Citation :

@Mara Lestrange et Rab sont arrivés ensemble, s'adressant à peine la parole. Leur charisme est remarqué lorsqu'ils font leur entrée. Rab remarque que @Rodolphus Lestrange n'a pas perdu de temps auprès du nouveau ministre. la paire @Narcissa Malfoy et @Bellatrix Lestrange ne lui échappe pas non plus...

Fragile bonace après les tumultes, victoire rubéfiée par les violences et la mort, démonstration furieuse de la force des uns et de la résilience des autres. Courage égratigné par la perte du roi couronné, nimbe brisée sur le parterre des espérances ensanglantées, de l’ordre il ne reste que l’incurie et les tentatives fugaces d’un fanatisme qui se rompt sous le poids des horreurs que lui et les siens commettent sans sourciller. Parce qu’au creux des secrets et des complots, l’immarcescible détermination des ténèbres, vorace et tenace, s’accroche de ses griffes tachées de cruor au périgée du monde sorcier. Qu’importe le sang, pourvu qu’il coule et que le status quo s’embrase, et qu’importe si les meurtres semblent oiseux, ils nourrissent les ombres en dedans. Et qu’importe si la bataille est remportée, le ballet des apparences se décline en pompeuses festivités sous les voussures du ministère, où il est invité bien sûr, à se parader parmi la foule billebarrée.

Theseus est dans son environnement, prince des faux-semblants, le visage paré de sourires, infâme comédien dont l’assuétude est composée de tromperies, dans ce théâtre obscène où les ennemis se côtoient et s’ignorent, l’éristique est une arme, son charme un atout. Ophelia n'a pas encore daigné se montrer, pincement de rage qu'il étouffe alors qu'il rayonne de prestance. De sa veste sur mesure il réarrange le revers, tout vêtu d’ébène, alors qu’il aperçoit les faciès familiers du sang et des alliances. La duègne au loin lénifie les nerfs d’une inconnue, bonté infecte qui lui arrache un rictus moqueur, tout comme la tenue qu’elle arbore, faisant fi de sa féminité. Il se rapproche des érinyes affublées de contrastes, formes flexueuses qu’épousent les robes princières. Il glisse une main dans le dos de Bellatrix, un vif baiser déposé sur la joue de l’âme jumelle, s’invitant entre les soeurs. - Ravi de constater que tu as reçu mon invitation. Se moque-t-il, un sourire trémulant au coin des lippes sournoises, alors que son regard se pose sur la benjamine des Black, diapré d’allusions.

Spoiler:

invitation reçue, invitation acceptée.
curiosité. et vigilance constante, comme dirait moody. sa voix qui résonne dans l'esprit. et c'est les iris qui scrutent la foule présente. des visages familiers. malheureusement, pour certains. l'adrénaline qui pulse dans les veines et les artères. ils sont tous là, à s'empiffrer, alors que d'autres se font massacrer pour une idéologie obsolète depuis si longtemps.
c'est le poing qui se serre, et qui se desserre lorsque tu reviens à la réalité. l'endroit. le ministère. les personnes présentes. pas le droit à l'erreur, ça c'est sûr et certain. la vraie vie qui semble heurter le corps comme une vague. violente. la bulle qui protégeait lors des années à poudlard qui semble aujourd'hui si lointaine. comme un lointain souvenir, une vie qui ne semble plus d'actualité aujourd'hui. ou bien une réalité alternative.
et aujourd'hui la réalité qui est bien plus cruelle. où l'injustice règne. où les plus faibles se font massacrer dans un seul battement de cil.
monde sombre qui semble se profiler. sans futur plus lumineux, plus optimiste. les amis qui tombent les uns après les autres. les alliés qui semblent se faire de plus en plus rare alors que les années défilent, bouffées par la guerre qui fait rage.
et un ministère qui ne fait pas ce qu'il devrait faire. qui regarde les choses se passer, impuissant sûrement. mais ce n'est pas une excuse. sûreté dans le fait que tout le monde peut faire changer les choses, si on le veut vraiment. tous des lâches. voilà ce qu'ils sont.
tous présents, mais pas un pour rattraper l'autre. monde qu'ils regardent brûler sous leurs propres yeux sans faire quoi que ce soit. se contentant de ce qui leur est offert et rien que d'y penser la bile monte dans la gorge. et peut-être que venir ici était une mauvaise idée finalement. et tu pourrais repartir tout de suite. maintenant. sans que personne ne t'ai remarqué. repartir dans l'appartement. mais curiosité mal placée, besoin de savoir ce qu'il se passe. besoin de scruter, d'observer.
les paroles de moody qui résonne toujours dans les tympans. ils s'amusent et voilà que toi tu es là, tendue, prête à agir, sorte de mission. pas d'amusement pour ce soir.

