the wand choose the wizard

détermination (75%)	loyauté (100%)
maîtrise de la magie (75%)	altruisme (95%)
courage (55%)	dynamisme (85%)
espièglerie (30%)	prudence (90%)
sagesse (85%)	extraverti(e) (25%)

Que pensez-vous de la Ministre de la Magie ? Est-ce que vous pensez qu'il gère bien la situation ?
Tu écoutes les infos en soupirant, préférant ne pas t’en mêler, trop occupée à gérer ta boutique, à essayer de le protéger, à tout gérer, et pourtant, tu aimerais savoir, où est passé Dumbledore, que tu aimais bien, qui te souriait toujours, derrière ces lunettes en demi-lune quand il te croisait dans les couloirs. Tu aimerais, ô oui avoir le courage, d’affronter tout ça, de prendre parti, de t’armer de ta baguette et de te battre pour des convictions enfuies mais tu restes là, le palpitant s’affolant, en restant accrochée à ces fils, restant neutre, encore et encore, n’apportant rien, ne te mêlant de rien. La peur amène peu de folie et beaucoup de regrets douce Salma.

I solemnly swear I am up to no good.

puddles. Les bottes qui grincent, les rires qui éclatent. Les ballons qui s’envolent, alors que les étincelles se mettaient à jaillir, feu d’artifice à porter de doigt. La pluie faisant profusion, rendant tout plus glissant, se jetant dans les flaques. Tu étais heureuse, profondément, Salma. Invincible gosse, tenant ta sœur du bout des doigts, avançant, confiante, tes parents, leur odeur, leur présence, juste derrière toi. Les fleurs qui éclosent, dans cette après-midi pluvieuse. Tu te souviens, Salma, de l’odeur de ta mère, de ton père et de ses cheveux crépus, une éponge que tu palpes, maitre du monde sur ses épaules. Ensemble, pour toujours, tu ne pouvais pas voir la vie autrement, comment le pourrais-tu, pauvre enfant, le puzzle ne serait plus jamais le même, sans elle, sans lui, sans cette famille, incroyable, déambulant dans ce chemin de traverse bondé. Les rires de Zahra en trébuchant sur les ruelles dallées, tu donnerais tout Salma, absolument tout, pour revenir à cette journée, à ce moment de bonheur, happé, n’en ayant jamais eu assez, tu n’en aurais jamais eu assez de toute façon, douce Salma, accro à tes parents, à la vie que tu avais, invincible, croquante, ne te rendant pas compte que les heures tournent, qu’ils deviennent peu à peu translucides, les touchant à peine du bout de tes doigts. shadow. Et les portes qui claquent, le silence qui surgit, silence de mort. Tu n’as jamais réellement su, la disparition des parents Shafiq, morts de leurs convictions, morts dans l’assourdissement incertains, emportés dans les cris d’enfants déchirants, les deux gamines au cœur brisé, ne comprenant pas. Trop jeunes, se retrouvant main dans la main avec cette peau ridée, avec le sage, le vieux Shafiq, et ces odeurs de cendre, le vieux Shafiq et ses idées sur le monde. Tu n’aurais jamais pensé perdre tes parents si tôt, disparus, sans laisser aucune trace, sans aucune raison. Tu te laisses encore emportée par un espoir Salma, qu’ils reviennent à la maison, que son odeur de lys imbibe les murs de cette boutique où tu as passé toute ta vie, où tu as grandi, leurs photos posées sur le comptoir, pour ne jamais les oublier, pour ne pas laisser les volutes de fumées emporter les sourires, les odeurs de cumin, l’incroyable amour qu’il pouvait y avoir entre vous et pourtant, tu ne sais plus quel son délicat, angélique pouvait faire son rire, tu ne te souviens plus de ses mains, si elles étaient chaudes ou froides, ce qu’elle te disait avant de t’endormir, tu les oublies et ça te tue Salma. cane. Tu t’es trouvée grâce à lui, comme une