(outfit) Elle l’attendait avec impatience, cette soirée de gala, le début d’une nouvelle ère et avec les sorciers qui se pressaient pour profiter de la douceur d’une nuit innocente, y’a le coeur de la Selwyn qui s’enhardit de l’odeur du sang, de l’odeur de la guerre, et la défaite des opposants n’a jamais été aussi proche. L’époux absent, les maux oubliés à coup de coupes de champagne, elle feint ne pas s’attarder sur l’absence d’Anar à son bras, lasse de requérir ses efforts, de se cogner à un mur, de son dédain, de son indifférence, combat oiseux contre un homme qui ne la regardera jamais. Ce soir là, le ministère resplendit et elle fait de même, brillante, étourdissante. Y’a son sourire paisible qui accueille certaines connaissances, elle est dans son élément, elle connait les lieux, elle connait les notables, elle connait le nouveau ministre et y’a son coeur qui se fait joyeux car ils partagent les mêmes idéaux. Elle est à l’aise Sapho, loin de la gamine effacée qu’on cherchait à museler, loin de la femme oubliée qui se fane dans un coin du manoir, beauté immarcescible, le mensonge sur sa peau, sur ses traits, et les joues rubéfiées parfois lorsque le contrôle lui échappe. Mais il lui suffit d’un regard dans le miroir pour cesser de trémuler à l’idée d’être percée à jour : émerillon dressé pour vaincre, le rôle lui colle à la peau, elle ne sait pas s’en éloigner. Y’a son sourire qui l’éclaire et son palpitant qui se lénifie à l’idée de sa réussite, seule, elle se convainc que rien ne peux l’atteindre et que maintenant, la victoire et à portée de main. Et devant elle, les tenues des invités se mélangent, billebarrent le sol luxueux de son royaume aux voussures dorées d’étoffes brillantes et colorées. Elle reste à l’écart. Le regard acéré. Le besoin de contrôle. Et l’impression de régner. Reine de pacotille. Si seulement elle voyait. Que sa couronne est brisée. Pour autant elle sourit. Perchée sur son piédestal. Elle peine à voir. Que son trône est fragile. L’incurie le fera sombrer. Et elle avec. Un soupir aux travers de ses sourires, elle quitte son point d’observation, quelque part dans les étages pour se mêler à la foule.

Citation :

sapho observait les invités arriver depuis les étages avant de descendre se mêler à la foule.

le coeur qui pulse un peu trop vite, un peu trop fort -- quelque chose d'une nausée sourde dans les entrailles, un frisson qui suggère de fuir, s'échapper. elle ne le peut, pourtant, la gosse, trop consciente d'être captive des attentes d'autres, qu'il est trop tard -- impossible de reculer, impossible de faire marche arrière. l'anneau brûle à son doigt, tout comme l'étoffe scintillante suffoque le souffle à sa poitrine. sous les lumières dansantes, l'enchantement brodé au tissu fait courir l'éclat de comètes erratiques sur la soie couleur de nuit, et la vision fugace amène à son estomac un vague malaise ; la robe, jamais plus qu'un cadeau empoisonné, adressé expressément d'une paris qui n'avait plus rien d'un foyer, ne l'avait jamais été. les siens, écartés de sa vie depuis une décennie -- revenus enserrer leurs griffes, leurs décisions, à sa carne tendre, imposer de leurs choix une vie qui ne lui appartenait plus. ne lui avait peut-être jamais appartenu. c'est leur nom qu'il lui faut représenter dans la foule mouvante -- et bientôt le sien à lui, la bile amère fleurie sur les lèvres à la seule pensée de celui qui deviendrait trop vite époux. grisâtre, sous les lumières factices, brutalement écrasée des attentes, d'un désir de fuite loin d'une existence qui ne se maîtrisait plus. mais il n'est rien à seulement dire, rien à seulement faire ; simplement refermer les doigts tremblants sur un petit four, trop écœurée d'elle-même pour seulement le porter aux lèvres.
i'd rather be home. tout, qu'elle aurait sacrifié dans un souffle pour être à merlin's castle, dans leur foyer, entourée de la seule véritable famille à compter. mais ça aussi, ce n'était que sablier écoulé, temps dérobé -- alors elle détourne les iris, la gosse, dissimule les larmes qui scintillent au coin des paupières.
pour la première fois, elle se sent apolline -- pour la première fois, elle ne souhaite l'être.

