the wand choose the wizard | |
maîtrise de la magie (75%) | |
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I solemnly swear I am up to no good.001. little sisters athena, la cadette, et aphrodite, la benjamine. la prunelle de ses yeux, en dépit du peu d'écart entre elles trois. ses soeurs, qu'elle garde jalousement et protège furieusement, même si elle est parfaitement consciente qu'elles sont toutes les deux capables de se débrouiller seules. elle les aime, ses soeurs, en dépit de leurs caractères terriblement différents, pas uniquement parce qu'elle est l'aînée et que c'est son devoir — mais parce qu'elles sont belles, toutes les deux, belles et puissantes et prêtes à dégommer le monde si elles ont besoin, et elle ne pourrait pas être plus fière de ce qu'elles sont devenues.
002. abbott family elle est intéressante, la dynamique des abbott. neutres par défaut, même si les opinions personnelles divergent. de sang pur, en dépit des oncles et tantes qui clament qu'ils n'ont aucun problème avec les moldus. le mariage d'olivia et redwyn est resté en travers de la gorge des grands parents et des oncles, a provoqué des murmures souvent mécontents. artemis n'est pas certaine d'apprécier. elle n'apprécie pas non plus devoir se méfier de sa propre famille.
003. hogwarts les meilleures années de sa vie, malgré tout. sept ans d'apprentissage, dans la deuxième famille qu'est devenue la maison poufsouffle, où elle devient une élève certes moyenne mais travailleuse. elle ne fait pas de vagues, entretient des relations cordiales avec ses camarades de maison, devient amie avec la plupart des autres gamins de son année. elle décroche ses examens, pas nécessairement avec brio mais elle s'en sort, la tête dans les bouquins et le visage souriant. elle est travailleuse, et elle sort de poudlard diplômée, ravie de sa scolarité, prête à découvrir le monde autour d'elle.
004. herbology elle n'était pas la plus brillante en cours, artemis, des notes consistantes mais jamais très hautes. deux matières ont fait exception à la règle — les potions, dont elle a toujours apprécié la logique, mais surtout la botanique, où elle a récolté le plus de points et le plus de O de toute sa scolarité. les plantes l'ont toujours attirée, dès la plus petite enfance, collée à son père quand il s'occupait du jardin et du potager absolument moldus, les mains enfoncées dans le terreau avant même de savoir marcher ou parler. une fascination devenue passion puis métier, elle n'aurait jamais pu rêver mieux.
005. creature of habits elle aime sa routine, artemis, fronce le nez à l'idée que quelque chose perturbe ses habitudes. elle se lève tous les jours à sept heures, se couche tous les jours à vingt-deux heures trente, jamais plus tôt, jamais plus tard. elle est ancrée dans ses habitudes, dans sa routine, même si la vie à la boutique est tout sauf routinière. elle n'aime pas spécialement les surprises, même si elles sont apportées par ses soeurs ou ses parents, préfère le calme de son petit appartement une fois la soirée installée. beaucoup la considèrent ennuyeuse, à cause de ça, mais ça ne la dérange pas. elle préfère l'ennui à la guerre.
006. cats and owls les animaux l'ont quelque peu sauvée du mal du pays qui l'a habitée les premiers jours à poudlard, avant que les cours et les camarades ne prennent la majeure partie de son attention. le premier chat, un bobtail japonais que son alter-ego de onze ans a décidé de nommer caramel, est un cadeau de ses parents pour son départ à poudlard. le deuxième, qu'elle s'est offert juste après son diplôme, est une british shorthair tabby au caractère épouvantable qu'elle adore appelée diva. des entorses à sa routine, mais elle se voit mal vivre sans ses chats, ou sans son hibou petit duc, un autre cadeau de ses parents pour son seizième anniversaire, lui prénommé triton. pas assez pour former une ménagerie, pas encore, et sûrement jamais, mais ils cassent tous un peu la monotonie, à leur façon.
007. knowledge artemis n'a jamais été une érudite, et elle le sait. l'apprentissage n'est pas son point fort, ne l'a jamais été, mais ça ne l'empêche pas de chercher la connaissance là où elle peut la trouver. elle n'est pas une pointe, une experte dans un domaine (sauf peut-être en botanique, et encore — il lui reste des choses à apprendre) mais ce qu'elle manque, elle le compense en s'intéressant à
tout. elle compense la qualité par la quantité, sait un peu au sujet de beaucoup, s'intéresse à toutes les branches de la magie mais aussi à la culture moldue, d'abord grâce à son père qui y a grandi mais aussi grâce à sa curiosité naturelle. elle ne pourra sans doute pas vous faire une démonstration de métamorphose humaine, mais elle sera capable de vous expliquer comment changer un pneu sur une voiture.
008. there was an accident elle a quinze ans, c'est bientôt les buses, les tensions sont hautes à poudlard et vraiment, c'est complètement idiot. une dispute qui tourne mal, et artemis est un peu idiote, dans son éternelle envie de voir tout le monde trouver un terrain d'entente. mais la dispute tourne très vite vicieuse et finit en duel improvisé dans le couloir, sauf qu'elle s'interpose et se retrouve dans la ligne de mire d'un sale
diffindo qui lui a laissé une belle cicatrice au travers du nez, discrète mais présente. elle suppose qu'elle ne peut que se considérer chanceuse que le sortilège ne lui ait pas pris la vue ou, pire, la vie. une cicatrice est un prix bien maigre à payer, en comparaison.
009. coulrophobia peur panique des clowns, phobie abominable qui la fait paniquer et la renverrait volontiers dans les jupons de sa mère, traumatisme qui date de la petite enfance et de l'instant où son père a insisté pour l'emmener à une fête foraine absolument moldue. elle a passé un très bon moment, jusqu'à ce qu'un clown qu'elle a considéré terrifiant dès la première seconde ne se penche sur elle dans l'espoir vain de la faire rire. elle a préféré hurler, à la place, et s'accrocher à son père comme un noyé s'accrocherait à un radeau, et depuis elle refuse tout ce qui touche à ces envoyés du diable. même une simple peluche en forme de clown est suffisante pour l'effrayer.
010. greenery elle a cette mauvaise manie de parler à ses plantes comme si elles étaient toutes humaines et avaient leur propre caractère. une mauvaise manie qui date de l'enfance, vraiment, dont elle n'a jamais vraiment réussi à se débarrasser et qui la peint comme la jeune fleuriste gentille mais un peu bizarre du quartier. ça ne la dérange pas vraiment, même si, bon. parfois ça lui fend le coeur de voir ses plantes favorites partir dans les mains de nouveaux propriétaires.
liens recherchés♂/♀ anciens camarades tous vingt-deux, vingt-trois ans, tous de la même promo, peu importe les maisons.
♂/♀ type de lien recherché quelques lignes pour décrire le lien.
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