the wand choose the wizard | |
maîtrise de la magie (80%) | |
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I solemnly swear I am up to no good.001. elles étaient une, étaient deux ; une dyade signées dans le sang, des atomes frappés de similarité, reflets signés d'
équilibre. emira, gémellité qui n'aurait dû permettre que l'une vive sans l'autre, fusion des identités telle qu'elle en était devenue arme entre les mains du ministère. de rares élus, à savoir qu'elles étaient deux, lorsqu'elles ne se prétendaient
qu'irsia, interchangeables, façade trompeuse pour faire plier les cibles. équipe, binôme, ensemble indivisible ; arrachée à ses bras, pourtant, emira, simple accident venu ébranler les fondations du monde.
002. l'âme ambitieuse, dénuée de cœur, des
émotions écœurantes dont elle ne s'embarrasse. la compagnie de l'autre a quelque chose d'
agréable, pourtant ; mise à mort des proies innocentes par la carnassière, jamais d'égal, alors qu'elle se plait à feindre, se revendique créature vapide, instille son venin à la force de regards coulés sous le rideau sombre des cils, un masque d'émotions fausses affiché sans pitié.
003. mondaine, de ces créatures à l'ichor ruisselant d'or et de gemmes, luxe affiché dans l'essence même ; philanthrope par goût des apparences, désintérêt latent des affaires du monde, elle n'est que prétextes, vernis trompeur, un égocentrisme vivace pour jamais la laisser se préoccuper de l'autre. ne demeure que l'avidité en brasier dans la poitrine, soif de plus, soif de connaissance, soif du monde.
004. mère de substitution, forcée par le destin ; la nièce, confiée à sa garde, indravi aimée au-delà des mots. quatre années, à élever la gamine comme si elle était sienne, ultime fragment d'emira à lui subsister. arrachée à elle dans la violence, pourtant ; le souffle meurtrier d'une bombe pour emporter la gosse, attentat moldu qui n'a laissé que des cendres, et la haine ardente dans le cœur mort. moldus honnis au-delà même des mots et des conceptions humaines, l'indifférence se fait attention vengeresse, l'envie de répandre le sang sans plus de retenue, comme pour diluer la douleur dans ses rivières rouges.
005. des fleuves d'éthanol, brumes narcotiques pour taire les rugissements de pensées parasites sous son crâne ; une obsessive du contrôle qui se fait
dépendante, pourtant, la paix fonction d'une chimie qu'elle ingère sans plus de retenue. comme si elle avait jamais
maîtrisé la légilimancie ; un prix insupportable à payer, hantée du vacarme de la psyché d'
autres. le masque se maintient, pourtant ; une spirale de perdition dans laquelle elle s'engage sans plus de retenue, dévorée de démons dont elle revendique les ténèbres.
006. femme du monde, femme de
tous les mondes ; elle est de ces explorateurs, des avides de connaissance qui ont façonné leur esprit dans des contrées érigées de tous les horizons. une passion pour les livres anciens, ouvrages qui se veulent témoignage d'une certaine immortalité des mots, collectionnés dans l'immense demeure de londres. des voyages est venu une aisance dans les langages, polyglotte à l'adaptation aisée. les syllabes se façonnent d'
hindi, de
russe, d'
anglais, d'
arabe, de
mandarin, d'
espagnol et d'
italien, frappées d'un accent rocailleux et natif, pourtant. dans l'étude s'est forgé un certain goût pour les langues mortes, passion d'histoire révolue et des glyphes venus courir sur le parchemin des ouvrages précieux.
007. ténèbres embrassées dans les bras des mangemorts, par convergence d'opinions plutôt que par vénération du seigneur ; un refus de s'admettre seconde, même sous l'égide du monstre, un refus de se laisser
surpasser. elle n'est qu'arme entre les mains meurtrières, statut accepté sans plus de révolte, sourdement réfractaire à l'autorité qu'il impose. elle n'est sienne ; c'est sa propre vengeance qu'elle signe par son allégeance.
008. l'élégance comme signature, vernis irréprochable sur les traits marmoréens, elle se veut constante égérie d'une perfection assumée sans retenue, gemme froide dans un écrin de luxe. jamais prise au dépourvue ; c'est avec
classe qu'elle respire de chaque instant, raffinée même alors que le sang des criminels vient maculer l'or de l'épiderme.
009. un écœurement violent à la seule idée de la gent moldue ; pourtant, c'est une vague satisfaction qui se tisse dans le cœur d'onyx à l'utilisation de leurs armes, une cruelle ironie qui se veut quelque peu
divertissante. une faculté de plus à compter à son arsenal ; les moldus sont seuls qu'elle abatte de leurs flingues, la précision affûtée dans des clubs de tir dans ce qu'elle prétend être simple
passe-temps, béquille à l'âge qui vient empreindre le moindre de ses muscles.
010. venait se tisser dans l'argent des sorts le spectre féroce d'un tigre du bengale, patronus éthéré qu'elle ne sait plus seulement créer depuis que l'existence s'est frappée du sceau de la tragédie, les deux seuls êtres qu'elle ait jamais aimés emportés dans le trépas. plus de joie, et les souvenirs les plus tendres frappés de rancœur à l'univers ; trop d'années depuis que le félin ait été invoqué, trop consciente de plus jamais en être seulement capable.
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