Citation :

(aes) ; ### ### ###
a été forcée par ses parents à se rendre au gala, seule représentante de la famille en uk ; écœurée d'être là, écœurée de ses fiançailles récentes à @barty crouch jr. ; se déplace dans la foule sans aborder personne, pour le moment.

les iris courent sur la foule mouvante en aiguilles polaires, leur éclat acéré inquisiteur jusque dans les âmes des convives ; leurs psychés, des livres ouverts soumis à sa merci -- un poison à son propre esprit, pourtant. les pensées sont parasites, endogènes pourris, venues diluer sa propre essence de leur emprise ; qu'importait -- trop longtemps déjà qu'elle avait perdu pied, consumée aux abysses de sa propre folie. les lippes viennent tremper dans une coupe dorée, le breuvage froid comme aussi traître qu'elle l'était elle-même -- le champagne, coupé d'éthanol de sa propre flasque, béquille à une existence où elle n'errait plus qu'avec anarchie. rien de plus que l'allégorie du délitement d'une humanité condamnée -- tous, des chiens abjects, les crocs plantés à la gorge du prochain, la poigne tendue vers un pouvoir dénué de sens. l'horreur de sa nature n'était qu'évidence, un indéniable embrassé dans tout ce qu'elle était de vices ; comme un triomphe, dans les lumières mouvantes, le hall du ministère transformé à la gloire de l'un des leurs -- et c'est un rictus qui se dissimule contre le verre froid, y laisse son empreinte carmine. le pouvoir est à leurs mains -- quelque chose qui l'approchait plus encore des hautes sphères, venait sécuriser son poste traître dans les couloirs des autorités magiques, sa poigne force armée d'un monde à conquérir.  
à sa place, dans cette réception où se mêlaient les pensées de tous les horizons -- comme un écho de sa propre jeunesse,  trophée pendu au bras du père alors qu'il paradait sa fortune à la face du monde, inconscient de l'échappée de ses gosses qui lui glissaient aux doigts, trop pétries d'avidités pour se contenter d'être propriétés d'un homme. dans une ébauche de sourire carnassier, les doigts viennent effleurer l'or du jaipur qui vient alourdir sa gorge -- et fondent avec la vivacité des vipères sur le plateau d'un serveur de passage, y dérobent un autre verre, pourvu que se noie le bruit incessant de son crâne dans les vagues chrysorines. enfin, elle se détache de son point d'observation, l'infâme, se mêle à la foule sans décrocher ses iris de leurs visages anonymes à tous -- s'arrête sur le minois vaguement familier d'une gamine de son entourage (@sapho selwyn), et hausse un sourcil, ponctue ses mots d'un sourire rictus à demi-amusé. 'jolie robe, selwyn. l'occasion en valait largement la peine.' le regard entendu, conspirateur, se dissimule sous ses cils alors qu'elle vient tremper encore les lèvres dans les volutes liquoreuses -- l'évidence qu'à cet échiquier-là, ils étaient tous pions triomphants.
qu'elle ne se contenterait pas d'être pion -- qu'elle renverserait l'échiquier.
seule reine, sans plus un seul adversaire.

