécue dans chaque recoins. Le quidditch comme passion véritable, à jamais assumée, seul réel exploit dans ta carrière scolaire, batteuse en colère, montrant la rage cachée en tapant dans le cognar, en hurlant toute cette frustration qui t'emplit, toi le mouton noir, n'appréciant jamais les victoires, jamais assez, ne pouvant pas les partager avec cette famille que tu aimes pourtant plus que tout, ne sachant plus quoi faire Hecate pour qu'ils te regardent, jamais suffisant, jamais d'assez bonnes notes, jamais meilleurs que cette fratrie qui suit les pas déjà tracés, le troupeau suivant le berger malfaisant, et toi qui te perd en suivant un oiseau de lumière.
SCARED. Les aiguilles qui lacèrent, la liberté qui s'enfuit au loin, alors que toi tu entreprends de marcher vers l'autre chemin, vers la noirceur, pour eux, simplement, alors que tu n'as jamais cru, en
lui, lui et ses idéaux, lui et cette suprématie sang-pur qui n’amène que la haine, et pourtant, la marque se dessine sur ton avant-bras, preuve de ta lâcheté, des larmes non versées qui te restent à travers de la gorge, juste ça, tu e pouvais leur offrir que ça, à cette famille qui t'a en horreur, ton quotidien bercé par les cris, la peur, la haine, les meurtres et toi, ô Hecate qui n'arrive plus à se regarder dans un miroir, n'y voyant qu'un monstre de lâcheté, aussi sale qu'eux, pire qu'eux parce que toi tu tues pas par conviction mais pour un amour, un semblant d'affection qui ne vient jamais, normalité simplement, pour eux qui idéalisent le seigneur des ténèbres, alors que toi, tu n'arrives pas à le regarder dans les yeux, alors que toi tu aimerais que tes ailes se déploient, pour rejoindre les forces du bien, pour retirer ce masque de haine, pour laisser place à ce sourire qui t'a tant bercé, qui n'est plus que néant, alors que tu ne te reconnais plus, alors que plus rien n'a d'importance, à quoi ça sert de vivre dans la peur, à quoi ça sert de se battre pour des causes auquel tu ne crois pas, vis, même quelques secondes, quelques heures mais meurs liberée, les ailes déployée
ENGAGEMENT. Le lien qui se resserre, alors que tu aurais aimé y échapper, toi, qui a toujours cru à l'amour véritable, toi qui a toujours espéré ressentir cette flamme, ces battements qui s'affolent, en vain, sachant au fond, que ça se terminerait comme ça, lui et toi, toi et lui, depuis toujours. Tu étais destinée à devenir
madame Avery. Destinée à vivre dans un cocon de vide, à le regarder lui et sa suffisance, lui et sa fierté qui déborde depuis toujours, qui n'a jamais eu un seul regard pour toi, pas assez caractérielle, pas assez dure, pas assez bien que pour être à son bras, et pourtant, malgré la haine, les apparences trompent, les sourires se délient alors que vous passez pour le couple parfait, alors que personne ne sait que chacun rêve d'un mieux, que toi tu rêves de t'enfuir, de rencontrer cette personne qui en vaudrait la peine, qui vaudrait la peine que tu passes à travers le brouillard, qui te ferait rire jusqu'à t'en faire mal aux côtes, qui n'aurait pas peur de danser sous la pluie avec toi, tu as besoin de quelqu'un totalement contraire à Avery qui ne t'apporte que dégout et mépris. Le gibet qui se rapproche, alors que la corde te mord déjà la nuque, marchant ô Hecate vers ta destinée de misère, prête à être sur scène constamment jusqu'à la toute fin de ton chemin de brique, à ne devenir qu'une marionnette, menacée à chaque mot qui sort de tes lippes charnues, jugée, condamnée à vivre une vie d'imposture.
ANAR. Les balançoires qui gravitent, l'herbe mouillée qui tâche ta robe blanche, les rires de deux gamins qui se trouvent, deux lumières blanches qui s'opposent, qui s'apprivoisent pour donner un soleil,
Anar et ce sourire, Anar et cette boule de vie qui t'enveloppe, lui et ses malheurs qui se rapproche de toi, devenant finalement à lui seul la meilleure des familles, le meilleur des amis, et pourtant, une autre étoile gravite, toujours, Sapho, Sapho et sa colère, Sapho et sa jalousie, parce qu'elle n'a jamais eu sa place, parce qu'elle n'a jamais réussi à se faire aimer de lui. Deux enfants que vous étiez, qui ne comprenaient pas encore la vie, qui ne comprenaient pas que tout était déjà occupé de se mettre en place, que vous n'auriez jamais le choix, deux enfants crevant de liberté, bouffés d'envie de projets d'ailleurs, sans savoir que les barreaux dorés de cette prison enivrante sont déjà vissés, qu'un jour ou l'autre, tout se brisera, que vos chemins s'éloigneront, ô Anar et cet amour qui t'englobe, ce petit frère qui te semble tellement loin, dont tu n'entends plus que l’écho, alors que ta main essaie vainement de toucher la sienne.
