the wand chooses the wizard

détermination (90%)	loyauté (90%)
maîtrise de la magie (90%)	altruisme (55%)
courage (85%)	dynamisme (75%)
espièglerie (80%)	prudence (20%)
sagesse (30%)	extraverti(e) (80%)

I solemnly swear I am up to no good.

(( the hair )) Orion & Walburga ont eu bien du mal à concevoir Sirius, la consanguinité, ça n’a certainement pas aidé. Mais le temps des moqueries était terminé, un fils était né. Celui qui assurait à la Noble et Très Ancienne Maison des Black de perdurer dans le temps.

(( always pure )) Credo de la famille. Des termes que Sirius avait entendu des milliers de fois. Une éducation de fer, Walburga prenait très à coeur son rôle.  Elle n'avait pas la fibre maternelle, la trentenaire. Les câlins et bisous, très peu pour elle. Seul la froideur était de mise, dans ses yeux comme dans son cœur. Elle l'avait mis au monde, elle en était fière. À présent elle s'attendait à sa seconde tâche : l'élever et faire de lui un parfait héritier.

(( problem child )) Malgré l'éducation stricte et sévère, Sirius était un enfant turbulent qui restait difficilement en place. Hyperactif, provocateur, il essayait sans cesse de tester les limites et la résistance de sa mère qui se trouvait tout aussi têtue que lui et n'hésitait ni à lui hurler dessus ni à le punir. Mais cela n'arrêtait en rien l'aîné des Black de n'en faire qu'à sa tête.

(( hogwarts )) Les dernières recommandations et menaces échangées sur le quai ne suffirent pas à remettre Sirius sur un semblant de chemin. Nouvel affront, le rebel rejoignait les rangs des Gryffondor. S'ils étaient déjà en guerre froide, le premier septembre mille-neuf-cent-soixante et onze sonna le début de la guerre ouverte entre Sirius et ses parents. Walburga envoya plusieurs lettres d'insultes à son fils pour exprimer son mécontentement, seule sa dignité l'empêchant de lui envoyer sous forme de beuglante. Si cela toucha le jeune Black dans son cœur, il n'en laissa rien paraître, préférant se réjouir de son admission à la maison des courageux et surtout de son amitié naissante avec ses camarades de dortoirs.

(( maurauder )) Projet complètement dingue. Ambition complètement folle. Un défi lancé. Un défi relevé. Jamais au cours de leur trois premières années les garçons n'avaient été aussi assidus et studieux. Dès qu'ils avaient quelques instants, ils se ruaient à la bibliothèque pour obtenir des informations sur le long et fastidieux processus de devenir un Animagus. A force de ténacité et de persévérance, ils finirent par réussir l'exploit. Padfoot. Nouveau surnom qui faisait référence à ce gros chien noir en lequel il se transformait. Plus qu'un surnom, cela évoquait pour eux ce qu’il était possible de faire par amitié. Sirius trouvait auprès de ses amis tout l’amour dont il avait manqué pendant son enfance.

(( freedom )) Il allait bientôt fêter ses dix-sept ans. Plus que trois mois avant la délivrance. C'était le dernier été qu'il était contraint de rentrer dans le manoir. Un été de trop. Après un énième dîner haut en couleur, Sirius qui avait eu sa dose des dénigrements incessant de ses parents, fit ses bagages pour s'enfuir définitivement de la maison des Black. Leur discours l'écœurait et s'il n'était toujours qu'un gamin désinvolte, leurs propos l'inquiétait également. Il trouva refuge chez James, son frère de cœur.  Monsieur et Madame Potter l'acceptèrent dans la demeure sans poser de questions. S’il leur exprima de nombreux remerciements & sa gratitude, il resta néanmoins extrêmement pudique sur ses sentiments ne leur avouant jamais combien leurs marques d’affection l’avait profondément touché.

