the wand chooses the wizard

détermination (70%)	loyauté (90%)
maîtrise de la magie (95%)	altruisme (10%)
courage (80%)	dynamisme (50%)
espièglerie (05%)	prudence (75%)
sagesse (65%)	extraverti(e) (02%)

I solemnly swear I am up to no good.

sleep. Les yeux qui restent clos alors que les larmes ne peuvent s'empêcher de couler, alors que tes mains tremblent, alors que les cris cassés de ta mère viennent empuantir l'oxygène dont tu manques en ce moment, leur danse qui ne s'arrête pas, alors que toi tu vois qu'il la serre trop fort, que les bouteilles s'accumulent dans cette poubelle gisant à terre, alors que les hurlements de ta mère reflètent ses rêves d'amour brisée, elle qui croyant en cette romance sincère, parce qu'il était différent avant, parce que son sourire était sincère, avant de découvrir de quoi elle était capable, avant de découvrir qu'elle était différente. La violence jaillissant comme un courant fougueux s'écrasant sur les roches, alors que toi Severus, tu n'es que spectateur, alors que toi, tu n'as pas le courage, pas la force de t'y opposer, espérant simplement que tout s'arrêtera, qu'un jour la lumière vienne prendre naissance dans cette maison sombre, l'espoir te nourrissant, toi ne pouvant te débarrasser de cette peluche déchirée, seul recueillement dans cette famille déchirée par le verre brisé des bouteilles vides. . her.La délicattesse de son aura qui t'étourdit, alors que sa lumière t'aveugle, toi le garçon aux airs sombres, toi et tes breloques trouées, alors qu'elle est parfaite, alors qu'elle te regarde, qu'on te regarde enfin, te tenant la main, enfantine qui te ressemble, alors que tu as enfin l'impression de marcher dans un pas, à l'unisson avec les siens. Elle qui est aussi étrange que toi, elle qui arrive à faire de ce monde un théatre de couleur, elle qui a le coeur tout aussi brisé que le tien, elle, ô elle qui est extraordinaire, qui est tout à toi, entièrement à toi, pour toujours, Lily. slytherin.Les os qui se disloquent alors que sa main s'échappe de la tienne, elle qui est envoyée aux antipodes, là ou elle ne peut plus t'entendre, déjà entourée de cette passion vermeille d'un autre, toi ne pouvant rien lui offrir, toi le garçon au coeur brisé, au corps meurtri, ne pensant qu'aux études, n'étant finalement qu'un Serpentard qui ne vaudra jamais un rouge et or dans son coeur, alors que tu t'effaces déjà de sa vision, alors que tu deviens déjà inexistant, elle, qui s'éloigne alors que toi, tu la regardes encore et toujours, toujours à essayer de l'impression, à avoir les meilleurs notes, à lui montrer ton intelligence, ta maitrise de la magie, pour que finalement elle ne pense qu'à l'humour du brun qui te fait de l'ombre. mudblood. La haine qui grandit dans ce myocarde qui ne battait, qui ne bat toujours que pour elle, elle, amoureuse du bourreau, amoureuse de l'Hadès, maitre de ton agonie, de Potter qui n'en finit pas de t'humilier, toi, qui n'arrive plus à faire la part des choses, ne voyant que les ténèbres, ne voyant que son corps meurtri, délicieusement sur un sol froid, blanc, son sang limpide faisant contraste. Tu ne penses qu'à sa mort, qu'aux cris de sa douleur quand ta tête se retrouve à l'envers, que les céphalées prennent déjà possession de toi, les rires te hantent, les siens, les leurs, les maraudeurs se complaisant dans ta douleur, dans ton humiliation perpétuelle, et elle, elle qui te regarde, qui essaie de prendre ta défense alors que toi tu n'es que nécrose, alors que toi tu n'arrives plus à la voir comme la fille qui arrivait à faire voler les fleurs, mais que comme la fille pathétique qui est tombée amoureuse du mauvais garçon, parce que tu n'es plus qu'une humiliation, un spectacle mélo-dramatique qu'elle observe avec délectation, prenant ta défense que pour la forme, se retournant quand tu craches ton poison, sang-de-bourbe,  insulte que tu lui craches dessus, alors que ses yeux émeraude s'embuent alors que tout se brise, alors que cette amitié qui te portait, qui te donnait des ailes n'est plus rien, alors que tu l'aimes toujours, et que tu n'as jamais réussi à lui dire. half-blood-prince.L'encre noirâtre qui emplit ce myocarde alors que tu sombres, alors que tu ne penses plus à elle, alors que tu essaies de ne plus voir que ses cheveux flamboyants dans les couloirs, alors que tu essaies de frôler l'excellence sans la regarder lors des diners du club de Slugh, alors que tu passes tes journées à te dégommer les poignets, à force d'écrire, de barrer les notes de ce livre de potions rempli d'inepties, alors que tu prends enfin compte de tes talents, alors que les potions prennent tout ton temps, alors que tu ne pense plus qu'à son corps empli de plaies sanglantes, créant un sort, un sort de mort, simplement pour lui, pour lui, pour eux, pour les maraudeurs qui hurleront de peur