the wand chooses the wizard

détermination (97%)	loyauté (100%)
maîtrise de la magie (82%)	altruisme (10%)
courage (70%)	dynamisme (70%)
espièglerie (60%)	prudence (60%)
sagesse (30%)	extraverti(e) (10%)

Que pensez-vous de la Ministre de la Magie ? Est-ce que vous pensez qu'il gère bien la situation ?

Barty est au coeur même du Ministère, il observe, se saisissant de la chaque nouvelle, il se délecte du moindre échec qui n'est qu'une aubaine de plus pour les mages noirs, une faille dans la matrice qui leur permettra de jouer, avancer un pion supplémentaire dans l'espoir de piéger le roi : échec. De lui supprimer toute tentative d'échapper au sort qui lui est destiné : mat. La ministre de la magie tente d'échapper à l'irrémédiable, utilisant peu à peu ses pions, mais les failles sont pourtant déjà bien là et là preuve en est, beaucoup de ses comparses ont d'ores-et-déjà envahie ses rangs.

I solemnly swear I am up to no good.

lonely child enfant unique, il a été éduqué comme la véritable pupille de sa maternelle, trop en manque d’amour de son époux, voyant alors en Barty un but, un sens à son existence. Une mère couveuse, bien trop présente, là où le père manquait, où il n’était là que pour le sermonner, comme si l’enfant ne lui apportait jamais ce qu’il attendait de lui ; bambin se fourrant dans ses pattes, obstacle sur son chemin, sur sa carrière. Telle est le ressenti de Bartemius. Pourtant il n’en est rien. Bien loin de lui dire un jour, là où se niche la pudeur masculine, son père pense inéluctablement que la force d’un homme se cache dans l’éducation que lui accorde son père, une éducation stérile de toute marque d’affectuosité, exigeante parce que l’exigence même de la perfection est une preuve d’amour, l’amour que l’on adresse à une personne à laquelle on tient, le joyeux cadeau d’une rigueur tout autant morale qu’intellectuelle. L’homme a pourtant failli, tout ce que désirait son enfant était l’attention d’un père, bien moins celle qu’une mère essaie de compenser maladroitement. genius précoce, surdoué, un potentiel qui ne relève pas d’hier, alors qu’à 5 ans semble-t-il savait-il jouer aux , ne lui fallant que quelques années pour battre des sorciers d’un âge bien mûr ; bien plus encore, les livres qu’il dévorait lui ont inculqué son savoir ; un génie dirait-on, mais loin sans mal puisque le haut potentiel n’a de prestigieux que le nom qu’on lui porte, sa véritable nature le conduisant vers le funeste destin de l’ennui. Souvent incompris, il se muait dans ses pensées, résigné à y trouver bien plus d’intérêt. Et vient pourtant l’ivresse de l’adolescence, ou plutôt la dureté d’un âge où la pitié n’a plus sa place, une particularité intellectuelle qu’il doit se contenter de masquer en s’acoquinant aux premiers fanfarons qu’il croise sur son chemin, bourgeois destinés à l’occuper. Il y trouve néanmoins une occupation certaine, un crédit différent que celui de préfet lui accorde. Hogwarts. tant attendue et prestigieuse école pour sorciers d’Angleterre, on lui ventait déjà ses mérites à un âge où semble-t-il le sommeil est la seule occupation connue, à un âge où l’on ne se soucie que très peu du monde qui nous entoure, encore faut-il en saisir les subtilités. Il savait qu’il y pénètrerait tôt ou tard, mais mieux valait-il que ce soit tôt. L’impatience, la hâte le gagnait. La lettre finissant par arriver, s’y est succédée son entrée, intégration dans un nouveau monde, sans nul doute celui qui causerait un jour sa perte, quoiqu’il n’en sache rien. Parure d’un bleu méticuleux, aux fines dorures, aigle royale pour totem, il espérait y trouver une famille, une appartenance. Pourtant aux joies se succédèrent l’agonie d’un nouvel ennuie, celui d’un tout autre genre, au creux de l’obscure banalité des cours enseignés. Une aise peu commune dans la totalité des cours, excepté de Quidditch, sport pour lequel il ne nourrissait que peu d’intérêt, bien qu’il feignait parfaitement d’en être captivé. Enfant solitaire la première année, il s’est pourtant fait une place enviable aux côtés des gringalets braillards, ceux qui montrent les gros bras, mais aussi ceux qui aiment le danger, certains sans nul