Citation :

(aes) ; ### ### ###
complètement frappée (comme d'habitude) ; descend coupe de champagne (et bourbon) sur coupe de champagne depuis le début de la soirée ; présente comme directrice de la police magique ;; échange rapidement quelques banalités avec sapho, sans plus s'y intéresser.

l'adrénaline se pulse en vagues furieuses aux veines, colère dévastatrice coulée d'angoisse dans le cœur vif -- la peur qu'ils aient déjà perdu, déjà vaincus, que ce soit ce monde condamné qu'elle doive offrir au bambin qui méritait mieux. un autre avenir, un autre horizon -- et rien de cette menace sourde qui planait à leurs têtes, promesses de lendemains éteints, ténèbres coulées d'encre aux futurs morts. à ce monde-là, il n'y aurait de survie pour elle -- le sang vicié d'une humanité qu'ils ne connaîtraient jamais, pourrie d'impuretés qu'ils verseraient en ruisseaux carmins sur les dalles anthracites de londres. but in the end, you and i -- we all bleed the same. no matter where the magic came from. leurs veines, toutes identiques -- et pourtant, ils les laisseraient crever sans merci, sacrifiés à des idées abjectes. comme si elle valait moins, de sa naissance -- comme si les amis d'enfance, tombés sous les coups du sort d'une magie dont ils n'avaient aucune idée, valaient moins. de ces folies qui lui avaient déjà trop coûté -- lui avaient coûté severus, aussi, il y a si longtemps. de ces pages qu'elle avait tournées dans les années, quelque chose d'une balafre restée ouverte de mots jamais dits, pourtant.
un soupir, et elle vient tirer sur l'étoffe émeraude d'une robe dénichée pour trois pièces dans une friperie vintage, regrette de ne pouvoir glisser les doigts dans l'étreinte rassurante de la main de james, comme pour y puiser quelque peu d'une force muette. l'époux, ailleurs, retenu pour des affaires de l'ordre -- deux instigateurs à un autre espoir, un autre souffle. this is not the world we're going to leave to harry. people deserve better than this. than a minister that's nothing but a pawn in his hand.  il viendrait plus tard, james -- en attendant, c'était seule qu'elle se feignait de complaisances, les muscles douloureux de tension, pourtant ; alerte, en traque du moindre signe.
le monde qu'ils dessinaient là, ce ne serait pas le sien.

Citation :

(aes) ; ### ### ###
arrivée avant la soirée sans/avant james ; présente pour tenter d'en savoir plus sur les plans du nouveau ministre, qu'elle n'apprécie pas ; espère choper un ou deux mangemorts au passage (on peut toujours rêver).

Narcissa n’est guère enchantée, elle exècre déjà les regards inquisiteurs, les chuchots calomnieux. Première apparition officielle depuis la débâcle de son cher et tendre, de leur famille. Maintenir les apparences demeure cependant indispensable, si ce n’est primordial. Et, Merlin sait ô combien la benjamine des Black excelle dans cet art, celui des faux-semblants et des illusions. Le regard se détourne du miroir après une méticuleuse observation. Tout est parfait ; les cheveux relevés en un chignon soigné ; la robe blanche immaculée aux allures angéliques ; le maquillage raffiné dénué d’excès. Ainsi rejoint-elle Bellatrix, son alliée boudeuse, au cœur de l’entrée, juchée sur des escarpins vertigineux. Elle soumet l’aînée à une inspection minutieuse, remarque l’effort de cette dernière et hoche simplement le menton. Parfait.

« Ce n’est guère un enterrement, Bella. » Le faste est bel et bien présent, affirmé. Les convives s’amoncellent, se jaugent du regard. Tout n’est que mise en scène. Elle s’empare de la main de son aînée, l’attirant au centre des festivités. « Une dose d’allégresse ? » La question n’attend pas la moindre réponse tandis qu’elle tend une coupe de champagne à Bellatrix afin d’oublier l’appréhension omniprésente. Elle jette un coup d'œil aux alentours espérant et redoutant à la fois de croiser une quelconque âme appartenant à leur cercle. Les visages ne sont que peu familiers, elle reconnaît cependant Lily Potter, silhouette sans aucune importance à ses yeux, provoquant dédain et désintérêt. « Tu connais ce Mulciber ? » Elle n’a entendu que des échos, Narcissa, prometteurs, du moins pour leur camp. Bien que la blonde glaciale n’ait aucun camp, si ce n’est le sien, sa famille.