en te voyant brandir ta baguette, alors que tu auras enfin ton trône, alors qu'elle te regardera enfin, alors qu'elle ne sera enfin qu'à toi, toi, le prince de sang-mêlé, toi qui a réussi à monter les échelons en ayant du sang impur dans les veines, toi, qui un jour dominera sur le monde, les dominera eux. Death Eaters. Les chants de tes semblables qui s'élèvent alors que ta liberté est enfin acquise, alors que les murs de Poudlard sont enfin franchis, alors que tu ne les reverras plus jamais, que ton coeur pourra enfin se faire panser, alors que tu ne peux enfin que penser à la cause, au seigneur des ténèbres et à cette marque sur ton avant-bras qui montre ton allégeance. Les hurlements des damnés qui te semblent doux à l'oreille, alors que tu oublies, un instant, que ton coeur appartient à une fille que tu as sensé exécrer, alors que ça pourrait être elle, gisant sur le sol, une larme coulant sur une moquette empourprée, alors que ça pourrait être sa vie que tu ôtes avec deux mots à peine susurrer, toi le serpent au coeur glacé, toi qui n'arrive plus à penser au bonheur, toi qui ne sera plus jamais le Severus qui pouvait se montrer doux, devenant roche, roche pour te plus être brisé, roche pour pouvoir te protéger de ces personne qui auraient du t'aimer.  Tu deviens rapidement un membre important Severus, ton sang-froid qui fait son admiration, ton extrême intelligence, si seulement il savait lire dans ton âme, si seulement il savait à quel point elle peut encore hanter ton esprit, pour toujours. occlumens. Tes pensées qui ne font que te hanter, seul opposant à ce marbre que tu essaies de poser sur toutes les faces visibles de ton coeur. Tu ne peux pas prendre le risque, le risque qu'il la voit dans tes songes, le risque qu'il entende son rire, alors tu continues cet apprentissage que tu avais commencé à l'école, pour te forger, pour créer un mur impossible à franchir, pour fermer ton esprit aux autres, pour fermer ton esprit au seigneur des ténèbres qui pourrait la nuire, pour la protéger elle, pour le protéger lui, lui qui s'est uni à elle, pour qu'elle ne souffre jamais de ce manque, de ce que tu as pu ressentir quand tout s'est déchiré, que tu l'as vu s'en aller, que tu as continué à vivre dans son absence. Tu n'es plus qu'une énigme, un bout froid de ce que tu pouvais être avant, sombrant dans l'in-interêt, n'aimant que le mépris des autres, n'aimant que le malheur d'autrui, n'aimant que la destruction, pour que les autres souffrent autant que toi, tu as pu souffrir. master.Les décantations qui se forment devant toi, alors que ta forme de magie t'hypnotise, maitre parmi les maitres, après des années d'études, à te perfectionner, à devenir le meilleur parmi les meilleurs. Tu n'aurais jamais pensé retourner là bas, foulant à nouveau les pavés ou tu as trébuché de nombreuses fois, où tu t'imposes fièrement dorénavant, devenant le professeur Rogue, ton sourire aigre qui se fige en entendant le tremblement dans la voix des élèves qui te salue, alors que tu imposes le respect, alors que tu n'es plus cet élève seul, alors que tu n'es plus la victime des Gryffondor, tu es le tyran, tu es celui qui tire les ficelles avec un amusement qui t'impressionne. Tout le monde le sait, tout le monde le suppose, que sous ta robe noire se cache la marque et pourtant, tu te sens accepté, t'étonnant même à apprécier certains de tes collègues qui se trouvent dans l'autre camp, te disant parfois, un instant, ô un instant seulement, que tu aurais peut-être eu ta place aussi, de l'autre côté, que tu aurais pu te battre, avec elle.  smile. Le coeur qui bat un peu trop fort à nouveau, son sourire qui devient presque communicatif, elle est comme elle, elle est trop comme elle, Lily qui te hante, Lily que tu aimes encore, que tu n'arrives pas à oublier et pourtant, tu aimerais oser, oser glisser tes doigts dans ses cheveux, elle qui te voit autrement, qui arrive à lire dans ce qui reste de ce myocarde ne battant qu'à peine. Elle est pourtant d'un ailleurs qui t'es interdit, elle est de l'autre camp, elle est d'un autre sang, elle n'est pas pour toi, ô severus, tu te tortures délicieusement, alors que leurs voix s'entremêlent, alors que son visage remplace parfois le sien, alors que tu n'arrives toujours pas à l'oublier, lily, Lily qui elle ne pense plus à toi, elle qui a un fils aujourd'hui, elle qui un jour se battra contre toi, pour une cause perdue. severus. se ronge les ongles, a peur des taupes, ne mange pas son assiette si il n'y a pas quelque chose de vert dedans, ne cours presque jamais, ne crie jamais non plus, a une photo de lily dans son livre de potions, ne sait pas monter sur un balai, d'ailleurs déteste le quidditch, bégaie toujours un peu quand il parle de lily, s'habille toujours en noir.

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