FREEDOM. Les années qui passent alors que le gout acide te dégomme la bouche, le coeur qui s'emplit qui contrôle alors tout,
juste une fois , pas plur que tu murmures alors, une fois, une mission ratée, les infos qui fuitent, les adresses, les noms des victimes, de ces personnes dont les rêves seront brisés par un
avada kedavra flamboyant. Tu les as prévenu, cette famille, trois enfants, des parents ayant un travail, des opinions, des projets, tous morts le soir même si tu ne fais rien, alors les mots sortent au moment où ils ouvrent la porte.
ils arrivent, partez tout de suite, allez vous cacher quelque part. Tout qui enivre, les vies sauvées, les générations qui vont se proliférer, grâce à toi, trouvant finalement ta destinée, préférant mourir jeune en ayant fait ce qui te semble juste, une mission qui se transforme en deux, en trois, sans que tu réfléchisses, sans que tu ne prennes conscience du danger qui te guette, du sort qui t'attend si ils font le lien avec toi,
trahison qui se paie, ton corps froid et inerte, personne pour le pleurer, à quoi bon, à quoi bon suivre le troupeau, vis Hecate, vis enfin.
CHOICES. les liens qui se forment, les secrets qui s'accumulent, et l'amitié, intense, solide qui demeure après les années enfuies, deux adultes sur un banc, Anar et son esprit tourmenté, toi et le soleil qui t'éblouit. Anar et ses sentiments pour cette autre, qui n'est pas Sapho, pour cette moldue qu'il ne pourra jamais avoir. Toi, qui ne sait pas quoi faire, l'éternel choix qui te pèse, la fidélité plus forte de quel côté Hecate, ne sachant pas quoi faire face à la possibilité d'un cœur brisé, de celui de cette sœur cadette, encore trop jeune que pour devenir aigrie, Sapho et sa cruauté juvénile, et tout ce qu'elle pourrait faire pour le briser lui, si il bafoue son honneur à elle, déesse. La morale qui te revient en plein front, qui t'empêche de comprendre,
impartiale , impossible, alors tu t'emprisonnes, à nouveau, dans cette prison qui te protège, attendant un mariage qui ne vient pas, qui continue de s'éloigner, et pourtant l'autel est en vue, et pourtant tu entends déjà la musique macabre de la marche, tu sens la morsure de ces menottes qui englobent déjà tes poignets fins.
BRIGHT. les coudes qui se posent sur le bar mouillé du chaudron baveur alors que tes yeux se posent dans les siens, lui que tu n'as plus vu depuis tellement longtemps, les chemins qui s'éloignent pour se retrouver au moment fatidique, l'aigreur qui éclate, les battements du myocarde qui résonnent dans la pièce, deux aventuriers risquant leur vie, et toi, qui ne pense qu'à lui, à sa vie, à ce souffle chaud, à son sourire mesquin, à son sang rouge,
né-moldu et l'interdit qui rend le brouillard plus épais, alors que tu sais que tout sera impossible, que tu n'as pas le droit, que tu n'auras jamais la chance de toucher ses mains, de sentir ses lèvres minces sur ta joue,
ose, danse sous la pluie avec lui, suis la symphonie incessante, laisse tout tomber, laisse tout, enfuie toi, recommence, deviens une personne normale, plus jamais liée à un nom qui n'a aucune valeur pour toi, à une famille qui n'est pas faite pour toi, pas le même moule, vingt-sept ans que tu insistes, les ecchymoses peints sur ton corps, ose,
ose Hecate.
HECATE. A été pendant ses sept ans à Poudlard dans la chorale de l'école en tant que soliste
Fait partie d'un groupe de musique qui se produit parfois au chaudron baveur
A eu ses ASPICS avec des A
Fan des harpies de Hollyhead
A peur des crapauds depuis que celui d'une camarade de classe a dormi sur ses draps en deuxième année
Parle le français et l'anglais, Circée étant française.
mischief managed.
pseudo, prénom fauve, laetitia pour les intimes
.
âge les 23 ans qui approchent.
lieu de résidence toujours dans ma Belgique qui vient enfin d'avoir un peu de pluie
.
personnage personnage inventé, nom pris dans le registre des sang-purs
avis sur le forum qu'est-ce que je l'aime
.
dernier mot moustique. (si vous avez envie d'un petit lien avec ma douce, j'ai posté un sujet dans les invités, donc n'hésitez pas, ou un petit message