Citation :

(outfit) ; xx xx
Narcissa entraîne @bellatrix lestrange avec elle au gala ; elle est légèrement nerveuse bien qu'elle n'en montre rien ; elle boit éventuellement pour se donner du courage ; elle observe avec dédain @lily potter (parce que c'est cissy bitch).

Le parchemin posé sur son bureau. Elle y jette un regard vaguement amusé, sur ces mots griffonnés de la main du Ministre lui-même, personnalisation de l'invitation qui avait été envoyée à tous. Avant de transplaner, elle a jeté un dernier regard dans le miroir, trop tard pour les modifications qu'elle voudrait apporter à son apparence pourtant déjà majestueuse. La salle est déjà bien remplie lorsqu'elle fait son entrée. Fashionably late; cette habitude, assurance des princes qu'on lui a inculqué depuis sa plus tendre enfance.

Elle est dans son élément, la matriarche des Malfoy: les mondanités pour graisser les bonnes pattes, conclure ce qui ne se fait jamais tout à fait au grand jour, mais dans l'ambiance calfeutrée d'un luxe souvent indécent. Rien n'a changé depuis l'ère faste, règne de l'époux où ces soirées se succédaient à un rythme vertigineux. C'est toujours aussi divertissant, de voir les uns et les autres tenter de tirer leur épingle du jeu, exercice qui se décline à l'infini à travers les générations. Elle a eu le temps de les observer, tous autant qu'ils sont, à jouer des coudes, se pousser du col. Une silhouette retient pourtant son attention, qui semble regretter amèrement sa présence, le regard brillant de larmes. Elle l'observe de loin, incapable de déterminer si ce visage lui est réellement familier ou si sa mémoire lui joue des tours...  saisissant une coupe de champagne, ou ce qui en tient lieu, elle s'éclipse de ce groupe de mâles autosatisfaits qui entourent le ministre fraîchement nommé, saluant l'ancienne connaissance d'Abraxas au passage.

Résolument masculine dans son choix vestimentaire, smoking ajusté et aux couleurs de son ancienne école, le jeu de la provocation poussé encore un peu plus loin, impénitente malice qui s'exprime encore, qui restera chevillée au corps jusqu'au dernier soupir. Dans le doute, elle s'abstient de tout signe de connivence mais glisse un simple - ceci devrait faire passer la pilule. un peu.. en arrivant à la hauteur de la nymphe aux cheveux d'argent.

Citation :

(outfit) ++ ++
Ros quitte le cercle d'hommes bedonnants qui entoure le nouveau ministre et se dirige vers @Neve Iparis qu'elle pense reconnaître, sans en être tout à fait sûre. Elle engage la conversation avec neutralité alors qu'elle remarque l'arrivée de @Narcissa Malfoy et @Bellatrix Lestrange

gala au ministère

topic commun

Son habituel verre de whisky Pur Feu entre les doigts, c'est avec un agacement certain que Rodolphus écoute les flatteries flagorneuses des ventripotents qui entourent le ministre. Il n'en laisse rien paraître, sourit allègrement à qui veut malgré son humeur pour le moins sombre, et partage les éclats de rire qui trouvent écho dans les hauts plafonds du Ministère. Impeccablement vêtu, comme à son habitude, Rodolphus tranche avec le style plus juste-au-corps de ses compères bedonnants. Mais il a besoin d'eux. Mulciber a besoin d'eux. Et le Lord aussi. Et bien qu'exaspéré, Rodolphus donne le change. Pour la cause.

Sa présence rassure autant qu'elle conforte le nouvel homme fort du monde magique. Mais ce soir, aucun bras-droit, aucun mangemort ne foule le dallage du Ministère. Seulement un ministre et un bienfaiteur. Rodolphus a d'ailleurs puisé personnellement dans la fortune familiale pour soutenir le nouveau gouvernement. Une manière comme une autre de conforter son influence et de polir son image de sorcier respectable. Mais derrière, dans l'ombre, il n'en oublie pas de glisser quelques murmures à Mulciber afin de bien lui rappeler à qui va son allégeance.

code by EXORDIUM. icons by HOLLOW ART  & JENESAISPAS.