(outfit) La dispute avait été tonitruante, tout ce qui devait être dit avait été dit et quand ils avaient atteint ce qui devait rester tu, un silence tout aussi fracassant était tombé dans la pièce. La tension dans les épaules de Mara n’avait pas eu le temps de disparaître que déjà sa voix retentissait dans son dos – trop tôt, trop vite. Elle ne répondit rien, le laissa s’échapper de la pièce tandis qu’elle étirait les minutes pour parfaire son apparence. L’onguent soigneusement appliqué pour cacher les cicatrices et ne laisser voir que la beauté faussement immarcescible de sa gorge soulignée par une robe outrageusement plongeante, le maquillage discret et les cheveux détachés, tout n’était que fausseté, mais une fausseté parfaitement maîtrisée. Il n’en fallait pas moins pour se jeter dans la gueule du loup ce soir, et tant de préparation n’avait rien d’oiseux. Amis, ennemis, tous seraient mélangés sous les voussures du Ministère, et leur première arme serait cette apparence de force et de pouvoir qu’il fallait maintenir. Quoi qu’il en coûte.

Cette soirée, Mara ne pouvait pas l’éviter. Aussi peu enthousiaste soit-elle à l’idée de se mêler à la foule accompagnée de Rabastan, la curiosité de rencontrer officiellement celui qui avait été placé à leur tête par des machinations flexueuses l’emportait largement. Tout comme son sens du devoir, implacable et impossible à nier. C’est donc la main posée sur le bras de son mari et un sourire conquérant plaqué sur les lèvres qu’elle fit son apparition dans l’immense salle déjà bondée, la proximité de leur couple faisant presque oublier le tonnerre qui les avait déchirés si peu de temps auparavant. Mais personne n’en savait rien, personne ne devait rien savoir. Ils étaient parfaitement assortis et parfaitement heureux, c’était tout ce qui devait transpirer de leur apparition, c’était la seule pensée qui devait traverser ceux qui posaient leurs yeux sur eux. Du moins ceux qui ne faisaient pas partie de leur cercle rapproché … Ceux que Mara n’avait aucune envie de voir ce soir, ceux qui la faisaient rêver à une thébaïde où s’enfermer pour le restant de ses jours. Mais elle était venue et ne devait pas rêver à déjà repartir.

Elle détourna son regard de la vue de ses cousines, accepta avec un sourire la coupe de champagne que lui offrait galamment son époux. Dans une seconde il allait les rejoindre et elle devrait suivre le mouvement, à moins qu’elle ne le détourne assez rapidement de cet objectif honni. Mais Norah se trouvait trop loin, frayant déjà pour rejoindre les plus hautes sphères, et aucun autre visage familier et un tant soit peu agréable ne se trouvait à proximité. Alors quand un couple les aborda, Mara leur offrit toute son attention et son plus beau sourire. Peu lui importait qu’ils soient de parfaits inconnus, et qu’ils se mettent à lui parler travail dans une soirée mondaine de cette envergure. Ils les gardaient occupés, et elle pouvait ainsi jouir de la contrariété que cela ne manquerait pas de causer à celui à qui elle tenait toujours le bras.