âme sœur, destinée à se retrouver sur le même chemin que lui. Le vieux Shafiq et ses phrases d’orient, son odeur de dictame, et sa canne dorée. Tu l’as aimé dés le premier jour, devenant sa préférée, plus sage, plus réfléchie que ta sœur. Tu ne pouvais t’empêcher de sourire, en entendant le claquement du bâton sur le parquet filandreux, à te cacher dans les allées, en l’observant de loin, espérant, devenir un jour comme lui, savoir autant de choses. Tes larmes coulent Salma, déjà dès lors, en pensant à lui, lui qui partira un jour, comme eux, t’abandonnant, et toi qui ne saura pas avancer sans être guidée, parce que tu as toujours eu besoin de quelqu’un Salma, parce que tu ne sais pas marcher toute seule, tu as trop peur de tomber, trop peur du noir et de l’inconnu, de ne pas sentir sa main rocailleuse dans la tienne si douce. badger.Tu avais tout d’une Poufsouffle, pas assez courageuse, pas assez mesquine, pas assez studieuse, te retrouvant à ta juste place, parmi les loyaux, les altruistes. Tu t’es vite englobée dans une bulle, avec eux, les quatre autres. Ils étaient tout ce que tu avais, toi la fille trop timide, pas assez colorée, fade. Tu étais la suiveuse, celle qui t’embarquait dans les problèmes, sans trop te mouiller. Tu étais celle qui faisait tout, tout pour rester ancrée, pour qu’ils ne te laissent jamais tomber, ne te rendant pas compte du ciment que tu pouvais être, la froideur qui apaise les flammes. Tout aurait pu vous sourire, gosses invincibles, si il n’y avait pas eu cette nuit-là, la nuit de trop, vacances de Noel pour ces gamins londoniens, nuit gelée, murs patinoire, et elle, elle et sa douceur, elle et sa chaleur, son courage qui est tombée, de trop haut, se craquant le cœur pour ne jamais revenir, quatre gosses qui ont tout vu, qui n’ont pas su réagir comme il fallait, qui ont fait passer ça pour un accident, si seulement les gens savaient, que tout avait dérapé, de leurs mains, des siennes, à ce garçon qui n’a pas réussi à gérer ce feu, qui a tout dégommé, déchirant la page et vos mains, se liant, pour le protéger, parce que la loyauté, ça ne peut pas avoir de failles, jamais. . herbalist. Tu n’as jamais rien dit, partant des murs de Poudlard, gardant ton secret, te bousillant, te noircissant, n’étant plus cette perfection, élève moyenne, sortie de là sans graver le monde, retournant dans cette boutique, près du vieux Shafiq, déambulant au bruit de l’oud, te retrouvant là où tu devais être, devenant la gérante, avec lui, qui tient les rênes, redevenant sa marionnette, souriant, vide de sens, poupée de porcelaine, suintant de perfection, sans aucun fond, te sentant heureuse d’avoir quelque chose à toi, sans vraiment l’avoir, parce qu’il est toujours là, près de toi, ses mains lourdes te guidant, construisant ton chemin de pierre jaune, sans te laisser le temps de décider, de te poser, de vivre ta vie. Tu entends Zahra, dans le coin du monde te dire de vivre, de ne plus être dans l’ombre des gens, de briller, d’écouter ton cœur, qui ne bat jamais assez, qui avance sans vie, sans réel but. beat. Eclair dans l’air, tombée par terre, tout qui éclate, alors qu’elle le voit là, sanguinolant, sachant à peine marcher. Tu t’en es pris plein, comme une claque, un enfer, une descende, une chute brutale et tout qui te revient, boum boum, comme un coup de foudre, un effleurement, sa peau chaude sur la tienne, frissons immédiats à son contact, amour trop fort, trop beau, trop intense pour un inconnu, un lycan dont elle devrait avoir peur, il n’en est rien. Tu l’as laissé partir Salma, l’aimant du bout du cœur, l’observant