(( love is not complicated. people are. )) Sirius n'est jamais tombé amoureux. L'amour était d'ailleurs le seul sujet sur lequel il n'était mal à l’aise  et surtout en désacord avec James qui criait à qui voulait l'entendre qu'il était complètement fou de la préfète-en-chef. Mais cela ne dérangeait pas Sirius. Il préférait papillonner, ne pas s'attacher. Au fond de lui, la blessure laissée par la froideur de sa mère continuait à faire son effet. Et cette petite phrase. Il avait beau vouloir profondément se défaire de son éducation, certaine croyance était tendance et gravée dans son subconscient. Les émotions et sentiments c'est pour les faibles. Alors il faisait le fier, l'indisponible. Il était libre comme l'air, ténébreux et faisait craquer plus d'une fille. Cela lui plaisait. Il l'avouait et en profitait volontiers d'ailleurs. Ce qu'il ne disait pas en revanche c'est qu'il se sentait incapable d'aimer. Il ignorait même tout de ce sentiment pourtant grisant, ne sachant pas ce qu'il était supposé ressentir. Il n'était pas dépravé pour autant le garçon. S'il flirtait volontiers et sortait même avec des filles, ses relations ne s'éternisaient pas, lassé des mièvreries dans lesquels il ne se reconnaissait pas tout simplement. Il préférait le jeu de la séduction à la routine d'un couple. Une quête sans fin pour obtenir toujours plus d'attention et d'amour, incapable d'offrir en retours -et même de définir- ce qu'il attendait d'une femme.

(( a raising star in the black sky )) Si Sirius avait eu un aperçu de l'ampleur de la situation l'été qui avait précédé sa sixième année, les actualités continuaient d'être de plus en plus alarmantes. De gamin désinvolte, il devint un garçon très concerné par la situation. Le choix de Sirius se fit naturellement. S'il n'était pas certain de vouloir être Auror jusqu'à la fin de ses jours, il voulait agir et être utile. Alors il se battrai et déposa sa candidature au bureau les ASPICs en poche. Brillant et impliqué, Albus lui proposa également de rejoindre l'Ordre peu après le début de sa formation. Depuis lors, il se battait sans relâche. Enchaînant les missions, les réunions, les rapports... Sirius se donnait corps et âme pour arrêter et faire enfermer les mangemorts.  

(( a broken heart is a heart that's been loved )) Il se sentait tellement illégitime dans sa peine qui pourtant lui broyait le cœur. Il les savait malades, mais leur départ un vide dans la poitrine du jeune homme. Euphémia et Fleamont Potter l'avaient accueilli à bras ouverts et lui avait témoigné de l'affection en quelques années bien plus que sa mère ne lui en avait jamais donné. S’il avait versé quelques larmes, c’était en silence avec pour seuls témoins une bouteille de whisky pur feu et un paquet de cigarette. Pour atténuer sa peine et s'efforcer de ne pas penser, le garçon accepta les missions les plus périlleuses.

(( harry, godson )) Touché. Emu. Il l'était Sirius, quand James lui demanda d'être le parrain de son fils.  Les yeux brillants d'émotions contenues, il ne lui répondit pourtant que par la malice. « T'es fou ! J'vais lui apprendre les pires bêtises du monde. »

(( it may be stormy now but it never rains forever )) Il faut s'accrocher. Pas question de baisser les bras. Même si le bureau des Aurors est complètement paralysé par la politique qui s'enlise par la corruption. Même si Dumbledore est mort. Il n'a pas dit son dernier mot.




sirius a acheté une moto à sa sortie de Poudlard, qu'il a enchanté pour être volante. ● il a plusieurs tatouages sur le corps, parce qu'il trouve ça cool. ● esprit rebelle, il adore le monde moldu qu'on lui a toujours défendu de côtoyer plus jeune. ● il adore s'habiller en moldu, porter des bottes et vestes en cuir ● il fume beaucoup trop ● il boit aussi, mais jamais jusqu'à perdre la tête, ou alors, chez lui. ● il vit dans la maison léguée par son oncle Alphard, dans le village semi-magique de Flagley-le-Haut, dans le Yorkshire.

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