Spoiler:

Les voussures de tes lèvres se courbant, sans réellement cacher ta joie de la finalité. La puissance qui te transcende, alors que la victoire est belle. Les regards oiseux de l'autre camp qui te transcende. Une trêve. Un moment de silence. Moment bonace alors que les vagues s'écraseront à nouveau à l'aurore. Ils plieront Severus, tu le sais, ils seraient inconscients de continuer. L'espoir, ce foutu espoir qui les envoie tous dans la tombe. Tu n'arrives pas à comprendre que leur vision de la liberté soit plus importante qu'un souffle de vie. Tu ne peux pas comprendre qu'elle continue à risquer sa vie. Elle qui est juste devant toi, elle dont la fougue te brule, elle que tu aimes, encore, toujours. Fugueur immarscescible qui ne faiblit pas. @Lily Potter et son regard qui te rubéfie. Tu essaies de l'ignorer, te rapprochant des Lestrange, alliés, pas réellement amis, tu en as peu finalement. Le breuvage billebarré qui se pose sur tes lippes gercées. "Et bien mesdames, vous êtes en beauté ce soir." Mais pas autant qu'elle, elle que tu regardes, alors qu'elle se fait bousculer, alors que tu donnerais tout pour prendre sa main. "Ils sont tellement affligeants, leur détermination puérile me dégoute." Les membres de l'ordre qui se font légion, alors que tu as l'impression que le paradis devient thébaide, que tu ne trouves pas de manière de te lénifier.

Citation :

Severus arrive seul et se rend compte que @Lily Potter est présente, il l'évite en allant près des Lestrange. Il commence à discuter avec @Bellatrix Lestrange et montre son mépris pour l'ordre.

L'humeur flexueuse, si ce n’est odieuse, de son aînée lui arrache une moue pratiquement imperceptible tandis qu’elle s’efforce de contenir ses propres aigreurs. Elle se doit d’afficher son plus beau des masques, maigre tentative visant à redorer le blason familial, un premier pas. Elle songe un instant à son Lucius croupissant à Azkaban, pensée néfaste, déprimante, qu’elle chasse au tréfond d’elle-même le temps d’une soirée. Elle n’écoute Bellatrix que d’une oreille, croisant le regard de sa belle-mère, l’élégance même, immarcescible, tandis que la main de sa sœur pressant la sienne la ramène au cœur du moment présent. « Tu comptes lui parler ? » Bellatrix et Rodolphus. Les époux coléreux. Ils se détruisent, s’aiment. Manège incessant. C'en est lassant. Narcissa attend leur réconciliation. Elle tarde, se fait attendre. L’orgueil s’en mêle. Qui cédera ? Qui s’acquittera du premier pas ? Elle ou lui ? Peut-être elle. Elle ne saurait parier là-dessus. Il lui manque cependant. Elle le sait. La question demeure sans réponse, conversation troublée par l’arrivée de celui pour qui elle ne saurait déterminer ses sentiments contradictoires, vacillant sans cesse. Elle s’efforce d’afficher son agacement habituel, inhérent à la présence de Theseus Malfoy, ignorant soigneusement son regard chargé d’évocations. « Ne devrais-tu guère demeurer aux côtés de ta fiancée ? » Elle ne peut que remarquer l’absence de cette dernière, encore, bien qu’elle suppose une possible arrivée tardive. Option lui déplaisant pour une raison profondément ignorée par la principale intéressée. « Serait-elle déjà lasse de toi ? » L’air innocent, elle porte la coupe à ses lèvres, goûtant aux bulles, alors que Severus s’invite à leurs côtés. Elle adresse un signe de tête à ce dernier, maigre salut, typiquement Narcissa. La voilà désormais entourée de mangemorts, si seulement ils pouvaient s’imaginer qu’elle octroie des informations à l’égard du mage noir en échange d’une prochaine libération de Lucius… Elle trémule à l’idée d’être découverte. La gorge se noue soudainement, tandis qu’elle se mure dans un silence calculé, affichant une mine dégoutée en guise de réponse à Severus. Finalement, elle exècre cette soirée.

Citation :

Narcissa espère une prochaine réconciliation entre Rodolphus et @Bellatrix Lestrange, elle tacle @Theseus Malfoy dès son arrivée (c'est l'amour fou), bien qu'une fois l'arrivée de @Severus Snape elle opte pour un silence de plomb. Cissy est tendue.

