the wand chooses the wizard | |
maîtrise de la magie (75%) | |
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Que pensez-vous de la Ministre de la Magie ? Est-ce que vous pensez qu'il gère bien la situation ?Si Harold était neutre, il dirait que le Ministre de la Magie ne gère absolument pas la situation et que c'est un ramassis d'incompétents. Il aurait déjà plusieurs remarques d'améliorations qu'il déblatérerait à qui veut bien l'entendre, probablement impossibles à mettre en place puisqu'Harold donne son avis sur tout et rien sans forcément bien connaître le sujet dont il parle. Mais secrètement, il ne peut que se réjouir et se délecter du chaos instauré par les siens, preuve que les fondations du "bien-pensant" magique sont très peu solides, et qu'un changement est nécessaire. La disparition d'Albus Dumbledore est justement une preuve de plus que même les membres influents du parti adverse ne croient plus à leur propre cause. Amusant et pathétique. Loyal aux Mangemorts bien qu'il ne puisse s'en vanter publiquement, il espère également que sa fidélité et son importante activité seront à juste titre récompensés, le moment venu, par le poste de Guérisseur en Chef à Sainte Mangouste.
I solemnly swear I am up to no good.001. Harold est un Carrow et il aime l’être. Il aime appartenir aux Mangemorts, il aime torturer, appuyer sur les faiblesses de ses victimes pour les faire cracher le morceau. Plaisir de violence inscrit dans sa chair dès la naissance. Douce dopamine qui circule lorsqu’il fait couler le sang avec une délectation non dissimulée. Dans sa famille, on apprend très tôt à rendre les coups mais encore plus à frapper le premier. Placé sans cesse en compétition avec son frère et sa famille rapprochée pour être le meilleur aux duels, dégainer en premier, et les leçons ne s’arrêtaient jamais à la première effluve de sang. Duel fraternel qui ne s’est pas éteint avec l’âge.
002.Physique endurci, expérience acquise avec l’âge, immense sagesse dont il se croit désormais pourvu pour se permettre d’être Monsieur Moralisateur dans son entourage. S’il a souvent raison, il n’admettra quasiment jamais avoir tort. Têtu et impulsif, il est souvent difficile de le défaire quand il a une idée dans la tête, même mauvaise, il ira jusqu’au bout, à ses risques et périls. Il lui est bien souvent arrivé de se brûler, mais si cela était à refaire, borné qu’il est, il serait capable de dire qu’il le referait sans hésitation.
003. Personnalité chaleureuse et plutôt drôle, il est en général apprécié de ses confrères Mangemorts et, au reste, de ceux qui ne connaissent pas son allégeance. Ce premier coup d’oeil cache évidemment une instabilité qu’il a su maîtriser avec le temps. Ce sont en général ses accès colériques parfois soudains qui brisent le vernis des apparences. « De la réflexion poussée à voix haute » qu’il appelle ça parfois, face à des yeux un peu interloqués. Mais cette colère, parfois impressionnante, n’est souvent que beaucoup de bruit pour pas grand chose. Il aboie sans agir. C’est lorsqu’il est silencieux ou trop calme qu’il faut paradoxalement le plus se méfier, c’est qu’il n’est pas loin de vraiment exploser.
04. Harold entretient avec la mort une relation inévitablement particulière : habitué à torturer et tuer depuis la trentaine, mais aussi guérisseur, voir des cadavres et des homicides l’indiffère. Cependant, il entretient également une superstition tenace, dont il a certes honte, mais dont il n’arrive pas à se défaire : que la Mort se fait un malin plaisir à le torturer en retour. En effet, comment expliquer que ses parents aient eu des problèmes de fertilité, qu’il a lui-même connu avec sa femme ? Fausse couche pour son premier enfant, mort subite du nourrisson pour le deuxième. Il se demande si un jour La Mort ne décidera pas de prendre plus que deux vies pour toutes celles qu’il a lui-même ôtées.