doute plus âgés. Elite d’un autre temps, repère, sens qui lui attribuait une valeur, une reconnaissance à l’ombre du cruel manque de confiance qui le dévorait petit à petit. Paris, ricanement, il était pourtant assez finaud pour ne jamais se faire prendre, gardant toujours ce statut de tête de classe, restant dans les bonnes grâces du professeur Flitwick ainsi que de l’ensemble des autres professeurs. Une couverture pour le protéger de l’ennui, sur cette dangereuse pente qui l’attirait déjà vers l’obscure, ennuie et irascibilité qui le détournait de la lumière ; il n’en demeurait pas moins que son attrait particulier pour la magie, son assiduité et sa rigueur le menèrent tout droit vers le poste de Préfet qu’il occupa une grande partie de sa scolarité. Et finalement, c’est avec le résultat exceptionnel de 12 BUSES qu’il fut diplômé de l’école de sorcèlerie de Poudlard. The heart wants what it wants et dans le malheur d’une existence dépourvue d’affection, et bien plus encore d’amour-propre, il vient frapper, sans crier gare, il le tourmente, le mène en bateau, lui déchire les entrailles pour mieux l’anéantir, l’amour. Un regard, un sourire, un jeu, l’insouciance de deux enfants, l’insouciance de la vie, l’insouciance d’une histoire d’amour, idylle d’un premier amour, espérance vaine de se tenir par la main pour l’éternité, l’espoir de de ne faire qu’un ; là où pourtant les cœurs se déchirent, trépignent d’impatience, la jalousie y faisant parfois son nid ; passion d’un autre temps, déchirement, réconciliation, jusqu’à l’inévitable, le dramatique destin qui s’abat. 5 ans de pur bonheur, 5 ans d’amour jusqu’à ce que le ventre de la Belle s’arrondisse, elle qui ne cède pourtant pas face à la colère de la Bête et enfin l’ultimatum qui tombe, fatalité : lui ou l’enfant. Dans un déchirement, celle qui lui a appris à aimer, celle qui lui a fait croire qu’il pouvait l’être, celle qui lui a vanté les mérites de l’amour, celle qui lui a appris à être celui qu’il refusait de considérer, oui celle-ci l’a abandonné, le laissant à son triste sort. Un abandon, un manque d’amour et la blessure constituée par son père est réouverte, Constance y plante sauvagement un couteau à son tour, elle lui tourne le dos emportant avec elle toute certitude d’un avenir heureux ; l’appréhension du vide qui se loge doucement dans sa poitrine et enfin l’irréversible rage qui refait surface. Jamais plus il n’aimera. Highway to hell au sortir de ses années à Poudlard, alors qu’un panel de possibilités s’offrent à lui, il se dirigera vers la Justice magique, suivant les pas de son père, encore une fois. Mais il ne veut pas être lui, il ne veut être l’ombre de l’homme qu’il exècre toujours plus chaque jour, il sait qu’il ne veut pas être cet homme aigri et sans affection qu’il a vu se lever chaque matin durant 18 ans. Il ne lui faut que peu de temps pour s’aventurer sur les routes sinueuses d’un combat qui le dépasse, un combat dans lequel pourtant il trouve un objectif, un but, un sens à sa vie ; quelque chose que son père n’a pas, quelque chose qu’on ne lui retirera pas. Et cet amour qu’il se refuse, celui qui sommeille en lui et qui ne demande qu’à être déployé, cet amour il le donnera au Lord, se vouant corps et âme à cette cause qu’il défend. Parce que quand Barty aime, il aime non seulement avec le cœur, mais avec son corps dans son entièreté, il serait prêt à tous les sacrifices pour défendre ceux pour qui il nourrit un intérêt. Le Lord la voit cette blessure, il ne lui dira pas, il en usera ; il utilisera ce chagrin et s’en nourrira, traînant le jeune homme sur les routes de l’enfer. Un serviteur du mal. Il devient mangemort à l’âge de 19 ans, espionnant la justice pour le compte de ce groupe enténébré. Where is my mind ? deux fois n’est pas coutume dit-on, mais quand est-il s’agissant du sang ? Barty a semble-t-il franchi le pas de trop ou presque. Commençant à prendre part à un épisode de torture, s’en est suivi il y a peu le crime du sang, celui de la chaire. On le sait doué, doué de pouvoirs oui, mais surtout agile de ses mains, prononçant les formules à la perfection, tant métamorphoses que les sortilèges, mais