· deep in the night : groupe 2.

groupe 2

@mayra okorie ; @rosen malone ; @idriss ainsworth et @maeve kearney .

Pour éviter les vents violents, les objets volants, les lieux souterrains pouvaient facilement représenter la meilleure option. C'est pour cette raison que Mayra était venu se réfugiée dans une station de métro, après avoir chuté plusieurs fois avant d'arriver à bon port. Elle remarqua rapidement que l'endroit été désert, aucun métro en route évidemment, aucune lumière, mais au moins, elle était protégée du vent dehors.
Dehors, Rosen a été surpris par la violence du vent, alors qu'avec Idriss et d'autres membres de l'ordre, ils avaient décidé de braver l'enfer pour essayer d'aider les malheureux coincés en ville. Malheureusement surpris par les événements, les deux hommes ont été obligé de trouver refuge quelque part et le métro était le seul endroit semblant assez sûr.
Maeve quant à elle, s'était rendue à Londres dans le but d'y retrouver sa mère en séjour dans la capitale au début de ce cauchemar. Malheureusement pour elle, en plein centre ville, elle s'était retrouvée coincée par le vent, obligée de se réfugier dans le métro.
Après un coup de vent, l'entrée de la station s'est retrouvée complètement bouchée, coincée par des voitures poussées là et un début d'éboulement. Malheureusement pour les protagonistes, la voix était complètement bouchée par des travaux, impossible de rejoindre une autre station ; et la pluie complètement folle qui avait commencé avait fait déborder la tamise et l'eau commençait peu à peu à monter à l'intérieur de la station.

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· (mayra) avant d'entrer dans la station, la jeune femme a été poussée par le vent, chutant, elle s'est fait mal à la cheville et s'est écorché méchamment le bras.

· (idriss) juste avant d'entrer dans la station, le sorcier s'est fait percuté par un automobiliste perdant le contrôle de son véhicule, les côtés douloureuse, l'une d'elle cassée, la menace de l'hémorragie interne n'est pas bien loin, d'autant plus qu'il rencontre des difficultés à respirer, preuve d'un poids inhabituel contre son poumon, menacé d'être perforé par ladite côte (possibilité de dire que le poumon est bel et bien perforé).

· (rosen) Pendant une tentative pour sauver quelqu'un coincé sous des débit, Rosen s'est retrouvé le bras pris au piège sous la roche, l'os du bras gauche à moitié broyé sous une blessure sanguinolente. De plus, en essayant de rejoindre le métro, le sorcier s'est pris un objet volant dans l'épaule droite, cette dernière est complètement déboîté, il a également porté Idriss pour l'aider à trouver refuge, n'arrangeant pas le problème de son épaule.

· (maeve) sur la voie de métro, en tentant de trouver un échappatoire, la brune s'est méchamment entaillé la cuisse. De plus, avant d'entrer dans le métro, elle est tombée à cause du vent et s'est fracturé le bras.

· (général) Sortir du métro semble impossible et une eau glaciale est en train d’inonder les lieux.

Elle se sent bête Mayra. Complètement inconsciente d'avoir accepté de couvrir sa collègue. Et voilà qu'elle ne pouvait pas rejoindre son lieu de travail. Chaque pas plus difficile que l'autre, la panique montant doucement, elle n'a pas d'autres choix que de trouver un refuge. S'éloigner de l’œil du cyclone. Une question de vie ou de mort. Violemment poussée vers sa destination, Mayra s'écroule, les escaliers amortissant douloureusement sa descente. Un cri de douleur lui échappe alors qu'elle atterrit finalement au sec, loin du tumulte de la tempête. Sa cheville la lance, son bras la démange. Le sang lui soulève l'estomac. Elle n'est pas seule longtemps. Dans la pénombre elle peine à discerner quoique ce soit. Les éclats de voix ne lui disent rien. Et l'angoisse continue de monter tandis qu'elle s'adosse à un mur, grimace de douleur. Sa cheville est bientôt rencontrée par un liquide glacial. « L'eau monte. » qu'elle articule, la voix brisée par la peur. Impossible de ne pas céder à la panique. C'est plus fort qu'elle. Elle n'est pas si courageuse Mayra. « Maeve ? » qu'elle demande, incrédule. Soudainement soulagée par la présence familière de cet être magique. Même si elles n'ont plus eu de contact depuis longtemps. Même si le qualificatif d'amie ne s'applique peut-être pas. Elle est rassurée de savoir la sorcière ici. Soulagement qui disparaît bien vite lorsqu'elle découvre les blessures de la brune plus amochée qu'elle ne l'est. « On va sortir d'ici rapidement, pas vrai ? Les secours vont forcément inspecter les stations. » Elle tente de se rassurer, rationalisant la situation. Mais l'eau continue de monter, glaçant son sang. Elle balaie du regard la station, scannant les autres victimes, la respiration saccadée à mesure qu'elle comprend l'ampleur du drame.