005. Et ce n’est pas comme s’il n’avait pas remarqué que les enfants jumeaux issus de cette union sont étrangement proches, d’une proximité louche et malsaine. Il toise d’ailleurs un peu ces deux enfants, qui selon lui, feraient partie de cette fameuse malédiction et ne lui apporteraient finalement que des ennuis. Il lutte pour tenter d’être un père digne de ce nom envers eux et leur permettre de s’élever dans la société, mais leur relation malsaine ne fait qu’accroître sa superstition.
006. Cerise sur le gâteau d’une famille dysfonctionnelle : face aux problèmes de descendance rencontrés entre lui et sa femme, les yeux et surtout le coeur tortueux d’Harold s’est enflammé pour la femme de son frère, Nelly. Dans la lignée du duel fraternel, il ne put supporter que son frère ait une femme aussi resplendissante sans pouvoir tenter de s’en emparer lui-même. Ou était-ce réellement un coup de foudre, il n’en saura jamais rien. Liaison secrète qui les unit depuis de nombreuses années, deux enfants nés en parfaite santé et même d’une meilleure composition qu’Harold aurait jamais pu imaginer. Ce sont eux qu’ils considèrent comme sa descendance, des progénitures qui le rendent fier et surtout parviennent à combler ses névroses narcissiques.
007. Ironie du sort, ce sont également ceux pour lesquels il peut le moins se pavaner puisque son frère en est officiellement le père, et Harold est toujours resté en discret second plan de leur éducation, chuchotant à l’oreille de Nelly. Deux enfants qui lui ressemblent, mais dont le secret de la filiation reste bien gardé. Il y a bien des rumeurs qui courent parfois sur cette étrange ressemblance, mais la réputation violente des Carrow suffit à elle-même pour qu’on ose en parler sans craintes de représailles.
008. Harold est un homme ambitieux et déterminé, on pourrait dire qu’il est même brillant dans ce qu’il décide d’entreprendre. Naturellement, il cherche à élever sa famille au sein des Mangemorts, bien que demeure cette impression que la Malédiction l’empêchera toujours d’atteindre la dernière marche. Plafond de verre morbide contre lequel il ne peut rien. Il sait par ailleurs qu’il n’accédera jamais au poste de guérisseur en chef car de trop gros soupçons demeurent sur son allégeance, malgré l’absence de preuves. Si cela l’agace, il fit mine de n’en n’avoir cure et attend impatiemment le jour où le Seigneur des Ténèbres règnera afin de pouvoir tuer l’incompétent en place et diriger le service.
009. Pour conjurer cette Malédiction dont on ne connaît pas la véracité, il se dit qu’attraper des gros poissons chez les ennemis pourra servir de sacrifices, permettre enfin à La Mort de le laisser tranquille et le voir comme un bon fidèle. S’il est assez lucide, lorsqu’il se monte la tête avec ces histoires de superstitions, il peut rapidement passer pour un possédé ou schizophrène, se parlant à lui-même avec des voix contraires. En général, il est pris de ces tendances lorsqu’il torture quelqu’un, et les témoins passent facilement ça pour du spectacle.
010. Tout n'est pas noir chez Harold et il est capable de témoigner d'une certaine tendresse à l'égard de ses proches mais aussi d'une protection paternelle bienvenue. Qualité insoupçonnée derrière ces aspects brut de décoffrage. Faiblesse refoulée que son père n'a jamais réussir à lui sortir du système, malgré toute la violence avec laquelle il s'y appliquait. Il sépare d'ailleurs assez bien la cruauté de ses activités de tortionnaire, servant d'exutoire à son côté sadique, de ses activités professionnelles et personnelles. Il n'est que très rarement violent, ce qui est presque étonnant pour un Carrow, et préfère recourir à des punitions disons, plus créatives, lorsque cela doit être le cas. Ce qui peut finalement s'avérer pire.
mischief managed.
pseudo, prénom world ghetto.
âge 26 y.o
lieu de résidence france.
personnage personnage des livres.
avis sur le forum une belle âme (bien qu'un peu strange) m'en a chanté les louanges et je constate qu'il y a une grande variété de personnages et de profils donc je suis comblée
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