(outfit) Tout ce beau monde qui se presse pour serrer la main du nouveau Ministre. Tous ces gratte-papiers sans importance. Tas d'ignorants. Rejetons à la recherche d'une figure paternelle, quelqu'un à suivre. Ils ne savent rien du pouvoir. Ca lui arracherait presque un sourire. Presque. Mais rien n'y fait. Elle n'est pas ici pour passer un agréable moment. Son regard assassin qui se pose ici et là, croise celui de sa chère cousine (@Norah Rowle). Évitement mutuel . Elles gardent leurs distances les lionnes. Pour l'instant. Trop occupée à rester calme. Accaparée par mille pensées de mort. C'est @Theseus Malfoy qui la retient d'un baiser, quelques mots bien placés. Elle lui assène un léger coup de coude dans les côtes. Une juste réprimande. Un petit rien. « Tu as toujours su parler aux femmes. » Moquerie qui lui arrache enfin un sourire tandis qu'elle croise les regard de sa sœur. Impossible pour Narcissa de lui cacher ses sentiments contradictoires. La soirée promet d'être riche en surprises...

« Shhh pas ce soir Severus. » Elle n'est pas d'humeur Bellatrix. Ils doivent sauver les apparences. Cette soirée n'est que mensonges. De la poudre aux yeux. Chacun joue son rôle à la perfection. Ou presque. Les doigts de Bellatrix lâchent enfin ceux de sa cadette mais elle ne peut s'en détacher complètement. Comme un oisillon accroché à sa mère. Son regard passe d'un Lestrange à l'autre. Il reste sagement à l'écart. Elle aussi. Rabastan ne prend pas parti. Alors que tous les autres sont à ses côtés. Sa petite bande à elle. Rodolphus a perdu cette partie. « C'est d'un ennui ! »

Rien a se mettre sous la dent. Impossible de déclencher la moindre petite esclandre. Il en coûterait trop à son camp. Pour autant, elle n'oublie pas Bellatrix. «Si cet abruti de sang-de-bourbe se montre, ne le laissez pas partir. J'ai deux mots à lui dire... » Et une baguette à récupérer. Elle doute cependant qu'il soit assez stupide pour se montrer ce soir. Mais la stupidité n'est pas chose qui manque aux sbires du vieux Dumbledore.

oups:

Se rendre au gala du ministère était pour Seppia un moyen de se montrer et de soutenir sa famille. Souvent discrète dans les évènements politiques, elle ne s’échapperait pas de celui-là. Elle s’était donc rapidement préparée après avoir quitter Sainte-Mangouste et avait rejoint le ministère. Le lieu est déjà bondé. Un parfait mélange hétéroclite de sorcier. Sang pur, sang mêlé et sang de bourbe, mélangé en un même endroit. Elle s’engouffra dans la foule, se faufilant avec grâce au milieu des convives. Elle répara un groupe composé de son frère aîné, de sa belle sœur et d’autres sangs purs. Elle remarqua que son frère n’était pas accompagné de sa fiancée, sur ce point ils étaient quitte vu qu’elle ne cherchait pas l’heureux élu du regard. Visiblement la conversion semble acide d’après les expressions qui se jouent sur les divers visages. Elle les rejoignit rapidement et se glissa au côté de Theseus, glissant son bras sous le sien, un léger sourire poli aux lèvres. « Bien le bonsoir. » les salua-t-elle. Elle glissa son regard cristallin sur son frère. « Tu es fort bien entourée ce soir Théséus… » murmura-t-elle. La jeune femme tourna son regard vers Narcissa. « Comment va Draco, Narcissa  ? » demanda-t-elle. Le petit prince de la famille devait probablement être resté chez lui, loin de cet évènement mondain. Mais privé de père, qui était prisonnier à Azkaban, elle s’inquiétait pour son neveu et souhaitait voir Lucius libérait le plus rapidement possible.