sans oser lui parler, timidité dévorante, calmant ta fièvre, murmurant simplement sans qu’il ne puisse t’entendre, du bout des lèvres. Tu imagines ta vie, avec lui, lui à toi, t’appartenant, ses mains déambulant sur ton corps de satin, te cambrant sous sa justesse, dansant en robe blanche, ses phalanges dans tes cheveux, te parlant d’amour, de ces volutes de satin se caressant sur vos corps unis, tu rêves, derrière cette fenêtre, l’aimant, sans jamais qu’il ne te regarde.love. Son épaule contre ton épaule, tes reins en explosion face à lui, à son visage, face à son odeur se mélangeant à celle de cette boutique, de ce monde où tu l’as accueilli, quand il s’est retrouvé perdu, parce que tu l’aimes, que tu as convaincu le vieux Shafiq de l’embaucher, et tu as appris à le connaitre, mot à mot, bouche à bouche. Chaque seconde passée est un presque rien qui te fait danser dans le monde, qui te fait chuter, dans l’abyme de l’amour, aimant chaque pores, chaque commissure, chaque regard de lui. Tu n’oses pas, le battement du cœur en solitaire, te découvrant petit à petit, pas assez vite, pas assez fort, pour qu’il ne te remarque, toi dans l’ombre, le palpitant se déchirant, et lui qui s’éloigne, sans t’entendre, sans entendre ces hurlements, sans voir ces grands gestes qui te désarticule, pantin qui essaie d’avancer, seule, sans voir que le maitre observe, plaçant ses pions, pour te voir sourire, lui serrant la main, derrière, dans l’ombre, te regardant, souriant à peine, du coin de l’œil, pour qu’il t’offre ce que tu désires, pour qu’il se lie à toi, à jamais, alors que le temps d’aimer passe encore et encore, et pas avec la personne qu’il veut, regardant derrière cette fenêtre, pensant à ses muscles saillants, sans penser à tes courbes, toute offerte à lui, brûlée de ces regards inexistants..ring. Le temps qui passe et toi, qui te déstabilise, face à cette bague, tant rêvée, trop serrée, te déchirant l’épiderme, lui à genoux, le sourire amer, à demander l’amour d’une fille qu’il n’aime pas, qu’il ne connait pas, se déchirant face à la réponse positive, à cet avenir tout tracé, qu’il ne veut pas, parce qu’il ne t’aime pas et tu le sais Salma. Infidèle, tu le regardes, vivant ta plus belle histoire d’amour, douces larmes, qui ruisselles quand il ne regarde pas, n’arrivant pas à lâcher prise, à le laisser partir, sans comprendre, le pourquoi il t’a demandé ta main, alors que vous êtes encore que des inconnus, ne connaissant que les masques de porcelaine, parce que tu ne comprends pas, parce que tu te noies dans la dénégation totale de cette union manipulée, acerbe de ce vieux Shafiq qui espérait te rendre heureuse en te donnant ce que tu voulais depuis des années, sans comprendre que tu méritais bien mieux, un homme qui t’aimerait, pour ce que tu es, pas par obligation, torturée, ô Salma. Déchirée entre ton cœur et ton âme, ne sachant pas respirer loin de lui, sans savoir si tu comptes pour lui, même juste un peu, assez que pour accepter qu’il ne soit pas totalement à toi. puzzle. ☆ Ton patronus est un chameau, déambulant calmement, rappelant tes origines ☆ Tu étais particulièrement douée pour la botanique et pour les potions à Poudlard ☆ tu continue de croire que ses parents sont vivants mais cachés quelque part ☆ Tu n’as jamais eu de petits amis, trop timide que pour simplement y penser ☆ Ton épouvantard prend la forme de ton amie décédée, le crâne fracassé, pour te tourmenter, de ne jamais avoir avoué que tout ça n’avait rien d’un accident. ☆ Tu as très peur des oiseaux.

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