Spoiler:

Invité Invité

Black-out. Choc total. La ville plongée dans un noir total, intense, le néant leur ouvrant la porte des Enfers. Driss et quelques membres de l'Ordre s'engouffrent dans les abysses ténébreux des bas-fonds londoniens à la recherche d'âmes en détresse alors que la tempête fait rage.

Soudain, alors que des cris de rescapés se font entendre près de l'entrée vers la rame de métro, Driss, le sang bouillonnant, fonce sans réfléchir. Les deux phares de la voiture endiablée s'imposent à sa vision en un instant. Celui d'après, il se retrouve fauché au sol, l'automobiliste s'enfonçant dans un fossé à quelques mètres. Cri de douleur qui s'extirpe de ses poumons endommagés. Vision floue. Tympans bourdonnants. Rosen l'aide à rejoindre le souterrain. La respiration haletante, Driss redresse le regard vers son camarade, le tee-shirt imbibé de liquide vermeille. La douleur parcourt tout son corps de spasmes. Je vais y passer. Pensée avortée par la voix d'une femme à sa droite, alors que la panique l'envahit lorsqu'il sent ses chevilles inondées.

La sortie semble bouchée par les débris, et il lui est impossible, dans cet état, de transplaner, voire même de bouger. Dans un Lumos discret, il scrute les environs. Ils doivent se sortir de ce merdier avant d'y passer. Dans un mouvement inespéré, il lève sa baguette et tente de faire léviter les pierres et bouts de ville bloquant le passage, en vain, ses forces le quittant. Il a le pantalon trempé. Regardant tout à tour chacun des survivants, il réussit à murmurer. - Qui a une baguette ? Je... Je peux vous éclairer, mais difficilement faire mieux. Souffle-t-il en portant sa main à son flan, se demandant ce qui lui cause une telle douleur. Quelques côtes cassées, certainement. Il espère dans une plainte rocailleuse que le poumon n'est pas endommagé.

Spoiler:

Rosen qui hurle ses véhémences, catilinaires étouffées par le déchaînement des éléments. Vésanie furieuse que de s’aventurer au dehors, mais les convictions fiduciaires l’emportent sur la raison, trop souvent, aveuglés par la force de leurs espérances, l’infatigable combat des panégyristes qui ne manquent pas de démontrer la puissance de leurs idéaux, qu’importe les capucinades de ceux qui leur intiment d’être plus prudents, qu’importe le sang qui dégouline de sous le cuir déchiré et l’acrimonie qui se déverse sous le souffle court. L’bras en capilotade, il n’a le temps de ne rien dire, Rosen, que la tête brûlée qui l’accompagne s’élance entre les bourrasques. L’adrénaline prend le dessus alors qu’il traverse la rue à son tour et accuse un nouveau coup venu du ciel moqueur. Sous le déluge il parvient à relever le béjaune torturé par la violence du choc.

Galimatias d’injures et de grognements qui siffle entre ses lèvres crispées, pourtant il s’accroche à Idriss, malgré l’épaule abîmée qui l’assaille de violents soubresauts, volonté irréfragable des enfants d’la guerre, il soutient son camarade jusqu’à l’abri le plus proche. – Allez Gary Cooper, encore quelques mètres. À bout d’bras. Presque là, entre insolence et trépas. Détermination qui vaincra. Plus que quelques pas. Dernier regard vers l’atroce opéra. Tout au dehors s’en va. Vent funeste sonnant glas. Et après le fracas, l’embarras. Tous les deux prisonniers, Rosen qui s’adosse contre les parois glacées et se laisse glisser au sol aux côtés de l'ancien gryffondor, l’cœur battant, le mal qui le prend alors qu’il constate son état, refuse d’écarter les lambeaux de sa veste, il sait qu’il ne peut pas bouger sa main, ça lui suffit, il sent les os brisés qui se frottent les uns contre les autres sous la peau lacérée. Il déglutit, décolle enfin l’arrière de son crâne du mur et observe les alentours sombres. présences distinguées, vue troublée par les vertiges. – Dans, dans ma poche, mais j’peux rien faire… ton désolé qui s’échappe de la gorge serrée, membres fracassés qui l'empêchent d'attraper le salut. - Idriss … lance-t-il pour l'avertir de l'eau qui menace, ses paroles faisant écho à la voix féminine entendue plus tôt.

hj:

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