par-dessus tous les défenses contre les forces du mal. Auror aurait sans doute était une possibilité, celle qu’il n’a pas choisi, usant de ces dons à mauvais escient. Il ne le sait pas ou plutôt le nie, mais le sang a toujours un prix et bientôt, chaque goûte versée le traînera dans une folie obscure. Si son esprit vif et quelque peu lumineux, il n’en demeure pas moins que cette rage, ce manque d’amour et d’estime le consument, l’entraînant tout droit vers l’abysse du nuisible. Une délètère affliction dont il ferait mieux de se méfier, mais qui pourtant le porte chaque jour vers un nouveau chapitre. Il refuse que l’on se dresse sur son chemin, que l’on s’immisce dans cette vie dont il veut aujourd’hui être l’unique maître et c’est dans cette perspective qu’il s’est appliqué à apprendre l’occlumancie il y a de cela quelques années. C’est la divine obscure, maîtresse d’une folie furieuse, mais brillante qui lui a enseigné cet art. Bellatrix, son mentor, l’une des figures pour laquelle il n’a que trop de respect, celle dont il semble suivre la voie, courbant l’échine face à son enseignement. Fin architecte d’une magie qui le dépasse pourtant, plus abscons encore que les limbes, son esprit demeure impénétrable. Ou presque. tic, toc Barty a somme toute quelques tics, qu'on pourrait même parfois qualifier de TOC. Assez maniaque sur les bords, il peine à supporter le manque de rangement autant que le manque de propreté ; de quoi fortement l'agacer. Cela est pourtant loin d'être une obsession. Ses TOC relèvent plus de petites expressions du visage, notamment sa langue qu'il passe sur sa lèvre lorsqu'un élan de compétition le gagne, la sensation de défiance qui fait vibrer ses entrailles. in the dark doué de magie, si autrefois il maitrisait le patronus à la perfection, étant sans aucun doute l'un des premiers de sa promotion à y parvenir, aujourd'hui ce succès s'éssoufle peu à peu, emporté par l'obscur palpitant qui ne bat désormais que pour le mal. Un patronus qui bientôt ne sera que l'ombre de celui qu'il a été un jour. Étalon galopant au loin, emportant sa liberté, laissant sur le rivage la passion, la puissance et les chaînes de son maître qu'ils tentaient de délier. Katie. fruit d’un amour d’un autre temps, enfant qu’il a renié, il est à présent prêt à lui faire une place dans sa vie,  prêt à lui apporter ce que lui-même aurait souhaité avoir à son âge : une figure paternelle à laquelle se confier, un modèle, une force à laquelle s’accrocher, un homme à suivre. Pénétrant dans la vie de Constance après plusieurs années d’absence, marionnettiste paré de son habile mensonge, ficelle de quelques chuchots qu’il susurrera à son oreille, lui affirmant désirer connaître Katie ; elle ne revête qu’un élément dans son jeu machiavélique, pièce maîtresse de son échec, il compte bien se servir de l’enfant pour accéder aux bonnes grâces du Lord certes, mais c’est aussi le besoin d’assouvir se désir de vengeance qui l’obsède, cette vengeance envers celle qui l’a abandonné, lui mentant pendant plusieurs années sur des sentiments qu’elle n’a jamais réellement éprouvé, ou du moins le croit-il. Peut-être quelque part nourrit-il aussi l’espoir d’en faire son élève, leur permettant un jour prochain de marcher main dans la main vers un but uni, au creux de la nuit. Il ne se targue pas de sa stratégie ni de ses objectifs mûrement réfléchis.resistance aussi éloigné de son père peut-il se trouver, celui-ci réussi inexorablement à l'atteindre à chaque fois. Comme si cela ne suffisait pas de le croiser dans les couloirs du ministère plusieurs fois par semaine -heureusement qu'il vit désormais dans son propre appartement, évitant tant que possible les venues chez ses aïeuls-, son père lui a récemment fait part d'une nouvelle qui est loin de l'enchanter : le mariage. S'il n'était pas assez sot ni même naïf pour penser qu'il y échapperait, il nourrissait l'espoir de pouvoir choisir avec qui il devrait conclure ce pacte, cet échange de bons procédés. Son paternel en a décidé autrement et quelque part c'est une aubaine pour préserver cette couverture à laquelle il tient plus que jamais. Il devra seulement redoubler de vigilance.

