the wand chooses the wizard

détermination (64%)	loyauté (100%)
maîtrise de la magie (85%)	altruisme (70%)
courage (63%)	dynamisme (67%)
espièglerie (55%)	prudence (44%)
sagesse (45%)	extraverti(e) (58%)

Que pensez-vous de la Ministre de la Magie ? Est-ce que vous pensez qu'il gère bien la situation ?
écrire ici votre réponse à la question en un minimum de trois lignes complètes, afin de mieux cerner l'avis de votre personnage sur la façon dont la guerre est gérée par le ministère de la magie.

I solemnly swear I am up to no good.

001. L’océan pour second foyer, charnier de ces étoiles désespérées tombées du ciel, il a des embruns qui lui enlace la trachée l’homme. Le sel et le fiel des flots qui s’accrochent à ses poings partout où qu’il aille, abandonnant dans son sillage un peu trop de son eau, toujours un peu de lui. Le regard perdu en ces horizons cérulés, roi de rien s’imposant empereur des abysses marins, il a dans le buste l’atlantique qui gronde et inonde. Ces flots glacés qui l’empêchent de trouver les mots parfois. Le givre à ses lèvres brisant la courbe de ses souhaits exhumée. Rompant la courbe de ses rêves décharnés, mouillant ces missives imbibées de silence, la justesse de ces mots conjuguant souffrance. Hoir des flots, couronnés des faveurs de l’océan, il ondule le Tonks, se rompt, mais jamais ne se noie. 002. Solitude primordiale d’une enfance passée égaré, naufragé, ravagé par ces horizons délavés et l’appel du vide. L’appel des corps célestes l’implorant à s’envoler loin d’un quotidien serein, mais dénué du père. Perdu, retrouvé, Ted est la douce progéniture d’une mère s’étant fait port de sa jeunesse égarée. Douce divinité façonnant le ciel du bout de ses doigts, narrant, sereine, ces légendes l’ayant enfanté. Mythopoïèse familiale, fantasmagorique récit de leurs origines extraordinaire, les Tonks sont pourtant enfants de ces misères tranquilles. Mineurs de père en fils, ils perdirent la vie de la houille plein les doigts. Orphelin trop tôt, abandonné aux flots, il n’était que Rhiannon pour protéger son enfant du monde. Pour arracher à ses iris cendres et regrets, semant soigneusement les germes de ses rêves trop grands à même les landes inondées de son coeur. Elle le rêva homme et lui s'exécuta.  003. Le papier tâché de son encre, de ses mots. Le coeur buvard, délavé de l’ébène coulant en ses veines de trop de phrases raturées. À chercher l’espace entre les lignes, entre ces silences n’étant jamais de trop. À vouloir arracher à l’éther le suc de ses songes, la fébrilité de ses sentiments. Coeur volcan, l’ichor à peine plus que magma, il a souillé bien trop d’horizons dépeuplés, d’horizons immaculés de l’incertitude de ses élans. Le trait évanescent, la pensée égrotante à souffrir absence, il ne sait plus qu’écrire, dire. Ne sait plus que conjuguer pour ne pas que le passé l’emporte, l’abandonne au pas de sa porte. Il est tant à dire sur leur histoire pourtant, celle-ci même qu’ils vivent en marge. Qu’ils vivent au gré des pages, s’invitant à l’envers de ces phrases leur étant imposées. Une histoire comme tout autre. Une histoire sans pareille. Elle et puis le monde. Meda implorée Médée. Le tranchant des mots et le fil de l’épée. 004. Enfant des solitudes, hurlant au silence la fièvre de l’été grondant en ses veines, il n’était pourtant jamais seul le gamin. Se jouant de son ombre, contemplant les astres et leurs hoirs, il passa son enfance à rêver le monde au-delà les falaises de sa jeunesse. Au-delà des sentiers battus tant de fois de ses talons usés, s’imaginant parfois plus qu’il ne pouvait être, ne devait être. Rêveur et rêve, jamais tout à fait défait de l’irréel de son étoffe fantasmagorique, Edward se savait destiné à autre chose. Quoi que ce soit. Plus qu’une bicoque au confluent de l’univers, la carne usée de trop d’espoirs immolés. Pourtant, animal sauvage que jamais sa mère n’aurait osé dompter, il était farouche le gamin à son entrée à Poudlard. Bestiale créature qui ne voulait être apprivoisée, il n’avait pourtant que lilas entre ses doigts, qu’espoirs écornés de ne jamais tout à fait savoir comment ce comporter. Un peu sauvage, un peu maladroit, il amusait la galerie le gallois. De frasques idiotes en faux pas raillés, les yeux s’arrêtaient toujours à même son échine émaciée. Au gré de son silence, à l’envers de leurs prunelles désintéressées, il épaulait son monde le gamin, sans jamais savoir où le poser. 005. Les mains marquées de trop d’efforts, la peau durcie de plus d’une vie, le Tonks semble avoir vécu au travers de ses doigts. Du cambouis agrippé à son derme au fil de trop de moteurs usés, à ses heures passées à gratter les cordes de sa guitare, il s’imaginait architecte indolent de l’oeuvre de son existence. Au gré des heures sans sommeil, les notes roulant hors de ses lippes fendues, il psalmodiait des cantiques millénaires, arrachant à son instrument les larmes d’un autre temps. Musicien accompli, toujours capable d’arracher sourires élégiaques à sa mère quand bien même son coeur était à l’orage, il est une douceur nichée au plus profond de son buste. Une pureté que rien ne semble pouvoir déloger quand même il se fait ouragan. L’instrument parfois à peine plus que relique, c’est toujours un peu de son père qui voyage à ses côtés, le souvenir de trop de ses départs gravés à sa mémoire tandis qu’il laissait derrière sa plus belle possession. Derniers sacrements négligemment administrés, l’homme laissa dans son sillage une mère, un enfant et une mère à boire. Un océan à chanter, jouer, laissant danser le bout de ses doigts sur tout ce à quoi il peut arracher le souffle d’une vie. Une guitare, un piano, une voiture, un coeur peinant à battre. 006. tic, manie points d'histoire, 3 lignes minimum par point si vous choisissez de ne pas rédiger l'histoire. 007. tic, manie points d'histoire, 3 lignes minimum par point si vous choisissez de ne pas rédiger l'histoire. 008. tic, manie points d'histoire, 3 lignes minimum par point si vous choisissez de ne pas rédiger l'histoire. 009. tic, manie points d'histoire, 3 lignes minimum par point si vous choisissez de ne pas rédiger l'histoire. 010. tic, manie points d'histoire, 3 lignes minimum par point si vous choisissez de ne pas rédiger l'histoire.