Spoiler:

(outfit) 20 heures. Ne pas être trop en retard. Jamais en avance non plus. Sa mère l'observe d'un œil, approuvant discrètement sa tenue.  Regrettant l'absence de Theodora. L'absence de ses fils. De son époux. Ils pèsent lourd sur ses frêles épaules. Pauvre petite Medea. Dans un soupir, elle suit les siens qui disparaissent un à un dans la cheminée. Pour apparaître au cœur du Ministère de la Magie. Antre des mensonges et des faux semblant. Elle a la nausée Medea. Comme à chaque fois qu'elle emploie un moyen magique pour voyager. Elle retient un haut le cœur, remercie d'un sourire son oncle qui la soutient. Une seconde pour se remettre. Ce n'est ni l'endroit ni le moment de flancher.

Elle est comme happée par la beauté des lieux. Ensorcelée par les les parures impeccables, les sourires brillant. Et elle se perd Medea. C'est à peine si elle se rend compte que la main de sa mère glisse, qu'ils s'arrêtent pour faire la conversation avec des gens qu'elle ne connaît pas. Et la voilà seule au milieu des loups. Elle se donne des grands airs. Gamine qui ne désire rien de plus que d'être comme toutes ces femmes. Comme elle. Lily Potter qu'elle aperçoit et qui l'intimide. Elle soupire. Not good enough.

Elle attrape une coupe de champagne sur un plateau, virevolte entre les invités. Quasi invisible. Medea n'arrête sa course que lorsqu'elle se trouve hors de portée. Loin de la foule qui la dérange. Là où elle peut observer et peut-être trouver. Ils sont forcément là. Ces êtres abjectes qui lui ont tout pris. Ses frères. Albus Dumbledore. Elle ne permettra pas qu'un énième drame arrive. Elle refuse. Tout simplement. Elle s'imagine déjà héroïne de livres. Pauvre folle.

«Oh, désolée. Je ne te dérange pas j'espère ? Je voulais juste un coin tranquille... » Excuses ridicules. Elle se sent rougir et offre un sourire qu'elle espère sincère. Elle n'est pas sûre qu'on se souviens d'elle. Trop facilement effacée des mémoires Medea. « Medea.  » qu'elle murmure avant d'engloutir son verre.

blablabla:

Le monde qui se fait foule, alors que les sourires se font faux. La flétrissure de vos âmes meurtries empuantissent l'air. Le groupe s'agrandit, le pouvoir qui s'accumule, alors que les regards se font lourds sur vous, et tu te sens grand Severus. Important, alors que tu retournes en arrière, un instant, les feuilles mortes qui se collent à ta robe jais. Les rires des malins qui brisent ton myocarde. Tu vacilles dans cette salle bruyante, impassible, essayant de l'être. Tu aperçois @Sapho Selwyn au loin. Ton sourire ne peut s'empêcher de s'agrandir, toi l'homme de marbre. Tu t'excuses à peine auprès de tes amis, de ceux qui s'en rapprochent le plus tout du moins pour la rejoindre. Elle ne te voit pas tout de suite alors que tu poses délicatement ta tête sur son épaule, comme un enfant, comme la douceur que tu incarnes quand tu es avec elle. "Tu ne devrais pas être aussi jolie, toutes les autres paraissent fade, tu risques de t'attirer les foudres de certaines." Les armures qui se brisent, la colère, la haine, tout ce qui t'anime qui disparaissent, alors que tu ne les vois plus, les gens de l'ordre qui ne sont qu'accessoire rouillant dans une eau vaseuse. "Explique moi donc pourquoi tu es toute seule ? Ou est donc ce très cher monsieur Selwyn ?" Lui qui a pu lui passer la bague au doigt, lui qui ne la rendra jamais heureuse, alors que toi, oui toi tu aurais pu donner naissance à un sourire sur ces lèvres meurtries, crevassées ayant subi des torrents de larmes non versées suite à l'absence de ce mari qui ne l'aimera jamais.

Citation :

Severus rejoins @Sapho Selwyn qui se trouve seule dans l'immense foule et essaie de ne pas regarder @Lily Potter qui ne se trouve pas loin de lui, espérant secrètement qu'elle vienne lui parler