naissance dans le manoir de Westminster, Londres.

apprend à jouer aux échecs. (5)

rentrée à Poudlard. (11)

après plusieurs semaines à se tourner autour, il se met en couple avec Constance Bell. (12)

tout lui réussi, il devein Préfet ; summum du prestige du mythique couple qu’il forme avec Constance. (16)

Constance lui annonce qu’elle est enceinte, elle ne veut pas avorter ; il lui impose de choisir entre lui et le bébé, mais cet ultimatum la conduira à se tourner vers le futur bébé, marquant alors la fin de leur idylle, son monde s’effondre. (17)

dernière année à l’école de sorcier d’Angleterre, il obtient une note exceptionnelle de 12 BUSE et obtient ses ASPICS avec brio. (18)

commence ses études pour travailler au sein du département de la justice magique. La même année il est enrôlée comme mangemort et commence un entraînement intensif auprès de Bella, sa mentor. (19)

fiançailles ; revoit Constance dans l'espoir d'approcher Katie, sa fille.

un petit oiseau m'a dit que notre constance approuve et je la comprends Ohlala, c'est si bien écrit..   ce Barty que tu nous as fait, si ambivalent, si torturé, tout en complexité, j'adore    et j'ai tellement hâte de le voir en action (et de shiper ce drama avec coco )

Tu viens de recevoir cette baguette : taillée en bois d'acacia, elle mesure 29,5 cm et contient une plume de phoenix.

Félicitations, tu as fini ta fiche et maintenant elle est validée ! A présent, tu vas pouvoir rentrer dans le jeu, pour venir faire évoluer ton personnage en notre compagnie   Pour commencer, nous t'invitons à vérifier les listings, pour voir que nous n'avons rien oublié.  


Une fois que c'est fait, tu peux aller t'occuper de la gestion de ton personnage, à savoir ses liens et ses pré-liens, si besoin. Nous t'invitons également à aller faire un saut dans le flood de la maison qui t'a été attribuée et le flood général. Garde en tête que si tu as le moindre souci, tu peux toujours venir vers nous pour qu'on te file un coup de main.  


Fidèle allié des mangemorts, ton qg se situe dans dans le manoir de Great Blasket. Sur l'île de Great Blasket, en haut d'une colline qui domine la plupart des habitations, se trouve un élégant manoir que des yeux moldus ne pourraient voir. Son aspect gothique est pourtant bien visible pour les sorciers qui évitent toutefois de s'y approcher ; de sombres rumeurs courant à son sujet. Il s'agit ici du point de rencontre de tous les mangemorts, qui s'y retrouvent régulièrement afin d'établir leurs plans de bataille. Si la plupart des habitants de Great Blasket n'en ont évidemment aucune idée, ils savent que ceux qui s'y rendent ne reviennent jamais - et cette raison leur suffit pour ne pas se trouver dans le sillage de cette habitation maudite.