Dark times lie ahead of us:

(outfit) La voix de Theseus résonne encore dans la pièce, fait trembler ses tympans et lui arrache une grimace. La beuglante lui laisse un goût amer dans la bouche. Sommation impossible à ignorer.  Elle doit sortir. Affronter le monde. Faire revenir la grande et terrible Bellatrix Lestrange. Le ton est donné. Et pour cela, elle a besoin d'une tenue impeccable, à la hauteur de sa personne. Le reflet dans le miroir lui renvoie l'image d'une femme magnifique. Mais épuisée. Terriblement fatiguée. Il suffit de la regarder dans les yeux pour s'en apercevoir. Elle donne pourtant le change Bellatrix. Réussi même à convaincre sa cadette, impeccable dans sa robe immaculée. Un ange quand sa sœur aînée donne l'impression d'être en présence de la Mort elle-même.

A peine un pieds posé hors de la cheminée, que les regards convergent. Le plus dur reste à venir. Elle le sait. Visage fermé, la démarche sûre, Bellatrix ne laisse rien paraître. D'une humeur massacrante, elle n'a guère envie de faire la conversation à des sous fifres insignifiants. « Tu as besoin de demander ? » qu'elle maugréait en attrapant la coupe. Pauvre Narcissa. « Vaguement. On saura en faire quelque chose. » Demie vérité. Elle connaît la réputation de Mulciber, sait où sa loyauté va. Et elle sait qu'il est possible de le manipuler. « Ta belle-mère est là. » qu'elle lâche en croisant le regard de @Rosamund Malfoy. C'est à peine si elle dissimule sa grimace. Si Rosamund est là, Druella ne doit pas être bien loin. Perspective peu réjouissante.

Mais alors que son regard se perd sur les invités, c'est une paire d'yeux clair qu'elle n'a pas vu depuis trop longtemps qui attire son attention. Un sifflement aigre lui échappe alors qu'elle attrape la main de sa sœur sans même s'en rendre compte. Réflexe de gamine.

oups:

Elle ne doit manquer cette occasion pour rien au monde. Qui dit nouveau ministre, dit certainement qu'une nouvelle carte doit être jouée. Bien décidée à se faire remarquer, elle à opté pour une magnifique robe de soirée aux couleurs vives, une coiffure élaborée mais structurée et une parure en diamant posée sur un décolté plongeant. Après quelques ajustements vestimentaire de dernière minutes, Norah fait irruption dans l'assemblée.La tête haute et la démarche assurée, elle remarque rapidement sa nouvelle cible et compte bien s'en rapprocher. Il doit savoir rapidement qui elle est,  et avant qu'un autre charognard lui tape dans l'œil, si elle veut obtenir ses bonnes grâces. Se frayer un chemin dans cette foule est plus compliqué qu'elle ne l'aurait pensé. Du bout des doigts, elle repousse avec dédain les épaules de ceux et celle qui lui obstruent le passage. Elle remarque soudainement, la présence de @Bellatrix Lestrange à quelques mètres de sa positon ce qui la stoppe dans son empressement. Elle ne compte pas lancer la moindre hostilité sous-jacente pour le moment, mais sa rivale à plutôt intérêt à bien se tenir si elle espère un temps soit peu contrarier ses plans. D'un pas abrupt , elle redémarre sans regarder où elle va et heurte une sorcière d'un violent coup d'épaule. Elle lui lance un regard noir, puis un sourire moqueur face à son accoutrement. Ne prenant pas la peine de s'excuser, Norah tourne les talons et continue son périple. @lily potter

Citation :

Norah débarque et espère le tapis rouge mais elle se retrouve vite coincée dans la foule ce qui l'empêche d'avancer. Elle remarque @"Bellatrix" mais compte bien l'ignorer. Elle bouscule maladroitement @"lily" mais ne prend pas la peine de s'excuser.